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Ahmed Ouyahia insulte la diaspora algérienne

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    Ahmed Ouyahia insulte la diaspora algérienne

    Algérie Patriotique - 5 Oct 2016

    Avant, pendant et après la promulgation de la nouvelle Constitution, avec son article 51 si décrié, l'un des premiers personnages de la scène politique algérienne, M. Ahmed Ouyahia, pour ne pas le nommer, chef de cabinet du président de la République, et néanmoins secrétaire général du RND, n'a eu de cesse de s'attaquer avec zèle et frontalement à la communauté nationale à l'étranger. On dit de lui qu'il est à l'origine de l'introduction de ce fameux article 51, qui n'était pas prévu dans les premières moutures. La polémique qui s'en est suivie, avec la réprobation unanime de la communauté, ainsi que de certains partis, dont le premier d'entre eux, à savoir le FLN, prouve s'il en est besoin, l'existence d'un véritable malaise qui entoure cette question dont le débat est loin d'être évacué, puisqu'elle va ressurgir à l'occasion du vote du projet de loi limitant l'accès de nos compatriotes à certaines fonctions au sein de l'Etat.

    Toujours selon certaines indiscrétions, on dit que la liste des postes interdits aux enfants de notre diaspora, proposée par M. Ouyahia, aurait été plus longue, allant presque jusqu'à exclure les binationaux de tout lien avec l'Etat algérien !

    Que cherche M. Ouyahia à travers une telle animosité, et quelles sont les raisons à l'origine d'une telle hargne ?

    Dans sa dernière déclaration, il est allé plus loin, accusant les binationaux d'être quasiment des traitres qui ne cherchent qu'à «déstabiliser le pays.» Grave accusation qui jette l'opprobre sur toutes celles et ceux qui ont choisi de vivre ailleurs, souvent poussés à quitter le pays par la faute de responsables qui ont créé une atmosphère de dégoût et de désespoir pour la jeunesse algérienne, les obligeant à chercher ailleurs ce qu'ils n'arrivent pas avoir chez eux.

    Accusation qui touche également les parents des générations nouvelles pour lesquelles, en dépit de leur intégration, espèrent pour elles, si ce n'est un éventuel retour, du moins le maintien d'un lien aussi ténu soit-il avec la patrie de laquelle les circonstances les ont éloignés, à leur corps défendant, les empêchant d'y vivre et de bâtir une carrière. M. Ouyahia ignore-t-il que beaucoup d'entre eux ont donné leur jeunesse et d'autres leur vie, pour voir un jour l'Algérie libre et indépendante ? Des binationaux, il en existe y compris dans cette première génération combattante, pour que M. Ouyahia réduise aujourd'hui leur relation au pays «à un passeport».
    A l'heure où la communauté est prise dans la tourmente d'une xénophobie et d'une islamophobie sans précédent, M. Ouyahia trouve le moyen de lui planter, encore une fois, un couteau dans le dos. A l'heure où l'Algérie cherche la cohésion et la réconciliation nationales pour se prémunir contre les dangers qui la guettent de partout, M. Ouyahia veut créer une autre discorde, une autre fracture entre Algériens dont les cœurs battent à l'unisson qu'ils soient à l'intérieur ou à l'extérieur du pays. A l'heure où les pays conjuguent leurs efforts de développement avec leurs diasporas respectives, M. Ouyahia insulte la nôtre et la désigne à la vindicte de l'opinion, pour se faire hisser sur le podium d'un patriotisme qu'il veut s'arroger et se propulser un jour à la magistrature suprême.
    M. Ouyahia a-t-il peur de M. Nekkaz pour tirer ainsi dans le tas ? Ou a-t-il d'autres desseins inavoués pour régler ses comptes sur le dos de millions d'Algériennes et d'Algériens pour qu'il jette ainsi le doute sur leur qualité de citoyens algériens à part entière ? Nous concernant, on ne fera pas d'amalgame entre cette personne et sa formation politique, au sein de laquelle militent de vrais et sincères patriotes qui aiment leurs concitoyens. Tous leurs concitoyens.
    A la veille d'échéances électorales importantes, la communauté saura «séparer le bon grain de l'ivraie» et demeurera vigilante et clairvoyante dans ses positions et ses choix. Son silence devant de telles attaques relève de la pudeur et d'intentions bienveillantes envers son pays d'origine, à qui elle veut épargner une autre «fitna».
    L'Histoire jugera.

