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Presse israélienne: ‘Les berbères voient Israël comme un partenaire intellectuel contre la domination arabe’

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  • Presse israélienne: ‘Les berbères voient Israël comme un partenaire intellectuel contre la domination arabe’

    Les berbères d’Afrique du Nord souffriraient d’une domination arabe.

    C’est ce que découvre, al-masdar, site d’information israélien, édité en langue arabe.

    Dans un article intitulé ‘10 Faits sur les Amazighs’, le site d’information israélien a clamé qu’une fraternité est née depuis un millier d’années, entre tribus juives et tribus berbères, dans les régions montagneuses de l’Atlas marocain.

    Cette ‘fraternité historique’ entre les deux populations, poursuit le site israélien, se perpétue jusqu’à aujourd’hui par le rejet d’un ennemi commun: l’arabe.

    al-masdar en a écrit :
    ‘‘Aujourd'hui, les Amazighs soutiennent l'Etat d'Israël et voient en lui un partenaire intellectuel dans la lutte contre la domination arabe dans la région. Certains ont même appelé à la pleine normalisation des relations avec l'Etat d'Israël.’’

    al-masdar a ajouté que historiquement, les berbères ont volontairement adopté les valeurs de l’Islam mais, indique-t-il, ont rejeté l’arabité en la qualifiant de
    ‘coercition civilisationnelle’‘.

    En fin al-masdar a précisé que les berbères en Afrique du nord seraient une population nombreuse de 35 à 45 millions d’individus. Ils seraient 40 à 45% des marocains, 20 à 25% des algériens et 5 à 10% des tunisiens et des libyens.

    lemag

  • #2
    c'st une façon de semer la zizanie entre berbères et arabes en Afrique du nord,en tant qu'Amazigh je condamne cette attitude belliqueuse de cet Etat raciste qui rêve de déstabiliser les pays du Maghreb

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    • #3
      Depuis des millénaires, l'un des traits spécifiques de l'identité amazigh est la résistance sous toutes ses formes, notamment à la colonisation de peuplement par des population allogènes ( carthaginois, romains, français ou européens) et à la domination politico-idéologique et militaire (califats ou empires arabes du moyen-orient puis ottoman). Aussi, répondre favorablement à l'offensive de charme du pouvoir israélien - contrôlé par la droite et l'extrême droite raciste- reviendrait à:
      - trahir la résistances et les combats de toujours de nos ancêtres amazighs en nous alliant à des forces qui dominent, exploitent et colonisent un autre peuple, celui de Palestine;
      - abandonner les forces favorables à la paix et au progrès aussi bien parmi les israéliens que les palestiniens;
      - affaiblir les pays d'Afrique du nord (Tamezgha) en introduisant une cause de discorde interne (pour ou contre Israël colonialiste) qui, loin de servir les intérêts des imazighen, servirait plutôt ceux du pouvoir israélien raciste et de leurs alliés honteux parmi les régimes arabes rétrogrades, à commencer par l'Arabie saoudite, Qatar et les autres émirats obscurantistes.

      Commentaire


      • #4
        moi en tant qu'amazigh algerien pure souche c'est a dire sedentaire -je ne pretend pas que mon adn n'est pas melangé mais je sais par l'arbre genealogique du village que je suis né en algerie depuis que mon arriere..... arriere grand pere ressemblait a un lezard amazigh...jamais la peuplade juive n a essayer de me faire occulter ma langue pour m'obliger a apprendre l'hebreux -jamais la peuplade juive n' a occupé et deruit les palais berberes depuis 3000 ans -jamais la peuplade juive n'a deporté des amazighs comme esclave a jerusalem ou dans le coin ...par consequent je declare n'avoir aucun litige territoriale ,politique ou linguistique dans ma vie de tous les jours aujourd'hui et depuis toujours avec eux -en revanche comme amazigh nous avons rencontré des soucis avec une autre peuplade dont les origines se situerait dans le coin-tout rapprochement des amazighs avec le peuple juif declenche la fureur de la peuplade arabe avec laquelle l'amazigh a en revanche des soucis culturels, linguistiques et meme politique ...ai je besoin de dire comme amazigh que je ne suis pas arabe et que je ne partage pas les memes ennemis sur cette terre que les arabes ...les amazighs d'ailleurs sont un peuple pacifique ,si certains ont des envies guerrieres contre les juifs c'est qu'ils ne font pas partie du pauple amazighs-qui sont ils donc?

