Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Sahara Occidental : Qui croire ?

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Sahara Occidental : Qui croire ?

    débat à l'ONU sur le sahara

    Envoyé par Aps
    Au cours de ce débat consacré à la décolonisation des territoires non autonomes, l’intérêt a été particulièrement vif pour la question sahraouie, après les récents développements survenus dans les territoires occupés.
    La délégation sud-africaine qui a pris part à ce débat a tenu à rappeler que le Maroc est une puissance occupante, selon les résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU et les décisions de la Cour internationale de Justice.


    « Cette position est également celle de l’Union africaine « , dont l’envoyé pour le Sahara occidental, l’ancien Président du Mozambique, M. Joaquim Chissano, a eu déjà à dénoncer le manque de progrès dans l’organisation du référendum d’autodétermination.


    Wouter Hofmeyer Zaayman, le représentant de l’Afrique du Sud, a tenu à réitérer la solidarité de son pays avec la lutte du peuple sahraoui, en rappelant que le droit à l’autodétermination est le socle sur lequel la démocratie sud-africaine s’est fondée.


    Zaayman a demandé au Conseil de sécurité d’inclure une composante de protection des droits de l’homme dans le mandat de la Minurso qui doit retrouver toutes ses fonctions conformément à la résolution 2285 du Conseil de sécurité.


    Le représentant du Nicaragua a affirmé que » toute solution à la question sahraouie passait par l’organisation d’un référendum d’autodétermination ».
    M. Ruben Ignacio Zamora Rivas du Salvador a appelé de son côté à la reprise des négociations entre le Front Polisario et le Maroc, à l’arrêt depuis 2012, en réitérant son appui au projet de résolution sur le Sahara Occidental présenté par 25 pays, dont l’Algérie.


    De son côté le représentant de la Bolivie, M. Sacha Sergio LLorentty Soliz, a rappelé que la résolution 1514 adoptée par l’Assemblée générale en 1960 reconnaît le droit naturel des peuples du monde à mettre fin à la décolonisation.


    Il a jugé urgent de mettre fin aux politiques interventionnistes, en se disant consterné par le fait que 17 territoires soient toujours inscrits à la liste des territoires à décoloniser.


    La délégation du Trinité-et-Tobago a indiqué que 16 territoires non autonomes n’avaient toujours « pas de voix pour décider de leur propre avenir » et a renouvelé au cours de ce débat son soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, tout en saluant les efforts entrepris par l’Envoyé spécial du SG de l’ONU, Christopher Ross, pour la relance du processus onusien.


    La délégation de la République de Maurice, a rappelé que la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux stipule que tous les peuples ont le droit à l’autodétermination et que leur soumission constitue un déni de leurs droits humains fondamentaux.


    « Le peuple du Sahara occidental est sous occupation depuis plus de 40 ans et en dépit du fait que la question figure à l’ordre du jour de la quatrième commission et du Conseil de sécurité, aucun progrès ne semble avoir été réalisé dans le processus de décolonisation » , a dénoncé Jagdish Dharamchand Koonjul, représentant de la République de Maurice.


    La Quatrième Commission se réunira lundi prochain pour achever son débat général et adopter une partie des projets de résolutions sur la décolonisation.
    ///////////\\\\\\\\\\\\\
    Envoyé par MAP
    و.م.ع الأحد 09 أكتوبر 2016 - 05:00
    نوهت المجموعة الدولية بقوة، أمام اللجنة الرابعة للجمعية العامة للأمم المتحدة، بوجاهة ومزايا ووعود مبادرة الحكم الذاتي التي قدمها المغرب لتسوية نهائية لنزاع الصحراء، من أجل تعزيز التعاون الإقليمي وتحقيق الأمن في منطقة شاسعة تتربص بها العديد من التهديدات.

    وأكد المتدخلون، أمام اللجنة الأممية والدول الأعضاء، وباقي المتدخلين، أن "مخطط الحكم الذاتي تحت السيادة المغربية يحمل عناصر أساسية لتحقيق الاستقرار في منطقة الساحل والصحراء، والمساهمة في مكافحة الإرهاب والتهريب بكل أشكاله، والجريمة المنظمة والهجرة غير الشرعية والاتجار بالبشر، وخطر عدم الاستقرار بمنطقة الساحل والصحراء والبحر الأبيض المتوسط".