    Abdelkader Raffed

    Président de l'Alliance des associations des Algériens de France
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

  • #2
    Dans sa dernière déclaration, il est allé plus loin, accusant les binationaux d'être quasiment des traitres qui ne cherchent qu'à «déstabiliser le pays.» Grave accusation qui jette l'opprobre sur toutes celles et ceux qui ont choisi de vivre ailleurs, souvent poussés à quitter le pays par la faute de responsables qui ont créé une atmosphère de dégoût et de désespoir pour la jeunesse algérienne, les obligeant à chercher ailleurs ce qu'ils n'arrivent pas avoir chez eux.
    Abdelkader Raffed

    Président de l'Alliance des associations des Algériens de France
    Il faut être sacrément hypocrite pour ne pas avouer qu'effectivement en Algérie comme en France nous avons quelques traitres qui cherchent à déstabiliser l'Algérie ne regardant que leurs intérêts personnels parfois même une vengeance. Les algériens de France n'ont pas été consultés pour désigner Abdelkader Raffed président d'une alliance des associations des Algériens de France, se présenter ainsi est déjà preuve d'un manque de loyauté envers des compatriotes. Nous avons bel et bien quelques traitres qu'il ne faut pas laisser entrer dans les rouages de l'état, si pour cela la majorité doit être sacrifiée, tant pis, si c'est le prix à payer pour la sécurité de l'Algérie ; ce n'est pas un poste dans un ministère ou dans une chambre de commerce qui doit supplanter l'intérêt général. Ouyahia a donc raison de verrouiller les rouages, l'Algérie a suffisamment de problèmes sans en rajouter d'autres.

    M. Ouyahia a-t-il peur de M. Nekkaz pour tirer ainsi dans le tas ? Ou a-t-il d'autres desseins inavoués pour régler ses comptes sur le dos de millions d'Algériennes et d'Algériens pour qu'il jette ainsi le doute sur leur qualité de citoyens algériens à part entière ?
    Sur tous non mais sur certains, il y a un doute absolu et même vérifiable, des hyènes et des chacals avérés ...
    Dernière modification par zwina, 05 octobre 2016, 20h25.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      Dans la vie, quand on fait des choix, il faut les assumer. On ne peut pas toujours avoir le beurre et l'argent du beurre.

      La question de la double nationalité est une question à laquelle, personnellement, j'ai été confronté dans les années 80. C'est une question que j'avais étudiée à l'époque de long en large. J'avais fait mon choix que j'assume toujours.

      Pour des raisons historiques, il a été décidé, pour notre pays, de ne pas reconnaître la double nationalité aux accords d'Evian. C'est un fait historique que nul ne doit ignorer. Ce principe est demeuré respecté jusque fin des années 80. Ils étaient rares ceux et celles qui s'hasardaient à prendre une autre nationalité.

      C'est seulement dans ces années 80 qu'une exception à ce principe a été négociée entre la France et l'Algérie pour permettre aux enfants issus de mariages mixtes nés après 1962 de bénéficier à la fois de la nationalité du père et de celle de la mère autrement dit d'avoir une double nationalité.

      Dans les années 90, on dirait qu'il y avait eu une politique souterraine d'encouragement à la double nationalité au mépris de la loi. L'administration algérienne avait fermé les yeux sur le phénomène en laissant faire, sans officialiser la double nationalité pour tous. Le pouvoir despotique a même couvert la pratique en modifiant le code de la nationalité. La déchéance de la nationalité algérienne n'est plus automatique pour ceux et celles qui décident de prendre une autre nationalité. Elle est subordonnée à un décret présidentiel, au début, puis simple décret ministériel par la suite. Dans les faits, ce décret n'est jamais pris.

      Les familles de martyrs, les anciens maquisards et une partie de la société civile, bref, tous ceux et celles qui sont restés fidèles à l'esprit de novembre avaient dénoncé cette situation. C'est seulement sous cette pression que BOUTEFLIKA s'était exprimé sur la question. A l'époque, il avait dit que ces algériens qui avaient opté pour une autre nationalité allaient être considérer en Algérie comme des coopérants.

