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Parmi 30.000 étudiants boursiers envoyés par l’Algérie/”Seuls 30% sont revenus au pays”

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  • Parmi 30.000 étudiants boursiers envoyés par l’Algérie/”Seuls 30% sont revenus au pays”

    Retenir ses génies et sa matière grise, c’est le défi auquel est confronté l’Algérie depuis des années. Mais un défi qui prend une importance vitale dans cette période si cruciale de l’histoire de notre pays lequel cherche à se transformer pour sortir d’une très difficile crise financière.

    Et c’est un travail titanesque qui attend les autorités algériennes, reconnaît à ce sujet Hafidh Aourag, directeur général de la Recherche Scientifique au ministère de l’Enseignement Supérieur. Ce haut responsable a confié que sur les 30.000 étudiants boursiers envoyés, dans les années 80, en formation à l’étranger , “seuls 30% sont revenus au pays ” ! Une véritable hémorragie qui a empêché le développement de notre pays.

    Il explique ces défections par la « phase de déstabilisation » de la recherche scientifique créée durant la décennie de terrorisme, à laquelle, ajoute-t-il, était venue s’ajouter la dissolution de l’Office national de recherche scientifique. En revanche, le même interlocuteur a expliqué ce lundi sur les ondes de la radio nationale Chaîne III que de plus en plus de chercheurs algériens travaillant au sein des plus grandes universités algériennes reviennent au pays pour donner un coup de main aux universités algériennes. Selon lui, depuis 2010, ils sont quelque 100 chercheurs qui reviennent annuellement au pays, soit pour y faire profiter momentanément de leurs travaux, soit pour s’y installer définitivement. Une dynamique qu’il faut encourager pour que l’Algérie puisse enfin profiter de ses génies.
    Algérie-Focus

  • #2
    Il explique ces défections par la « phase de déstabilisation » de la recherche scientifique créée durant la décennie de terrorisme,
    C"est faux ! La grande majorité envoyée pour l'encadrement des sociétés nationales ,c'est bien avant le terrorisme .

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    • #3
      Envoyé par mohoo
      ...
      Il explique ces défections par la « phase de déstabilisation » de la recherche scientifique créée durant la décennie de terrorisme, à laquelle, ajoute-t-il, était venue s’ajouter la dissolution de l’Office national de recherche scientifique
      ...
      Hafidh Aourag botte en touche sur la véritable raison qui a poussé cette matière grise à fuir son propre pays. Il ne dit pas un mot sur la politique d'arabisation et ses conséquences.

      Il confond la fuite de cerveaux engendrée par le terrorisme des années 90 ( des cerveaux pour l'essentiel formés en Algérie ) et la fuite des cerveaux formés à l'étranger dans les années 70 et 80.

      Pour la première catégorie ( cerveaux formés en Algérie ) c'est le terrorisme qui a servi d'alibi mais pour la deuxième catégorie ( cerveaux formés à l'étranger ) c'est, essentiellement, la politique d'arabisation et ses conséquences qui nous ont poussé à l'exil forcé.

      P.

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      • #4
        Et sur les étudiants qui galèrent aujourd'hui en France et ailleurs, il ne dit rien ce haut responsable!!! Sans doute que ses enfants sont boursiers eux... voire des éternels étudiants!oeilfermé
        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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        • #5
          30 000 étudiants boursiers ?la bonne blague!!!

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          • #6
            Envoyé par prenpalatete
            30 000 étudiants boursiers ?la bonne blague!!!
            Dans le texte, il était dit 30 000 étudiants boursiers dans les années 80 soit sur une décennie ce qui donne une moyenne de 3000 étudiants par an.

            Personnellement, je pense que le chiffre cité est un cumul des années 70 et 80 soit une moyenne de 1500 étudiant par an. Un chiffre plausible quand on connait la réalité de ces années la ( pratiquement toutes les sociétés nationales proposaient des formations à l'étranger ).

            P.

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            • #7
              toutes ces bourses ne sont pas toutes algériennes.
              Dans les années 70 et 80, elles sont quasiment toutes étrangères issues d'agence d'aide au développement.

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              • #8
                Pangeen ,
                à ma connaissance il n'y a pratiquement plus de boursiers officiels.pour ceux sous le manteau c'est un secret d'état.

                Commentaire


                • #9
                  Envoyé par prenpalatete
                  Pangeen ,
                  à ma connaissance il n'y a pratiquement plus de boursiers officiels.pour ceux sous le manteau c'est un secret d'état.
                  Et oui les années 70 et 80, c'est fini pour les gens du peuple. Maintenant, il n ' y' a que des rares privilégies de la nomenklatura qui peuvent prétendre à des bourses destinées en théorie aux meilleurs élèves mais détournées dans la pratique au bénéfice d'enfants de la nomenklatura. Il en est de même pour certains postes de travail.

                  P.

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                  • #10
                    Dans les années 70 et 80, elles sont quasiment toutes étrangères issues d'agence d'aide au développement.
                    dans les années 80 c'était surtout des bourses nationales ..

                    et je vais mettre mon pavé dans la marre; on parlait et pensait souvent déménagement à la fin des études ...y en a qui l'avaient fait pour retourner après dans ces pays ....crise économique, politique ou crise conjugale, je ne saurais le dire

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                    • #11
                      j'ai écouté le type ce matin ..."tu te rends compte on leur donne des billets en première classe" a faillit lâcher le monsieur ...

                      http://www.radioalgerie.dz/chaine3/l...r%C3%A9daction

                      ces gens n'ont pas besoin de billets ya al hadj : des moyens et moins de bureaucratie ( qui va ruiner ce pays )
                      وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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