        Commentaire


        • #5
          pour asdecoeur

          on parle d'israel pas du peuple juif.

          la peuplade arabe avec laquelle l'amazigh a en revanche des soucis culturels, linguistiques et meme politique

          un peu comme la peuplade venue avec la domination francaise non???

          Commentaire


          • #6
            Pour tous les habitants d'Afrique du nord qui pensent qu'ils sont arabes, voici un texte de Sophie Bessis, historienne franco-tunisienne, qu'ils doivent lire et relire :

            Génétiquement, les Maghrébins ne sont pas des Arabes

            Le Fantasme


            Alors que la majorité des Maghrébins s’identifie culturellement aux Arabes, des études scientifiques tendent à indiquer qu’ils seraient ethniquement plus proches des Berbères et de certains Européens, qu’ils ne le sont des Arabes. « Comparés avec d’autres communautés, notre résultat indique que les Tunisiens sont très liés aux Nord-Africains et aux Européens de l’Ouest, en particulier aux Ibériques, et que les Tunisiens, les Algériens et les Marocains sont proches des Berbères, suggérant une petite contribution génétique des Arabes qui ont peuplé la région au VIIe ou VIIIe siècle. » ( A. Hajjej, H. Kâabi, M. H. Sellami, A. Dridi, A. Jeridi, W. El Borgi, G. Cherif, A. Elgaâïed, W. Y. Almawi, K. Boukef et S. Hmida, « The contribution of HLA class I and II alleles and haplotypes to the investigation of the evolutionary history of Tunisians », Tissue Antigens, vol. 68, n°2, août 2006, pp. 153–162).

            Bien que ces études se soient basées sur des échantillons retreints, elles sont parlantes. Elles confirment ce que les historiens ont toujours affirmé : l’apport arabe est très minoritaire dans les populations maghrébines (Ibn Khaldoun, Gabriel Camps, etc.), car quelques dizaines de milliers d’envahisseurs arabes n’ont pas pu, génétiquement et matériellement, changer des millions de Berbères en Arabes.

            Le verdict des chercheurs ci-dessus est sans appel : l’identité arabe (ou arabo-musulmane) du Maghreb relève plus du fantasme que de la réalité. Ce fantasme a été injecté dans les têtes et les esprits à une époque récente, inventée par les monarchies pétrolières et leurs agents islamistes (on vient de découvrir que Ghannouchi est un agent du MI6 britannique, et que Morsi, le président égyptien déchu, est un agent de la NSA américaine, sans parler des rois et des émirs qui roulent tous pour l’impérialisme anglo-saxon). En psychologie, un fantasme est une construction consciente ou inconsciente, permettant au sujet qui s’y met en scène, d’exprimer et de satisfaire un désir plus ou moins refoulé, de surmonter une angoisse.

            Par ailleurs, le plus grand historien maghrébin, Ibn Khaldoun, l’a énoncé et démontré : les Maghrébins ne sont pas des Arabes, ce sont des Berbères « arabisés » (mousta’arabouneمستعربون ).