      L'idée avait fait son chemin. A la dernière révision constitutionnelle, il y a eu ce fameux article 51 que personnellement je considère insuffisant.

      Pour moi, il ne doit pas y avoir de demi mesure. Ou l'Algérie accepte la double nationalité auquel cas il faut mettre en adéquation les accords internationaux et nos lois ou elle reste fidèle à l'esprit de novembre et à Evian et doit appliquer systématiquement la déchéance à toute personne optant pour une autre nationalité.

      Qu'on se le dise !!!!

      P.

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      • #4
        @Pangeen

        Très bon rappel historique, cependant, aujourd'hui, il faut comprendre que la diaspora peut constituer une force de frappe nationale et internationale, que d'autres pays, proches et moins proches, utilisent avec pragmatisme et réalisme. On ne peut être cantonnés à une vision hautement nationaliste, issue de la guerre d'indépendance, en oubliant que le premier des défis, est le défis du développement.

        Cependant, l'article 51 est tombé maladroitement dans un contexte économique et politique où bien au contraire, l'Algérie a tout à gagner à exploiter un gisement faiblement exploré. Pour des postes politiques de haute responsabilité, il est compréhensible que la nationalité exclusive soit exigée, après le sacrifice des générations précédentes pour arracher la nationalité algérienne. Cependant, la nationalité n'est pas signifiante aujourd'hui de l'attachement des uns et des autres à un pays, que chacun de nous développe et cultive par différents moyens, même si je partage ta position de principe jusqu'à ne garder que mon passeport vert...oeilfermé
        Othmane BENZAGHOU

        Commentaire


        • #5
          Que de tabous. Le narcissisme et l'autisme prennent des ampleurs alarmantes dans ce pays. C'est endémique et la concentration individuelle des narcissiques en nombre est si visible que ça saute au regard ... tout le monde ici en souffre de son propre mal et pour se donner bonne conscience et d'une manière stratifiée tout le monde incrimine les autres, système, houma l’étranger, les cheveux, la batata ou le gazouz

          des étrangers sont morts pour ce pays, des étrangers ont fait ce qu'aucun n'était capable de donner à ce pays.

          Ailleurs où l'on croit encore en l'humain. On trouve des étrangers présidents et présidentes, mème aux USA.

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          • #6
            @ Ott,

            Pour avoir évoluer, à l'extérieur de notre pays, dans le monde associatif et politique, je connais très bien notre diaspora et sa force de frappe. J'ai toujours été de ceux qui appelaient à considérer cette diaspora et à l'intéresser au retour au pays. J'ai même, moi même, choisi de rentrer et de travailler dans mon pays quand j'avais estimé que mon pays avait besoin de mes compétences ( au moment où justement l'Algérie se vidait de ses cadres : les années 90 ). Pour accueillir cette diaspora, il fallait mettre en place des bonnes conditions d'accueil, commencer déjà par faire évoluer ce principe de nationalité unique pour s'ouvrir de façon transparente sur l'acceptation de plusieurs nationalités pour un même individu. Le travail est avant tout éthique, politique et législatif.
            Pour ça, le pouvoir devait prendre ses responsabilité et les assumer.
            Pour différentes raisons, le pouvoir avait choisi la politique de l'autruche. Il n' avait pas osé toucher au sacro-saint principe de nationalité unique mais a fermé les yeux sur sa violation. Il a même aidé à sa violation en modifiant le code de la nationalité.

            Pour moi, que ce soit du côté du pouvoir ou du côté de ces algériens qui avaient opté pour une autre nationalité au mépris de la loi, la pratique était malsaine.

            Toute construction sur de mauvaises fondations est vouée à la ruine un jour ou l'autre.

            Pour la diaspora, il aurait fallu commencer par lutter pour la reconnaissance officielle de la double nationalité.

            Pour le pouvoir, il fallait trancher soit rester figer dans le principe de la nationalité unique mais appliquer avec rigueur la déchéance aux contrevenants soit évoluer mais,dans ce cas, il fallait commencer par commencer par mettre à jour les traités ( accords internationaux ) puis nos lois de façon transparente pour une égalité pour toutes et tous.

