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Le Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations-Unies devait se pencher aujourd'hui sur deux textes rivaux appelant à un cessez-le-feu à Alep. L'une de ces résolutions, appelant à la fin des raids dans la deuxième ville de Syrie, était défendue par la France et a été rejetée par un veto russe.
Sur les quinze pays membres du Conseil de sécurité, seuls la Russie et le Venezuela se sont opposés à la proposition française. La Chine et l'Angola se sont abstenus. Les onze autres pays du Conseil, dont les Etats-Unis et le Royaume-Uni, soutenaient le texte.
"Un pays qui mettrait le veto à cette résolution serait discrédité aux yeux du monde. Il serait responsable de la poursuite des exactions", avait déclaré François Hollande plus tôt dans la journée.
La Russie réclamait de son côté une cessation des hostilités, sans évoquer ces bombardements ; un texte qui a également été rejeté dans la foulée.
l'OBS
Sur les quinze pays membres du Conseil de sécurité, seuls la Russie et le Venezuela se sont opposés à la proposition française. La Chine et l'Angola se sont abstenus. Les onze autres pays du Conseil, dont les Etats-Unis et le Royaume-Uni, soutenaient le texte.
"Un pays qui mettrait le veto à cette résolution serait discrédité aux yeux du monde. Il serait responsable de la poursuite des exactions", avait déclaré François Hollande plus tôt dans la journée.
La Russie réclamait de son côté une cessation des hostilités, sans évoquer ces bombardements ; un texte qui a également été rejeté dans la foulée.
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