            Historiquement et de tout temps, la culture arabe a toujours nettement distingué les Arabes (considérés comme la race supérieure, celle qui doit, de droit divin, détenir pouvoir et richesse) des non Arabes (les sujets de seconde zone, les peuples dominés). Ceux-ci sont appelés ‘Ajam, عجم , c’est-à-dire des non arabes, « des étrangers », comme l’étaient les « barbares » pour les Grecs ou les Romains. Les ‘Ajam regroupaient les Perses, les Roums (Byzantins), les Turcs, les Berbères etc. tous les peuples soumis par les armes, même s’ils se sont islamisés. Se déclarer musulman permettait alors d’échapper à l’impôt (assez lourd) que devait payer tout sujet non musulman. Cet impôt constituait alors le principal revenu relativement stable de l’empire arabe. Donc, même pour ceux qui ont opté pour la culture et la religion arabes, ils restent, aux yeux des Arabes de souche, des « non Arabes ». C’est toujours le cas aujourd’hui : les Arabes du Golfe considèrent toujours les Maghrébins avec une certaine condescendance, ils les traitent comme des «Arabes de seconde catégorie ». Comme, en plus, ce sont eux qui disposent aujourd’hui de la manne des pétrodollars, leur morgue et leur mépris pour les Maghrébins et pour les autres non-arabes sont sans limite.

            Rappel historique

            Le Maghreb, initialement peuplé de Berbères, a été envahi par de nombreuses civilisations, qui ont toutes été assimilées à des degrés divers : Phéniciens, Romains, Vandales, Arabes, Espagnols, Turcs et Français. De plus, beaucoup de Maures (Espagnols islamisés) et de Juifs arrivèrent d’Andalousie à la fin du XVe siècle.

            Les premiers Arabes orientaux, venus à partir du VIIe siècle avec les conquêtes musulmanes, ont contribué à l’islamisation du Maghreb. C’est à partir du XIe siècle, avec l’arrivée des tribus hilaliennes (tribus bédouines arabes) chassées d’Égypte, que l’arabisation linguistique et culturelle s’est renforcée. En conséquence, pour pouvoir profiter des gains et des prébendes, qui étaient le lot des conquérants arabes victorieux, il valait mieux se déclarer arabe et musulman, être du côté des vainqueurs et des maîtres. Beaucoup de tribus berbères ont opté pour ce choix : elles renient leur berbérité pour se déclarer arabe (voir Arabisation du Maghreb : qu’en est-il au juste ?). Le même phénomène continue jusqu’à nos jours.

            Cette mentalité s’est incrustée dans la mémoire collective de beaucoup de Maghrébins depuis cette époque : se déclarer, aujourd’hui arabo-musulman, signifie être du côté des maîtres, des chefs, des prédateurs, des nouveaux oligarques islamistes. De nos jours, on voit ce phénomène en Tunisie, en Libye, et ailleurs : ceux qui veulent profiter des postes de direction et des prébendes qui vont avec, ceux qui veulent acheter les biens de l’Etat à vil prix, ceux qui veulent caser les membres de leurs familles, se découvrent, soudain, pro-islamistes. Car les islamistes, qui sont au pouvoir, considèrent la province conquise (pour eux, la notion d’Etat nation n’existe pas. Tous les pays ne sont que des provinces du califat projeté) comme leur propriété privée, leur prise de guerre, suite à une razzia appelée, par les démocraties occidentales, des « élections libres et transparentes », mais que les Tunisiens considèrent comme frauduleuses et truquées. Comme on disait en Mai68 : « élections, piège à cons ».

            A. Génétique : Adn et généalogie ou l’histoire de nos ancêtres

            A partir d’un simple prélèvement salivaire, les généticiens sont désormais en mesure de retracer l’histoire des migrations des ancêtres de tout individu. Leurs techniques sont si performantes qu’elles permettent de remonter jusqu’à la préhistoire, soit 900 ans avant Jésus-Christ, juste avant l’arrivée, en 814 av. J.C., de Didon/Elyssa, fondatrice et reine de Carthage.

            C’est au travers de l’haplogroupe que les généticiens sont capables de remonter la lignée généalogique sur autant de décennies. Les haplogroupes peuvent se définir comme les branches de l’arbre généalogique des Homo Sapiens, ils représentent l’ensemble des personnes ayant un profil génétique similaire grâce au partage d’un ancêtre commun.

