Le député Tahar Missoum dit “spécifique”:
On va lui fermer son usine à Médéa
Le député Tahar Missoum, plus connu sous le sobriquet de «spécifique», continue, d’après ses dires, de subir la «colère» du Ministre de l’industrie et des mines, Abdeslam Bouchaouareb.
Dans une déclaration faite au quotidien arabophone «El Khabar», celui qui a suscité la polémique à maintes reprises par ses révélations fracassantes prononcés à l’intérieur de l’APN, affirme qu’il a reçu jeudi la visite de gendarmes qui lui ont signifié, «verbalement» a-t-il précisé, qu’ils viendront ce dimanche pour appliquer un ordre de fermeture de son usine de production de lait.
«Je ne demande pas la réouverture de mon usine, juste l’ordre de fermeture afin que je puisse recourir aux procédures légales pour me défendre», a-t-il expliqué à ce propos. Tahar Missoum indique que ceux qui ont ordonné la fermeture évoquent l’apparition d’un «microbe» dans les sachets de lait produits par son usine. Il faut rappeler que les problèmes de ce député ont commencé durant le mois de juillet dernier après qu’il ait traité Bouchaouareb de «fils de harki». Selon «spécifique», l’ONIL, l’office nationale intersectorielle de lait, a refusé de lui délivrer lés quantités de poudre de lait nécessaires au fonctionnement de l’usine qui fournit toute la wilaya de Médéa et de ses environs avec une capacité de production de 200 000 litres par jour.
Et Depuis les choses ne font que s’empirer. Tahar Missoum a même été interdit de parole à l’Assemblée populaire nationale (APN). Une sanction inédite jamais prise par un quelconque parlement dans le monde.
Elyas Nour
Algérie FOCUS
On va lui fermer son usine à Médéa
Le député Tahar Missoum, plus connu sous le sobriquet de «spécifique», continue, d’après ses dires, de subir la «colère» du Ministre de l’industrie et des mines, Abdeslam Bouchaouareb.
Dans une déclaration faite au quotidien arabophone «El Khabar», celui qui a suscité la polémique à maintes reprises par ses révélations fracassantes prononcés à l’intérieur de l’APN, affirme qu’il a reçu jeudi la visite de gendarmes qui lui ont signifié, «verbalement» a-t-il précisé, qu’ils viendront ce dimanche pour appliquer un ordre de fermeture de son usine de production de lait.
«Je ne demande pas la réouverture de mon usine, juste l’ordre de fermeture afin que je puisse recourir aux procédures légales pour me défendre», a-t-il expliqué à ce propos. Tahar Missoum indique que ceux qui ont ordonné la fermeture évoquent l’apparition d’un «microbe» dans les sachets de lait produits par son usine. Il faut rappeler que les problèmes de ce député ont commencé durant le mois de juillet dernier après qu’il ait traité Bouchaouareb de «fils de harki». Selon «spécifique», l’ONIL, l’office nationale intersectorielle de lait, a refusé de lui délivrer lés quantités de poudre de lait nécessaires au fonctionnement de l’usine qui fournit toute la wilaya de Médéa et de ses environs avec une capacité de production de 200 000 litres par jour.
Et Depuis les choses ne font que s’empirer. Tahar Missoum a même été interdit de parole à l’Assemblée populaire nationale (APN). Une sanction inédite jamais prise par un quelconque parlement dans le monde.
Elyas Nour
Algérie FOCUS
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