Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Retour Amar Saâdani

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Retour Amar Saâdani



    Pour sa première sortie médiatique depuis la rentrée sociale, Amar Saadani fait encore polémique et balance de graves accusations. Lors d’une conférence de presse animée ce mercredi au siège de son parti à Alger, le secrétaire général du FLN s’attaque de nouveau au Général Toufik, ancien patron du DRS. Il accuse le militaire d’être le “chef des anciens officiers de l’armée française” en Algérie.

    Selon Saadani, c’est encore le général Toufik qui « pousse Rachid Nekkaz » à se présenter à l’élection présidentielle pour « chahuter la candidature du président Bouteflika ». Pis, Saâdani accuse l’ancien patron des services d’être derrière les événements de Ghardaïa et les manifestations de In-Salah, déclenchées en 2015 pour s’opposer à l’exploitation du gaz de schiste. C’est également Mohamed Mediène qui « manipule » le groupe des 14, des anciens moudjahidines qui veulent le départ de Saâdani.

    L’autre personnalité ciblée par Saâdani : l’ancien secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem. Pour l’actuel chef du FLN, son prédécesseur était un « collaborateur » de la France coloniale. Pis, selon le conférencier, la famille de l’ancien premier ministre s’était alliée avec la puissance coloniale. Et comme cerise sur le gâteau, Saâdani accuse Belkhadem de recevoir des « instructions » de la France.

    En revanche, le secrétaire général du FLN a épargné Ahmed Ouyahia. Commentant les attaques qu’il a portées contre le secrétaire général du RND, Amar Saâdani a nié toute critique. «Ce sont des inventions de la presse », a-t-il dit.

    Amar Wakli

  • #2
    Video

    Saadani accuse directement la France d’être derrière Toufik.
    On croyait qu'il a déjà cassé sa derbouka sur la tete de ce derniere mais la il prouve qu'il a d'autres armes.
    A-t-il vendu son appartement a paris? Peut etre c'est pour ça qu'il a rien a craindre.



    Commentaire


    • #3
      Retour Amar Saâdani..
      le déclenchement du le compte tours bord du déci politique de Amar Saâdani
      dz(0000/1111)dz

      Commentaire


      • #4
        C'est malheureux de voir ces politicards s'"accuser et s'insulter mutuellement surtout lorsqu'il s'agit d"un secrétaire du prestigieux FLN , au vu de tout cela , on s'interroge à quoi ça a servi alors la réconciliation nationale faite par Bouteflika si on arrive aujourd'hui à une autre fitna .

        Que ce soit mediene ou saadani ou karfass , ils ont tous des comptes en banque, des biens etc en suisse , en France... et se soignent tous en France , qu'ils ne viennent pas nous dire que le général flen ou felten ou le politique flen ou felten est acquis à la France; tous des menteurs et des hypocrites
        Dernière modification par ACAPULCO, 05 octobre 2016, 23h31.
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

        Commentaire


        • #5
          on s'interroge à quoi ça a servi alors la réconciliation nationale faite par Bouteflika si on arrive aujourd'hui à une autre fitna .
          Simplement parce que cette reconciliation n'était pas vraie et n'a servit qu'a titre de trêve courte.

          Ce qui est frappant est ou est le ministre de la justice dans tout ça?
          Le chef du grand parri dans ce pays accuse quelqu'un d'etre deriere la fitna de Ghardaïa qui a coûté la vie a beaucoup d'Algériens , et cela devant les caméras du monde entier. Et la justice reste figée sans rien faire .

          Commentaire


          • #6
            Dénonçant un "coup d'état institutionnel", Zohra Drif-Bitat accuse de trahison "ceux qui prennent leurs directives chez l'ancien colonisateur"
            HuffPost Algérie 05/12/2015 13h51


            Zohra Drif-Bitat, une des 19 signataires de la demande d’audience introduite à la présidence de la République ne mâche plus ses mots. Ce qui s’est passé à la chambre basse du parlement est un « véritable coup d’état institutionnel », n’hésite pas à dire Zohra Drif-Bitat dans un entretien publié aujourd’hui par le quotidien Le Soir d’Algérie.

