Un mari cocu menace de révéler au grand jour la liste des infidélités de sa femme, hôtesse chez Transavia, notamment avec des pilotes en plein vol.
Transavia navigue depuis quelques mois dans un ciel sulfureux. La compagnie low-cost franco-néerlandaise a ouvert une enquête interne autour des frasques présumées d'une de ses employées de cabine. La cheffe-hôtesse de 46 ans est soupçonnée d'avoir multiplié les rapports intimes en vol.
C'est le mari de la quadragénaire qui est à l'origine de l'affaire. Il affirme être tombé sur le journal intime que son épouse tenait sur son ordinateur. Il y aurait découvert ses nombreuses infidélités avec des collègues. Parmi elles figureraient plusieurs incartades avec des pilotes à l'intérieur des cockpits – au mépris de toutes les règles de sécurité.
Furax, le mari cocu a adressé des mails vengeurs aux personnes concernées, et a menacé de mettre en ligne le journal intime, avec les noms de tous les intéressés.
Huis clos
Le litige entre les époux fera l'objet d'une audience à huis clos le 24 octobre devant un tribunal de La Haye, rapporte «De Telegraaf». L'affaire provoque l'embarras chez les autorités de l’avion civile, qui ont refusé de s’exprimer. La filiale d’Air France-KLM a ordonné à ses employés de garder le silence sur l'affaire, qui durerait depuis plusieurs mois.
Confronté à des fuites, Transavia a finalement assuré que selon son enquête, «la sécurité des passagers n'avait jamais été mise en danger. Les collègues considèrent que les révélations de cet homme seraient indésirables et préjudiciables à nos intérêts. Pour nous, c'est inacceptable.»
(arg)
Transavia navigue depuis quelques mois dans un ciel sulfureux. La compagnie low-cost franco-néerlandaise a ouvert une enquête interne autour des frasques présumées d'une de ses employées de cabine. La cheffe-hôtesse de 46 ans est soupçonnée d'avoir multiplié les rapports intimes en vol.
C'est le mari de la quadragénaire qui est à l'origine de l'affaire. Il affirme être tombé sur le journal intime que son épouse tenait sur son ordinateur. Il y aurait découvert ses nombreuses infidélités avec des collègues. Parmi elles figureraient plusieurs incartades avec des pilotes à l'intérieur des cockpits – au mépris de toutes les règles de sécurité.
Furax, le mari cocu a adressé des mails vengeurs aux personnes concernées, et a menacé de mettre en ligne le journal intime, avec les noms de tous les intéressés.
Huis clos
Le litige entre les époux fera l'objet d'une audience à huis clos le 24 octobre devant un tribunal de La Haye, rapporte «De Telegraaf». L'affaire provoque l'embarras chez les autorités de l’avion civile, qui ont refusé de s’exprimer. La filiale d’Air France-KLM a ordonné à ses employés de garder le silence sur l'affaire, qui durerait depuis plusieurs mois.
Confronté à des fuites, Transavia a finalement assuré que selon son enquête, «la sécurité des passagers n'avait jamais été mise en danger. Les collègues considèrent que les révélations de cet homme seraient indésirables et préjudiciables à nos intérêts. Pour nous, c'est inacceptable.»
(arg)
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