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Le bon, le con, la brute et le truand
Par D. Rayan
Liamine Zeroual est le 4ème président de la république algérienne. Il est le mieux aimé des algériens après le président Boudiaf. Son mandat avait été l'amorce d'une lutte féroce et sans concessions contre le terrorisme, après l'échec de rapprochement avec avec les modérés du Fis.
Liamine reste le seul des présidents arabes a avoir démissionné de son propre chef de son poste de président et le seul chef d'Etat à avoir refusé de se présenter pour un nouvel mandat. Ces meilleures citations " Nous lutterons sans concessions contre le terrorisme "" et à l'unes victimes de l'attentat du commissariat d'Alger, il lui dira '' On en fait le maximum madame ''. Il est toujours considéré comme le Bon président que l'Algérie à eu à connaitre.
Ali Benhadj aux origines douteuses. Fils de chahid. Enseignant et rebelle éternel qui n'a jamais condamné le terrorisme. Pire, il l'a fortement encouragé en incitant les algériens à s'entretuer. C'était lui qui dira un jour que la démocratie est une innovation intellectuelle néfaste qui obsède la conscience des gens. Il dira en substance au sujet de la femme "" Elle a quitté son domicile et abandonné l’éducation de ses enfants, elle a concurrencé l’homme au travail et dans tous les domaines, elle a refusé d’être entretenue par lui et s’est libérée de toutes ses caractéristiques féminines. Les maisons ressemblent à des déserts ou à de vieilles ruines, les enfants sont devenus comme des orphelins, la pudeur et la chasteté ont disparu. La société est ébranlée et tout se débride"". Ce qui n'a pas empêché les enfants de ce prêcheur de s'écarter du droit chemin. L'un a rejoint les maquis et s'est fait exploser au moment de son interpellation par les forces de l'ordre, l'autre, devenu addictif à la drogue est un bandit multi récidiviste.
Ali Benhadj était résolu à commettre un génocide contre les kabyles s'il lui arriverait à tenir le pouvoir .Aujourd'hui, Ali Benhadj ne peut se défaire de son fond TRUAND endurci.
Ahmed Ouyahia, l'homme des basses besognes qui aime les gens avec ses pieds plutôt avec son cœur - C'était lui qui avait emprisonné les cadres honnêtes de la nation. C'était toujours lui qui avait fuir l'élite algérienne vers l'étranger.
Eradicateur convaincu de la première heure, revenu étrangement réconciliateur. Il assassinera une seconde fois toutes les victimes de la barbarie terroriste lorsqu'il serra la main au plus grand leur assassin à l'occasion d'une entrevue à la présidence. Ahmed Ouyahia a l'échine rodée aux courbettes journalières, se laisse facilement aiguiller comme un crétin avec l'illusion d'un con qui se croit se faire élire un jour président.
Madani Mezrag, terroriste dont la tête fut mise à prix à plusieurs millions de dinars, alors qu'il était activement recherché. Il est l'un des fondateurs du Fis et l'un des premiers à faire parler la poudre pour tuer de jeunes appelés.
Sa célèbre citation nous fait toujours glacer le sang 'Oui, j'ai tué de mes propres mains des militaires ''. Après avoir échouer à faire renaitre le Fis et de mettre sur rails son parti politique, il ira jusqu'à offenser le chef de l'Etat, sans qu'il soit inquiété. Riche du produit de la rapine qu'il a réunie , Cette brute se balade aujourd'hui libre comme un truand toujours armé de kalachnikov pendant que les vrais patriotes sont jetés en prison -
Qui dit mieux ?