            "Ce qui s'est passé au niveau de la commission des finances et du budget de l'APN est un véritable coup d'Etat institutionnel". Mme Drif-Bitat donne plus de précisions en soulignant «une violation des travaux de la commission des Finances et du règlement intérieur» de l’assemblée nationale.

            Interrogée sur les bénéficiaires de cette "forfaiture", elle répond d’emblée que ce "coup d'Etat" est au service de "la mafia politico-financière".

            Mme Drif-Bitat ajoute que "même aux moments les plus sombres du parti unique jamais l'Algérie n'a pas vécu cela. C'est mon premier choc et le premier moment de révolte. Le deuxième, c'est ce qui s'est passé durant la plénière. Cela s'appelle un coup de force, un coup d'Etat".

            Des évènements qui, selon elle, la confortent avec ses amis signataires "pour maintenir plus que jamais notre demande et en tant que parlementaire, en tant que juriste, en tant que moudjahida j'interpelle mon frère président de la République, frère de combat, pour lui dire sais-tu qu'il y a un vrai coup d'Etat dans notre pays? Pour les intérêts de qui ? La mafia."

            Interrogé sur ce qui ont fomenté "le coup de force", Mme Bitat soutient que ce qui s’est passé à l’APN est "une mise à nu" d’une partie de "la mafia politico-financière" appelée "très justement par Louisa Hanoune l'oligarchie".

            LIRE AUSSI: Les députés de l'opposition entravent la séance de vote de la LF2016 à l'APN
            Se disant choquée par les derniers propos du secrétaire général du FLN, Amar Saadani, Mme Drif-Bitat se demande "comment sommes-nous arrivés dans notre pays à avoir des responsables politiques aussi vulgaires ? Aussi scandaleusement misogynes, irrespectueux de ces femmes, et même de l'Algérie et de son peuple ? Je tiens à préciser que l'attaque contre Louisa Hanoune est une attaque contre toutes les femmes de l'humanité".

            LIRE AUSSI: Violente charge de Saadani contre Louisa Hanoune accusée d'être un "agent" du général Toufik
            Mme Drif-Bitat indiquera, dans ce sillage, "le Bouteflika que je connais, celui de la révolution. Si Abdelkader ne peut pas admettre que le FLN ait à sa tête un homme qui n'hésite pas à traiter les femmes de cette manière. Qui n'hésite pas à traiter des militantes de cette façon".

            Interrogée sur l’inertie du chef de l’Etat dans une conjoncture aussi délicate, elle avoue son incompréhension. Ce qui l’amène à rappeler le pourquoi de la lettre du groupe des 19.

            "Jusqu'à l'heure, il ne nous a pas répondu et nous n'avons aucune preuve qu'il ait reçu la lettre alors nous maintenons notre demande d'être reçus par le Président".

            Réaffirmant la mise en route d’un coup d’état institutionnel par une mafia politico-financière , Mme Drif-Bitat dira "ceci renseigne sur la nature du pouvoir si jamais ils le prenaient entièrement. Ce sera la pire des dictatures. Ils tirent sur tout ce qui bouge, ils violent les règlements intérieurs du Parlement, ils font des coups de force pour faire passer ce qu'ils veulent... "

            Faisant valoir son ancien statut de combattante pour l’indépendance du pays, Zohra Drif-Bitat accusera de trahison suprême ceux qui "prennent leur directives chez l’ancien colonisateur".

            Mettant en exergue son statut de juriste, elle souligne "je suis moudjahida, ancien membre de l'ALN et militante de la démocratie. Je fais partie de ces millions d'Algériens et Algériennes aujourd'hui prêts à mourir pour que le pays ne retombe pas entre les mains de l'ancien colonisateur. Ces mafieux qui veulent s'emparer de la totalité du pouvoir prennent leurs directives chez l'ancien colonisateur. Mon message est clair".
            J'avais réagis à l'époque en donnant du crédit à cette faune d'hommes et de femmes politiques, qui d'un coté comme de l'autre ne connaissent que la traîtrise et la collusion avec l'ancien colonisateur, pour se dire plus patriotique que les autres. Ca descend à un niveau.... Le FLN est bel et bien à mettre au musé...