            Hélas, ce n'est pas ce qui a été fait. Le pouvoir, comme à son accoutumé, avait préféré l'épée de Damoclès sur la tête des algériens pour mieux les asservir.

            Ceux et celles qui avaient accepté cette épée de Damoclès n'ont qu'à s'en prendre à eux-même et non pas ruer dans les brancards pour un petit article 51 dans la nouvelle constitution qui n'avait d'ailleurs même pas lieu d'y être si la déchéance avait été systématiquement appliquée aux contrevenants.

            P.
            Dernière modification par Pangeen, 06 octobre 2016, 08h20.

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            • #7
              L'Algérien est une grande gueule qui adore fustiger les autres, ses semblables, les non semblables. C'est malheureusement une règle qui s'applique en effet d'une manière assez systèmatique. Tout les sujets, les différences, les opinions, les principes, sont poussés à leur retranchements, à leur limites, car on aime bien dans ce pays cultiver les différences!!! Cependant, on ne peut ériger des principes sans se les appliquer à soit même, même si ce genre de sujets titille une notion bien galvaudée dans ce pays qui est le nationalisme... Les réactions le sont tout aussi, galvaudées...
              Dernière modification par ott, 06 octobre 2016, 08h21.
              Othmane BENZAGHOU

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              • #8
                Envoyé par boukhoubza
                ...
                des étrangers sont morts pour ce pays, des étrangers ont fait ce qu'aucun n'était capable de donner à ce pays.
                ...
                Ya boukhoubza, le choix d'une autre nationalité n'est pas simplement une affaire de khoubza.

                Ces étrangers dont tu parles, il me semble que leur mémoire est bien préservée malgré les voix qui s'élèvent par ci par là.

                Après adoption du principe de la nationalité unique, certains de ces étrangers, qui étaient encore en vie, avaient opté pour la nationalité algérienne.

                Je ne tiens pas à refaire le débat des accords d'Evian.

                Les hypocrites doivent se regarder dans le miroir.

                P.

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                • #9
                  Si on place le curseur uniquement sur les " principes " , on peut trouver la double nationalité comme étant incompatible avec le statut de citoyen qui exige une fidélité sans faille à un pays
                  Seulement le monde n'est pas fait que de principes , les vagues de migrations font que beaucoup de gens ont maintenant une double culture et pour ce qui concerne les maghrébins ,n'ont aucune envie de s'assimiler totalement au pays d'accueil
                  Quant au danger supposés d'un tel dispositif administratif , laisser moi rire ! . tout le monde sait que pour accéder à des postes de responsabilités en Algérie comme ailleurs ,il faut être coopté et passer par des filtres informels qui rendent les accusations d'agent double aussi ridicule qu'un remake de James bond par l'inspecteur Tahar

                  Les binationaux sont plutôt une chance pour les pays du sud si ils savent mettre un peu d'intelligence dans leurs gouvernance

                  Commentaire


                  • #10
                    Ceux et celles qui avaient accepté cette épée de Damoclès n'ont qu'à s'en prendre à eux-même et non pas ruer dans les brancards pour un petit article 51 dans la nouvelle constitution qui n'avait d'ailleurs même pas lieu d'y être si la déchéance avait été systématiquement appliquée aux contrevenants.
                    Je ne crois pas que la déchéance de la nationalité, et le dogme de la nationalité unique soit aujourd'hui, la meilleur manière d'aider notre pays à se développer, à mon humble avis. Chacun a pu opter pour une autre nationalité, pour des contraintes individuelles, de carrière, de facilités administratives dans les pays d'accueil, sans ne rien perdre de l'attachement qu'ils ont pour leur pays. Cet article est mal venu, parce qu'il réveille un débat innutil à des moments où l'Algérie avait d'autres chats à fouetter. Il est pour les instigateurs de cet article, une façon de diaboliser des voix très contestataires à l'étranger, pour de la politique politicienne à très courte vue, pour ne pas dire à échéance 2019...
                    Othmane BENZAGHOU

                    Commentaire


                    • #11
                      Envoyé par ott
                      ...
                      Cependant, on ne peut ériger des principes sans ce les appliquer à soit même, même si ce genre de sujets titille une notion bien galvaudée dans ce pays qui est le nationalisme...
                      C'est là où le bas blesse. Une partie des décideurs ont eux-même cette double nationalité.

