Que pensent nos voisins de l'ouest ? Ont-ils le courage de reconnaître leurs erreurs en soutenant les turcs, l’Arabie saoudite et du Qatar?
Une étreinte est comme un boomerang - elle vous revient toujours par Bil Keane
Cinq ans après la rupture unilatérale de ses relations diplomatiques avec la Syrie, le gouvernement tunisien est appelé à les reprendre.
Des centaines de groupes et de mouvements populaires ont envoyé une lettre au Premier ministre tunisien pour lui demander de renouer les relations diplomatiques avec la Syrie.
Durant l’année dernière, les différentes villes de la Tunisie ont été le théâtre de manifestations en soutien au gouvernement et à l’armée syriens dans leur lutte antiterroriste.
En 2011, la Tunisie, incitée par l’Arabie saoudite, a suspendu ses relations diplomatiques avec le gouvernement syrien et expulsé l’ambassadeur de Syrie. Dirigée par les Frères musulmans, la Tunisie a été de loin le premier pays arabe et musulman à rompre avec la Syrie.
Dès sa formation, le gouvernement nationaliste a été témoin d’un tollé général, suscité sur fond des agissements des terroristes takfiristes d’Al-Qaïda et de Daech. Ces groupes étaient soutenus, pendant les dernières années, par les anciens gouvernements tunisiens.
Dès les premiers jours du déclenchement de la crise en Syrie, des milliers de citoyens tunisiens se sont rendus dans ce pays pour venir grossir les rangs de Daech et d’Al-Qaïda, à l’aide des services de renseignement turcs, de l’Arabie saoudite et du Qatar.
Source: Pars Today
Une étreinte est comme un boomerang - elle vous revient toujours par Bil Keane
Cinq ans après la rupture unilatérale de ses relations diplomatiques avec la Syrie, le gouvernement tunisien est appelé à les reprendre.
Des centaines de groupes et de mouvements populaires ont envoyé une lettre au Premier ministre tunisien pour lui demander de renouer les relations diplomatiques avec la Syrie.
Durant l’année dernière, les différentes villes de la Tunisie ont été le théâtre de manifestations en soutien au gouvernement et à l’armée syriens dans leur lutte antiterroriste.
En 2011, la Tunisie, incitée par l’Arabie saoudite, a suspendu ses relations diplomatiques avec le gouvernement syrien et expulsé l’ambassadeur de Syrie. Dirigée par les Frères musulmans, la Tunisie a été de loin le premier pays arabe et musulman à rompre avec la Syrie.
Dès sa formation, le gouvernement nationaliste a été témoin d’un tollé général, suscité sur fond des agissements des terroristes takfiristes d’Al-Qaïda et de Daech. Ces groupes étaient soutenus, pendant les dernières années, par les anciens gouvernements tunisiens.
Dès les premiers jours du déclenchement de la crise en Syrie, des milliers de citoyens tunisiens se sont rendus dans ce pays pour venir grossir les rangs de Daech et d’Al-Qaïda, à l’aide des services de renseignement turcs, de l’Arabie saoudite et du Qatar.
Source: Pars Today
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