    وأكدوا أن المخطط يضمن، أيضا، تعزيز وحدة البلدان المغاربية ، لاسيما على مستوى خلق الظروف الملائمة لتنسيق أفضل للسياسات والمبادرات، مما سيتيح استغلالا أمثل للفرص الهامة بهذه البلدان لصالح شعوبها كافة.. وشددوا على أن "هذه المبادرة المتبصرة وذات المصداقية، التي تدل على الرؤية الثاقبة للمغرب، تحت قيادة الملك محمد السادس، تمثل إطارا فريدا من نوعه قادرا على تقديم حل للنزاع حول الصحراء".

    ورحبت المجموعة الدولية بـ"التقدم والإنجازات الكبيرة التي حققها المغرب في مجال حقوق الإنسان، والتنمية الاجتماعية والاقتصادية في الصحراء وبمجموع تراب المملكة، في إطار نموذج ديمقراطي اقتصادي مستدام، واعتماد نمو اقتصادي يرتكز على استثمارات ضخمة تعود بالفائدة على جميع المغاربة".

    وفي هذا الصدد، أشارت المجموعة الدولية إلى أن الملك محمد السادس أطلق، في 7 نونبر 2015، نموذجا جديدا للتنمية بالأقاليم الجنوبية، بميزانية تقدر بحوالي 8 مليارات دولار، والتي من المتوقع أن تخلق 120 ألف فرصة عمل جديدة .. كما رحب المتدخلون بـ"قرار المملكة العودة إلى عائلتها الأفريقية التي لم تتوقف عن الانتماء إليها، من خلال تقديم طلب رسمي للعودة إلى الاتحاد الأفريقي".

    وأشاروا، في هذا السياق، إلى التجذر العميق للمغرب في القارة الإفريقية، وهو" أمر حاسم بالنسبة للعديد من الأفارقة"، والذي ما فتئ يتعزز من خلال المساهمة المستمرة للمملكة في تنمية القارة بفضل "حضور اقتصادي ملحوظ".
    Dernière modification par tawenza, 09 octobre 2016, 12h33.

  • #2
    j'invite les representant du nicaragua, bolivie, trinidad et machin de venir passer une semaine à Dakhla et Laayoune en passant par agadir ifni et tarfaya par voie terrestre

    rah lpropaganda matanfa3
    La haine aveugle

    Commentaire


    • #3
      j'invite les representant du nicaragua, bolivie, trinidad
      Quelqu'un peut me dire ils se trouvent ou ces pays?

      Commentaire


      • #4
        Voici la première partie du compte rendu officiel de l'onu

        COUVERTURE DES RÉUNIONS
        CPSD/611
        7 OCTOBRE 2016
        ASSEMBLÉE GÉNÉRALE QUATRIÈME COMMISSION
        SOIXANTE ET ONZIÈME SESSION, 6E SÉANCE – APRÈS-MIDI
        ​​​​​​​Quatrième Commission: la question du Sahara occidental et la meilleure approche pour son règlement divisent l’Afrique
        Le Sahara occidental, dernier bastion du colonialisme en Afrique, a été au cœur des débats de la Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, cet après-midi alors qu’elle poursuivait son débat sur les questions de décolonisation.

        L’intérêt était vif pour le Sahara occidental, surtout à la lumière des récents développements sur le terrain -l’expulsion du personnel civil de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) et la demande faite par le Maroc de pouvoir réintégrer l’Union africaine- mais les délégations n’ont pas toutes proposé la même approche pour arriver au règlement de ce différend qui dure depuis plus de 40 ans.

        Le Botswana, le Zimbabwe et l’Afrique du Sud, le Congo et la Namibie restent fermement attachés au droit à l’autodétermination des peuples. La solution au différend du Sahara occidental passe, selon eux, par l’exercice de ce droit au moyen d’un référendum que les Sahraouis attendent depuis 24 ans. Comme l’a rappelé la délégation sud-africaine, l’Assemblée générale des Nations Unies avait reconnu le fait que le Maroc est la Puissance occupante de ce territoire, un point de vue confirmé par la Cour internationale de Justice (CIJ) dès 1975. Cette position est également celle de l’Union africaine. Son Envoyé pour le Sahara occidental, l’ancien Président du Mozambique, M. Joaquim Chissano, s’est d’ailleurs récemment adressé aux membres du Conseil de sécurité et a qualifié « de dangereux précédent » la récente décision du Maroc d’expulser le personnel civil de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) à la suite de la visite du Secrétaire général de l’ONU dans la région. Plusieurs membres de l’Union africaine redoutent une escalade militaire dans la région et dénoncent le manque de progrès dans l’organisation du référendum d’autodétermination du peuple sahraoui pour lequel ils ont demandé au Conseil de sécurité de fixer une date. De nombreux appels ont été lancés pour que la MINURSO puisse retrouver toutes ses fonctions sans plus tarder et la délégation de Maurice a proposé que le Comité spécial de la décolonisation (C24) organise une session extraordinaire sur le Sahara occidental.