                      P.

                      Commentaire


                      • #12
                        On trouve des étrangers présidents et présidentes, mème aux USA.
                        Ah bon, par exemple ?
                        Othmane BENZAGHOU

                        Commentaire


                        • #13
                          Envoyé par tizout
                          Si on place le curseur uniquement sur les " principes " , on peut trouver la double nationalité comme étant incompatible avec le statut de citoyen qui exige une fidélité sans faille à un pays...
                          Seulement le monde n'est pas fait que de principes , les vagues de migrations font que beaucoup de gens ont maintenant une double culture et pour ce qui concerne les maghrébins ,n'ont aucune envie de s'assimiler totalement au pays d'accueil
                          Quant au danger supposés d'un tel dispositif administratif , laisser moi rire ! . tout le monde sait que pour accéder à des postes de responsabilités en Algérie comme ailleurs ,il faut être coopté et passer par des filtres informels qui rendent les accusations d'agent double aussi ridicule qu'un remake de James bond par l'inspecteur Tahar
                          Il y a quelques temps, j'ai eu un débat de fonds sur cette question de nationalité avec quelques personnes influents du pouvoir algérien. En résumé, ils m'avaient avoué que le frein pour évoluer vers l'acceptation de nationalités multiples n'était pas les accords d'Evian mais l'article 2 de la constitution ( le principe religieux ). Pour eux, c'est harram de reconnaître la double nationalité.

                          Au fond, les véritables raisons du blocage ne sont pas là où on les cherche.

                          P.

                          Commentaire


                          • #14
                            Jamais , la double nationalité n'a été un problème en Algérie, la nationalité n'est pas seulement un bout de papier, c'est une partie de soi qu'on acquiert et qu'on transporte partout où on va. Il existe des algériens qui n'ont plus la nationalité algérienne mais qui se sentent fièrement algériens, comme il existe des algériens à la nationalité unique qui se demandent qu'est ce qu'ils ont fait au bon Dieu pour subir cette nationalité.

                            Lorsque la révolution avait besoin d'une manne financière ou de rayonnement international on ne se posait pas dutout de quelle nationalité on est, c'était l'engagement révolutionnaire et l'idéal de l'indépendance qui faisait de l'individu un nationaliste ou un national. Le réseau Jenson qu'on appelait les porteurs de valise étaient mille fois plus algériens que les milliers de harkis et de khobatha qui égorgeaient l'idéal d'indépendance et la renaissance de la nation. Jamais en Algérie la double nationalité n'a été un problème, on reconnaît algérien par son amour à l'Algérie pas avec un bout de papier aussi soigné soit il.

                            Actuellement , la diaspora ne pose pas un problème au pays mais
                            Dernière modification par Aggour, 06 octobre 2016, 09h48.

                            Commentaire


                            • #15
                              Une des caractéristiques de l'autisme de narcissiques est de produire des ennemies et de participer à la genèse d'un monde en guerre permanente car ce sont des morts vivants en passant c'est à rapprocher des DAECHIEN
                              le narcissique détruit l'amour et génère la haine, psychopathe d'abord il devient sociopathe :il te dit quoi moi j'aime la vie mais il faut que tu obéisses à ma "puissance" en toc et ne pas me contrarier : ça vous dit quelque chose les fous de Dieu et bien c'est pareil

                              Le problème est que la concentration est élevé ici ailleurs c'est marginal : 5 à 20%

                              oui ça devient alarmant car le terrain est fertile

                              Une des plus belles manières de déstabiliser le pays est de synthétiser la haine et pour des générations à venir. La limite a été atteinte

                              Historiquement, j'ai vu comment certains harki privés à juste titre peut être et encore de cet amour, leur enfants qui n'ont rien fait de mal mais galvaudés comment ils ont cassé de l'algérien à l’extérieur c'est horrible !

                              Parler politique, lois et autre c'est juste la forme c'est le fond mseous qu'il faut soigner

                              s'attaquer à l'amour lorsque qu'on ne sait pas ce que cela veut dire peut être dangereux

                              C''est ça le nationalisme ? je souhaite que l'on m'explique le nationalisme algérien
                              Dernière modification par Aloha, 06 octobre 2016, 09h04.

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