            Madame Zohra Drif-Bitat est bien placée pour savoir comment feu Bitat, et feu Boudiaf, paix à leurs âmes, membres du CRUA, ont manœuvré au-delà de la vérité concernant les positions des autres belligérants, pour engager une aventure extraordinaire et sanglante, et une lutte fratricide entre frères pour la libération nationale. Il est dommageable de voir des personnalités nationales s'associer à une bleuite des temps modernes, sous l'impulsion des perdants d'une nouvelle crise du pouvoir qui a vu l'élimination d'une branche d'une ancienne génération, manœuvrant pour le retrait des autres branches de cette génération, sans ne prévoir un processus de gestion de la grande révolution politique et économique nécessaire, exigeant ordre et stabilité. L'Algérie de 2015, ne peut pas se permettre d'attendre le congrès de la Soummam pour se doter des outils d'une transition politique nécessaire. Les quolibets de traitrises colportés par les uns et les autres avant 1954, pendant le révolution et après l'indépendance, est indigne du débat apaisé et consensuel qui est nécessaire pour ce pays, en l'engager dans une nouvelle ère.

            J'appelle Madame Zohra Drif à associer sa voix aux initiatives de consensus, proposées par des forces politiques qui appellent au dialogue, en place et lieu de se laisser entrainer dans une aventure périlleuse, de barbouzerie, qui excellent dans l'art de la manipulation et de la propagande, traumatisés par une omnipotence éphémère synonyme pour eux à un saut dans l'inconnu...
            Dernière modification par ott, 06 octobre 2016, 06h44.
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #7
              Ould Khelifa et des ministres applaudissent un voyou qui insulte un moudjahid
              Algérie Patriotique 06 Oct, 2016 | 05:01

              L’Etat se désagrège. Le funeste spectacle auquel les Algériens ont eu droit hier, au siège du FLN dévoyé, confirme l’état de déliquescence profond du champ politique national. Une désagrégation et une déliquescence qui se sont aggravées durant le quatrième mandat de Bouteflika. Face à un voyou qui a fait main basse sur un patrimoine historique appartenant à tous les Algériens, qui règne à la tête du plus vieux parti du pays en véritable parrain sicilien, des officiels se sont levés, soumis, apathiques, pour applaudir un orateur fruste et inculte crachant sur un moudjahid qui a eu à diriger un service de sécurité sensible durant vingt-cinq ans, jetant des accusations aussi gravissimes qu’invraisemblables à l’emporte-pièce. Le turpide Amar Saïdani a animé son show nauséabond sous les applaudissements du président de l’Assemblée populaire nationale, Larbi Ould Khelifa, troisième homme de l’Etat, et des membres du gouvernement, hauts fonctionnaires de la République, tous tenus par l’obligation de réserve.

              Ce sont les fondements mêmes de l’Etat qui ont été bafoués, hier, au siège du FLN. Au-delà de l’invective et de l’infamie auxquelles Amar Saïdani s’est adonné sans vergogne, c’est la réputation même de l’Algérie et de ses institutions qui est malmenée. Empêtré dans l’affaire du détournement de l’argent de la Générale des concessions agricoles (GCA), démasqué par ****************** qui a publié les statuts de sa société créée en France et ses biens immobiliers acquis dans ce pays qu’il feint de vilipender – lui, le Parisien –, ce chenapan s’est caché derrière le président Bouteflika à qui il a tissé des couronnes avant de lancer ses flèches vénéneuses en direction de l’ancien patron des services secrets algériens, par simple réflexe défensif. C’est que cette marionnette sait qu’elle ne doit son salut qu’au fil très fragile que les marionnettistes manipulent derrière le rideau pour s’emparer du castelet.