            On distingue deux sortes d’haplogroupe, le premier étant d’ADN mitochondrial et le second le chromosome Y. L’ADN mitochondrial (ADNmt) est transmis de la mère à ses enfants (fille et garçon), l’haplogroupe ADNmt réunit les personnes d’une même lignée maternelle. Le chromosome Y est transmis uniquement du père vers son fils, l’haplogroupe chromosome Y se compose des hommes partageant un ancêtre de la lignée paternelle.

            Grâce à l’identification des haplogroupes et à leur comparaison entre populations, il est possible de connaître, avec une certitude relative, les déplacements migratoires réalisés par des peuples. Ces techniques permettent donc de déterminer la zone géographique dans laquelle nos ancêtres vécurent.

            Lignée paternelle maghrébine : l’ADN du chromosome Y

            Les principaux haplogroupes du chromosome Y des Maghrébins (berbérophones et arabophones) les plus courants sont : le marqueur berbère E1b1b1b (M81) (65 % en moyenne) et le marqueur arabe J1 (M267) (15 % en moyenne). Plus de 80 % des Maghrébins y appartiennent.

            E1b1b1b est le marqueur berbère. Il est caractéristique des populations du Maghreb. Dans certaines parties isolées du Maghreb, sa fréquence peut culminer jusqu’à 100 % de la population. Ce haplogroupe se retrouve aussi dans la péninsule Ibérique (5 % en moyenne) et à des fréquences moins élevées, en Italie, en Grèce et en France.

            J1 est un haplogroupe « sémitique » très fréquent dans la péninsule arabique, avec des fréquences avoisinant 70 % au Yémen. J1 est le marqueur « arabe ». 20 % des Juifs appartiennent aussi à J1. On en conclut que l’origine des Arabes est le Yémen. Le marqueur arabe se retrouve aussi en Turquie, en Europe du Sud et en France.

            D’après les données du tableau intitulé « Lignée paternelle : l’ADN du chromosome Y » figurant dans l’article de Wikipédia relatif aux Maghrébins, nous avons calculé que, en moyenne, chez les Maghrébins, le marqueur berbère est majoritaire à 59,6%, et que le marqueur arabe est minoritaire à 20,6%.

            Lignée maternelle : l’ADN mitochondrial

            Selon le même tableau cité ci-dessus, les études montrent que la structure génétique mitochondriale générale des populations du Maghreb est composée majoritairement d’haplogroupes (H, J, T, V…) fréquents dans les populations européennes (de 45 à 85 %), d’haplogroupes L (de 3 à 50 %) très fréquents dans les populations sub-sahariennes, et d’autres haplogroupes très minoritaires.

            Conclusions de la génétique

            En moyenne, le Maghrébin est donc , globalement, :

            – à 60% d’ascendance berbère et à 20% d’ascendance arabe du côté paternel,

            – à plus de 50% d’ascendances diverses, qu’il partage avec les Européens, du côté maternel.

            Les défenseurs de l’hégémonie, voire même de l’exclusivité du caractère arabo-musulman du Maghreb, tentent de gommer de la mémoire collective toutes les autres composantes de l’identité nationale ou maghrébine et d’imposer une conception extraterritoriale de l’État nation, en l’occurrence la Oumma islamique, cet ensemble mou et informe, prélude à la dissolution de la Tunisie, de l’Algérie et du Maroc dans un califat archaïque et cauchemardesque. Mais là où le bât blesse encore plus, c’est que, alors que la plupart des sociétés modernes s’orientent vers le multiculturalisme et vers l’ouverture, le « monde arabe » semble à la recherche d’une pureté identitaire chimérique et complètement fantasmée.

            B. L’héritage linguistique maghrébin

            La langue berbère de nos premiers ancêtres maghrébins est devenue minoritaire aujourd’hui : quasiment éradiquée en Tunisie et en Libye, elle est encore vivante au Maroc et en Algérie.