        Pour d’autres délégations africaines, comme celles de la Guinée, du Sénégal, de la Gambie, du Togo, du Burundi et du Burkina Faso, mais aussi pour les pays du Conseil de coopération du Golfe qui souscrivent au principe de la solution politique négociée au différend du Sahara occidental, l’Initiative marocaine d’autonomie, soumise au Conseil de sécurité en 2011, représente la base du processus politique en cours et le cadre unique de compromis à ce différend.

        Le représentant du Burundi a rappelé la nécessité de traiter ce conflit dans le cadre d’une stratégie régionale plus large pour le Sahel pour y instiller un environnement stable et sûr. L’urgence de trouver une solution à la question du Sahara occidental, a été abordée par certaines délégations sous l’angle sécuritaire mais aussi celui de la consolidation de la coopération au sein de l’Union du Maghreb arabe. Vingt-huit États membres de l’Union africaine ont salué la décision du Maroc de redevenir membre de l’Union africaine dans la mesure où celle-ci apporterait au processus de paix au Sahara occidental un large appui.

        En fin de séance les représentants du Royaume-Uni, de l’Argentine et de l’Inde ont exercé leur droit de réponse.

        La Quatrième Commission se réunira à nouveau lundi 10 octobre à 10 heures pour achever son débat général et adopter une partie des projets de résolution relatifs aux questions de décolonisation.

        Pour consulter l'intégralité du compte rendu:http://www.un.org/press/fr/2016/cpsd611.doc.htm

        Commentaire


        • #5
          SAHARA : Qui croire ?
          Peu importe qui croire. Ce n'est que du baratin qui, comme d’habitude, ne mènera nulle part. Ces bons à rien se réunissent chaque année, ils font leurs discours et puis s'en vont. Si les commissions issues de l'Assemblée générale de l'ONU réglaient les problèmes du monde, cela se saurait.

          Commentaire


          • #6
            SAHARA : Qui croire ?
            ses yeux et ses oreilles!

            Commentaire


            • #7
              SAHARA : Qui croire ?
              Le problème ne se situe pas là,

              Celui de croire mais bien celui des données "géopoliticoéconomiques"

              Et de Ce côté là,

              Le maroc a une avance de 10 longueurs

              Commentaire


              • #8
                mahjoub dixit: " j'invite les representant du nicaragua, bolivie, trinidad et machin de venir passer une semaine à Dakhla et Laayoune en passant par agadir ifni et tarfaya par voie terrestre"

                Les colons israéliens en Palestine édictent aussi vos avanies. Reste à savoir si elles sont effectives?

                Commentaire


                • #9
                  Je suis a Dakhla en ce moment et je ne crois que ce que je vois, le drapeau est marocain, la monnaie est marocaine, le bureau de poste est marocain...le reste ce n'est que blabla

                  Commentaire


                  • #10
                    Pour consulter l'intégralité du compte rendu:http://www.un.org/press/fr/2016/cpsd611.doc.htm


                    Hamou11
                    Un compte rendu qui commence avec cette "affirmation" qui correspond à la thèse algérienne ne peut être pris au sérieux.


                    Le Sahara occidental, dernier bastion du colonialisme en Afrique, a été au cœur des débats de la Quatrième Commission,
                    Pour preuve à la fin du compte rendu il est précisé ceci:


                    À l’intention des organes d’information • Document non officiel.
                    Donc du khorti !!

                    Cette commission débat de ce problème depuis 1963 (Sur demande du Maroc contre l'occupant espagnol) c'est à dire quant l’Algérie avait un an d’existence et que les dirigeants du Polisario étaient encore à l’école primaire.

                    Pour le Maroc le problème est résolu depuis 1975 et libre à cette commission de déblatérer à vie sur incitation de la seule Algérie d'autant que ses décisions ne sont pas contraignantes

                    Commentaire

                    Chargement...
                    X