              Amar Saïdani est un figurant dans un théâtre d’ombres. Ses gesticulations sont la preuve que quelque chose se trame dans le dos du président de la République. Quoi ? L’avenir nous le dira.

              M. Aït Amara
              A part l'obligation de réserve qui est une notion incongrue sur le sujet, ce sont des ministres FLN qui viennent applaudir le chef de leur parti, il est vrai que la sortie d'hier du chef du FLN est une preuve de la déliquéscence de cette classe politique complétement désinhibée et indicateur grave de l'état politique d'une majorité au pouvoir!!! Cependant, je note que ce journal et ce journaliste fait appel à un président, qu'ils n'ont cessé de fustiger par ailleurs, affirmant qu'il se trame quelques chose sur son dos!!! SIC. Ce sont les avocats de Medienne et de Nezzar, passés maitres dan sl'intrigue, qui le disent, rien que ça!!! Au vu de l'heure de publication de l'AP ... N (Agence Press Nezzar), ils en appellent à une haute protection présidentielle !!!
              Othmane BENZAGHOU

              Commentaire


              • #8
                C'est rien ça c'est juste un match amical entre les vétérans et les remplaçants, attendons le derby

                A l'approche des législatives, le fln version saidani se mobilise et se met en ordre de bataille
                pour gagner la course

                Commentaire


                • #9
                  El Harrâz djab ennaguâz, ça reste une perle rare, il faut l'avouer...
                  كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

                  Commentaire


                  • #10
                    Général Toufik, ancien patron du DRS. Il accuse le militaire d’être le “chef des anciens officiers de l’armée française” en Algérie.
                    SAADANI tient un discours bien dynamique pour quelqu'un qui a une carte de résidence française et des biens à Bariz. Du baratin destiné à s'attirer la sympathie des islamistes et à servir les maires du palais qui détiennent BOUTEFLIKA en otage.

                    Dire que TOUFIK était le patron des DAF est faux. Le pragmatique et diabolique militaire, embarqué depuis Oran dans une équipe de DAF qui manipulait CHADLI a du composer avec BELKHEIR dans ce qu'il pensait être le mieux pour l'Algérie.

                    Sanguinaire peut-être,assoiffé de pouvoir,positif, mais traitre et pro français, certainement pas. Il a un côté stalinien.

                    Commentaire


                    • #11
                      Dire que TOUFIK était le patron des DAF est faux. Le pragmatique et diabolique militaire, embarqué depuis Oran dans une équipe de DAF qui manipulait CHADLI a du composer avec BELKHEIR dans ce qu'il pensait être le mieux pour l'Algér
                      Il n'est pas accusé d'avoir fait partie des DAF, mais plutot d'être leur chef actuellement.

                      Commentaire


                      • #12
                        Il n'est pas accusé d'avoir fait partie des DAF, mais plutot d'être leur chef actuellement.

                        Du temps qu'il était Rab , il était le patron de tous les Algériens.

                        Maintenant sur la touche il reste détenteur de beaucoup de secrets et a de quoi tenir les DAF qui sont encore en vie.

                        Dire que c'est la patron actuel ou ancien alors que le problème des harkis est d'actualité, est péjoratif.

                        Commentaire


                        • #13
                          Il n'est pas accusé d'avoir fait partie des DAF, mais plutot d'être leur chef actuellement.
                          Je crois qu'il est trop r'khiss...pour être un chef...plutôt leur outil...

                          Commentaire


                          • #14
                            Je crois que Saadani et un énergumène qui fait partie d'un ensemble d'un plan d'une mafia qui est entrain de mettre en place tous les verrous pour s'accaparer du pourvoir, tout le pouvoir en douce et le discours de ce petit voyous nous prouve que le, soi-disant, Président de la république ne gère rien et il est complément mis de coté de ce qui ce trame de tres tres mauvais pour le pays.
                            Dernière modification par rosierbelda, 06 octobre 2016, 16h12.
                            " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

                            Commentaire


                            • #15
                              Pourquoi Saïdani s’est attaqué précisément au général Toufik, Belkhadem et Nekkaz
                              AP - 09 Oct, 2016 | 09:14