            Les Maghrébins actuels parlent, en majorité, une langue commune, la darija ou derji. Cet ensemble de parlers populaires est appelé maghribi par les linguistes, ou langue maghribia ou maghrébia. La Maghrébia est une langue issue du « mariage » des langues berbère et punique. Ces deux langues sont relativement proches car elles font partie de la famille linguistique chamito-sémitique. Elles sont aussi, historiquement, très antérieures à la langue arabe, la langue du Coran, dont la première preuve écrite indiscutable date du septième siècle (les plus vieux feuillets du Coran, visibles à la Bibliothèque Nationale de France, dateraient de 34 ans après l’hégire). La langue maghrébia précède donc la langue arabe de plus mille ans : affirmer que la Maghrébia découle de l’arabe est donc un « non sens » historique. Voir, pour plus de détail, notre article intitulé « La langue maghrébia date de plus de 25 siècles ».

            Comme, par ailleurs, la langue phénicienne et la langue arabe sont des langues sémitiques, elles ont beaucoup de termes communs ou phonétiquement voisins. D’ailleurs les noms de beaucoup de lettres de l’alphabet arabe sont les mêmes en punique et signifient la même chose. Autrement dit, les langues maghrébia et arabe, issues du même ancêtre sémitique, sont des langues cousines, comme le sont par exemple l’espagnol et l’italien. Cet aspect linguistique explique pourquoi « l’arabisation » de la Berbérie s’est faite rapidement et facilement. En fait d’arabisation, les populations punico-berbère des villes et des côtes parlaient déjà la Maghrébia, une langue très proche de l’arabe. Avec les conquêtes arabes, la Maghrébia s’est enrichie de l’apport arabe, mais elle reste une langue distincte de l’arabe : lorsque deux Maghrébins parlent entre eux, un Saoudien ou un Syrien aura du mal à les comprendre.

            Depuis ces temps préhistoriques, cette langue maghrébia – tant méprisée par les autorités politiques maghrébines, toutes tendances confondues – perdure et continue à vivre. Malgré toutes les lois et toutes les déclarations pompeuses, la langue arabe n’a jamais été et ne sera jamais la langue maternelle de quiconque, y compris à la Mecque, son lieu de naissance officiel. Elle ne perdure que grâce à deux phénomènes : (1) c’est la langue du Coran et (2) par la volonté politique des gouvernements des pays arabes.

            P.

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            • #7
              Envoyé par mazghana
              ...
              on parle d'israel pas du peuple juif.
              ...
              Au fond, les ancêtres des israéliens étaient les frères de nos ancêtres. C'était le monothéisme d'Akhenaton qui avait divisait le peuple.

              Sous la colère du clergé d' Amon et la destruction d'Akhet-Aton ( capitale d'Akenaton ), une partie du peuple ( le peuple élu ) s'est enfuie vers l'Est. Elle a fondé Yathrib ( ath rebbi )* et Jérusalem.

              * Yathrib ( ath rebbi ) rebaptisée beaucoup plu-tard Médine.

              P.
              Dernière modification par Pangeen, 17 octobre 2016, 16h50.

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              • #8
                Les Juifs étaient là bien avant la venue des Arabes...

                Les Juifs de Cyrène et d’Égypte épargnés, dispersés sur
                l’ordre d’Hadrien, émigrèrent dans l’Ouest ; c’est de cette dispersion que date l’établissement définitif en Espagne et la venue dans la province d’Afrique en 115 Av JC.
                E MERCIER, Histoire de l’Afrique Septentrionale.
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                Commentaire


                • #9
                  Au fond, les ancêtres des israéliens étaient les frères de nos ancêtres
                  et les ancêtres des arabes étaient les frères des ancêtres des israéliens ....Comme le monde est petit

                  et Sophie Bessis (up) est notre cousine, à toi et à moi ................


                  ..................
                  Dernière modification par etudiant, 17 octobre 2016, 17h35.

