Décidément le Maroc s'étripe nombreux pays (à exception de son parrain français) à propos de sa colonisation du Sahara Occidental.
Ne serait-il pas plus judicieux au royaume chérifien d'abandonner son occupation du Sahara Occupation et mettre un accent particulier sur la rétrocession de l'îlot à chèvres de Persil par l'Espagne?
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La récente visite d'une délégation du Polisario au Caire a ravivé les tensions entre le Maroc et l'Égypte. Cette fois-ci, le pays de Mohammed VI fais les frais des divergences régionales entre l'Égypte et l'Arabie saoudite.
Avec l’Égypte, le Maroc a toujours eu des relations en dents de scie à cause du Sahara occidental. Le dernier incident s’est produit samedi 10 octobre lorsque le pays d’Al Sissi a reçu une délégation parlementaire sahraouie, conduite par le chef du Parlement de la RASD, Khatri Addouh, à l’occasion d’une conférence parlementaire arabo-africaine à Charm el-Cheikh.
En marge de cette rencontre qui s’est étalée sur plusieurs jours, les parlementaires sahraouis ont eu des discussions avec la partie égyptienne sur la question du Sahara occidental. Rabat, qui n’a pas réagi officiellement, a fait savoir via la presse marocaine son indignation au sujet de l’accueil réservé à la délégation sahraouie, estimant que le Caire avait déjà assuré le Maroc de son soutien concernant son intégrité territoriale.
Victime collatérale
En réalité, le Maroc semble subir les dommages collatéraux de la détérioration des relations entre le Caire et Riyad à la suite de désaccords régionaux sur la Syrie et le Yémen. Depuis quelques semaines, rien ne va plus entre les deux capitales.
Début octobre, l’Arabie saoudite a suspendu ses livraisons de pétrole à l’Égypte. En riposte, cette dernière a voté à l’ONU un projet de résolution russe défavorable aux Saoudiens. Lequel projet demande le départ des membres du Front Fath al-Cham de l’est d’Alep, classé par Riyad dans l’opposition modérée, mais considéré comme terroriste par Moscou.
Source: Jeune Afrique
Ne serait-il pas plus judicieux au royaume chérifien d'abandonner son occupation du Sahara Occupation et mettre un accent particulier sur la rétrocession de l'îlot à chèvres de Persil par l'Espagne?
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La récente visite d'une délégation du Polisario au Caire a ravivé les tensions entre le Maroc et l'Égypte. Cette fois-ci, le pays de Mohammed VI fais les frais des divergences régionales entre l'Égypte et l'Arabie saoudite.
Avec l’Égypte, le Maroc a toujours eu des relations en dents de scie à cause du Sahara occidental. Le dernier incident s’est produit samedi 10 octobre lorsque le pays d’Al Sissi a reçu une délégation parlementaire sahraouie, conduite par le chef du Parlement de la RASD, Khatri Addouh, à l’occasion d’une conférence parlementaire arabo-africaine à Charm el-Cheikh.
En marge de cette rencontre qui s’est étalée sur plusieurs jours, les parlementaires sahraouis ont eu des discussions avec la partie égyptienne sur la question du Sahara occidental. Rabat, qui n’a pas réagi officiellement, a fait savoir via la presse marocaine son indignation au sujet de l’accueil réservé à la délégation sahraouie, estimant que le Caire avait déjà assuré le Maroc de son soutien concernant son intégrité territoriale.
Victime collatérale
En réalité, le Maroc semble subir les dommages collatéraux de la détérioration des relations entre le Caire et Riyad à la suite de désaccords régionaux sur la Syrie et le Yémen. Depuis quelques semaines, rien ne va plus entre les deux capitales.
Début octobre, l’Arabie saoudite a suspendu ses livraisons de pétrole à l’Égypte. En riposte, cette dernière a voté à l’ONU un projet de résolution russe défavorable aux Saoudiens. Lequel projet demande le départ des membres du Front Fath al-Cham de l’est d’Alep, classé par Riyad dans l’opposition modérée, mais considéré comme terroriste par Moscou.
Source: Jeune Afrique
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