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Situation en Libye : « une concordance de vues absolue » avec l’Algérie (Kobler)

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  • Situation en Libye : « une concordance de vues absolue » avec l’Algérie (Kobler)

    Pendant que l’Algérie aide a solutionner des problèmes que ce soit avec l'Egypte ou la Lybie d'autres se soucient de la tenue de la COP 22.



    Le Représentant Spécial du Secrétaire général de l’ONU pour la Libye, Chef de la Mission d’Appui des nations unies pour la Libye (MANUL), Martin Kobler, a affirmé jeudi à Alger qu' »il y a une concordance de vues absolue » avec l’Algérie sur la situation en Libye.
    « Nous avons échangé les vues, nous sommes tout à fait d’accord, et il y a une concordance de vues absolue » avec l’approche algérienne quant aux solutions à apporter pour la crise en Libye, a déclaré le représentant onusien à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires Maghrébines, de l’Union Africaine et de la Ligue des Etats Arabes, Abdelkader Messahel.
    Relevant qu’il était « très important d’avoir le point de vue de l’Algérie » sur cette question, M. Kobler a mis en évidence les vertus du dialogue en Libye, en plaidant pour un dialogue « entre les Libyens pour voir comment résoudre le problème ».
    Il a souligné, à ce propos, que « les problèmes ne sont pas tellement faciles à résoudre », notant que « près de dix mois après la signature de l’accord politique (17 décembre 2015), on n’a pas encore un gouvernement approuvé par la chambre des députés ».
    M. Kobler a ajouté qu' » il faut continuer sur la base de ce dialogue politique », relevant qu’il revient aux Libyens de dialoguer sur la base de cet accord politique, car il n’y a pas d’autre alternative : il faut mettre en œuvre cet accord ».
    Il a déclaré que les Nations Unies « encouragent le parlement de Tobrouk à approuver la nouvelle liste du gouvernement qui sera présentée prochainement ».
    Le représentant onusien a estimé « nécessaire » que les parties libyennes s’entendent « parce que le peuple libyen souffre du manque des services de base » citant, à titre d’exemple l’eau potable et l’électricité.
    Qualifiant d' »important » le rôle de l’Algérie sur cette question, il a déclaré à l’adresse de M. Messahel que « sans vous (l’Algérie), nous ne pouvons pas agir ».
    Pour M. Kobler, « avoir le soutien des pays limitrophes pour l’accord politique et pour l’ONU est très important ». Il a ajouté, à cet effet que « la conférence des pays voisins de la Libye qui aura lieu la semaine prochaine au Niger va aborder les questions du terrorisme, et de la migration clandestine, des fléaux qui dépassent les frontières ».
    Lors de ces entretiens, les deux responsables ont procédé à l’examen des derniers développements intervenus en Libye et des efforts entrepris en faveur de la mise en œuvre de la solution politique.
    Il a, également, été question des échéances inscrites au double agenda régional et international pour le règlement durable de la crise qui affecte « ce pays frère et voisin et le recouvrement définitif de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans la région ».(Aps)
    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,
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