                  Commentaire


                  • #10
                    pour mazghana


                    on parle d'israel pas du peuple juif.

                    la peuplade arabe avec laquelle l'amazigh a en revanche des soucis culturels, linguistiques et meme politique

                    un peu comme la peuplade venue avec la domination francaise non???

                    israel n'existe que depuis le 14 mai 1948...raison de plus pour n'avoir aucun doute que nous algeriens amazighs rescapés de l'aneantissement par la culture arabe et l'arabisation -que jamais nous avons eu a souffrir d'une quelconque oppression de l'etat hebreux ,juif ou israelien -appelez le comme cela vous chante !... nous avons des temoins encore vivant pour prouver que jamais israel n'a intenté a la securité des montagnes de la kabylie ou tenter d'exporter des livres en hebreux chez nous pour affaiblir notre culture et notre identité et a terme nous faire disparaitre pour ne survivent plus sur la terre algerienne que des josephs!!! ce que certains ont fait-mais vous les connaissez tous-inutiles d'en parler ...


                    ce que tu appelles la peuplade amazighs, c'est le peuple qui a donné naissance a l'humanité -car certains disent aujourd'hui que le vrai berceau de l'humanité se situe en afrique - tout est parti de la et non comme certains le pensent en arabie ...si ce combat est reapparut lors de la colonisation française c'est que les concepts de liberté,de justice et d'egalité sont present dans la culture française malgré la colonisation -ce qui est etranger a la culture arabo musulmane -et c'est pourquoi durant la colonisation arabo musulmane de l'afrique du nord ,jamais une telle idee ne pouvait naitre .


                    je peux te renseigner encore si tu le souhaites ! il faut sortir de l'endoctrinement .

                    Commentaire


                    • #11
                      salam

                      tout ce beau monde ydezz maahem

                      rana hna, rana hna, 7hna hna w eddenia mazaleha etewila

                      tahya 7hna
                      انحبكم

                      Commentaire


                      • #12
                        pangeen !!

                        c'est quoi cette nouvelle mode , surtout chez les berberistes, de parlez de race, arabe n'a jamais été une race, c'est une langue et une culture !!


                        les touareg de mali ont les même genes que les autres maliens noires, pourtant ils sont berbères (culturellement et linguistiquement) !!

                        les américains sont des anglos saxons (langue et culture) pourtant ,racialement c'est autre chose

                        donc hadik qui a fait l'é"tude, taqdar hata hiya eddez maahem
                        انحبكم

                        Commentaire


                        • #13
                          Presse israélienne: ‘Les berbères voient Israël comme un partenaire intellectuel contre la domination arabe’

                          les gheraybo leur media et la presse israélienne,, un interet specialla presse israelienne a parler de cela:
                          Le Maroc a “aidé Israël à gagner la guerre des Six Jours” en prévenant les renseignements
                          donc ya un lien entre les deux, avec les enfants sans identités, ils peuvent porté diefferente ethnie,et nationalités tout dépend de moul le riz, un moment berber, un moment sunnite, un moment arabe, un moment sahraoui, rifi, oujdi,,,,
                          voila l'autre enfants de biafra, arrive
                          المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

                          Commentaire


                          • #14
                            rana hna, rana hna, 7hna hna w eddenia mazaleha etewila
                            Crie le encore plus fort, ça dissipera encore plus tes doutes!!!
                            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                            Commentaire


                            • #15
                              ce que tu appelles la peuplade amazighs, c'est le peuple qui a donné naissance a l'humanité -car certains disent aujourd'hui que le vrai berceau de l'humanité se situe en afrique
                              Selon ces théories , effectivement, le berceau de l’humanité se situe en Afrique, sachant que les africains sont noirs de peau, ceux qui se sont déplacés en Europe ont vu leur peau blanchir, ceux vers l Asie leur peau jaunir , et ceux vers les Amériques leur peau rougir, ceci , du au climat , les africains sont restés noirs , alors , comment justifier la présence de blancs dans ce continent qui prétendent faire partie de ce berceau ?

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