                              Les dernières attaques du secrétaire général du FLN contre le général Toufik et l’ancien chef de gouvernement Abdelaziz Belkhadem ont mis «tout le monde» dans la gêne en haut lieu, attend-on appris de sources concordantes. S’il est apparent que les accusations proférées contre l’ancien patron des services secrets pourraient lui avoir été «suggérées» par ceux dont Amar Saïdani se targue d’être le «protégé», il n’en est pas de même s’agissant des deux autres personnes auxquelles le revenant d’un long séjour à Paris s’en est pris violemment, à savoir son prédécesseur à la tête du FLN et l’ancien candidat à la présidentielle d’avril 2014, Rachid Nekkaz. L’agression verbale sans précédent contre le général à la retraite Mohamed Mediene trouve son explication dans ce que ce dernier est la «boîte noire» du système. Bien que n’ayant pas réagi aux nombreuses estocades dont il est l’objet depuis qu’il a quitté ses fonctions de chef du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), certains milieux, au sein du pouvoir, qui lorgnent sur le palais d’El-Mouradia, s’échinent à «neutraliser» cet homme de l’ombre qui détient des dossiers qui pourraient les éclabousser et les empêcher ainsi de parvenir à leurs fins. C’est dans cette optique que le secrétaire général du FLN a lancé ses flèches empoisonnées en direction de celui qui, bien qu’étant retiré de la vie politique, représente le principal obstacle devant [ceux] qui se voient dans la peau du futur chef de l’Etat.

                              Les accusations de trahison qui ont ciblé l’ancien secrétaire général du FLN visent, elles, à discréditer le prétendant à la succession d’Amar Saïdani à la tête du FLN. Dans une guerre sans merci où tous les moyens sont bons pour prendre les rênes du parti «faiseur de présidents», Abdelaziz Belkhadem ne reculera devant rien pour dégommer celui par qui sa déchéance est arrivée. Jeté de la Présidence comme un malfrat, interdit d’accéder au siège du FLN dont il a été banni, Abdelaziz Belkhadem attend, depuis, le moment propice pour «laver son honneur» et se venger de son «bourreau» politique.

                              Troisième personnage à avoir subi les foudres d’Amar Saïdani, Rachid Nekkaz, accusé d’être la «marionnette» du général Toufik et actionné par ce dernier pour «faire du chahut» et perturber l’élection présidentielle d’avril 2014. Si le secrétaire général du FLN a aligné cet homme d’affaires installé en France et venu à la politique sur le tard pour «changer le système», c’est parce qu’il est un témoin gênant qui risque de démasquer ses frasques en France, où il détient des biens immobiliers et a fondé une société. Le tonitruent Rachid Nekkaz est connu pour ses opérations de dénonciation tintamarresques qui tournent en boucle sur les réseaux sociaux ; la dernière en date étant sa «descente filmée» devant le domicile parisien du ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, avant d’être poliment invité par des policiers français, visiblement gênés, à quitter les lieux.

                              Mais dans sa panique, Amar Saïdani est allé trop loin et a incommodé jusqu’à ses propres soutiens et alliés aussi bien au sein du parti que dans les arcanes du pouvoir dont d’importants représentants ont été «piégés» à la rencontre de Sidi-Fredj qui scellera, sans doute, son «débarquement». A partir de maintenant, les rapports de force dans la course à la présidentielle de 2019 se mesureront à l’aune de la situation interne au FLN. Si Amar Saïdani est maintenu malgré ses graves écarts, alors, le nom du successeur de Bouteflika est connu…

                              M. Aït Amara
                              Hahaha, Algérie Patriotique ne trouve pas mieux de nous affirmer que Saadani serait le futur président algérien, après avir poussé 2 anciens SG du FLN, Benflis et Belkhadem à manoeuvrer sur le dos du président d'honneur!!! Sacrée ironie de l'histoire pour ceux qui se disent représentants et défenseurs invétérés, de l'état républicain!!! oeilfermé
                              Othmane BENZAGHOU

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X