Ce n'est pas trop qu'une telle entreprise se créée face aux hideux potentats dictateurs.
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Le compte @GVA_Watcher s’est donné pour mission de « traquer les avions des dictateurs » qui se posent à l’aéroport de Genève. Un Boeing 737, utilisé à l'occasion par le roi, y est répertorié depuis le 4 septembre aux côtés de la flotte d’autres chefs d’Etats ainsi réunis sur la base du Democracy Index 2015
Le compte Twitter @GVA_Watcher s’est donné pour mission de traquer les avions des dirigeants de régimes qu’il qualifie d’autoritaires et transitant par l’aéroport de Genève. Un appareil utilisé par le roi, la famille royale, mais aussi parfois par certains officiels, a été ajouté à la liste le 4 septembre 2016.
(...)
Les déplacements privés du roi à l’étranger n’étant pas annoncés par la Maison royale ou systématiquement rendus publics – ce qui pose en effet une question de transparence, mais pas forcément de gouvernance -, la presse, à l’instar du Desk, a adopté un système beaucoup plus généralisé et davantage précis pour les suivre à travers des sites spécialisés comme FlightRadar24.
Ces vols, aussi discrets soient-ils, ne relèvent pas non plus du secret d’Etat, ce que ce compte Twitter tend à faire croire, risquant ainsi de verser dans l’amalgame entre dictateurs véreux et tout chef d’Etat – pris comme tel par une qualification du niveau de démocratie de leur régime – et disposant en toute légalité d’une flotte d’appareils destinés à leur usage privé ou officiel.
Source: le desk
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Le compte @GVA_Watcher s’est donné pour mission de « traquer les avions des dictateurs » qui se posent à l’aéroport de Genève. Un Boeing 737, utilisé à l'occasion par le roi, y est répertorié depuis le 4 septembre aux côtés de la flotte d’autres chefs d’Etats ainsi réunis sur la base du Democracy Index 2015
Le compte Twitter @GVA_Watcher s’est donné pour mission de traquer les avions des dirigeants de régimes qu’il qualifie d’autoritaires et transitant par l’aéroport de Genève. Un appareil utilisé par le roi, la famille royale, mais aussi parfois par certains officiels, a été ajouté à la liste le 4 septembre 2016.
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Les déplacements privés du roi à l’étranger n’étant pas annoncés par la Maison royale ou systématiquement rendus publics – ce qui pose en effet une question de transparence, mais pas forcément de gouvernance -, la presse, à l’instar du Desk, a adopté un système beaucoup plus généralisé et davantage précis pour les suivre à travers des sites spécialisés comme FlightRadar24.
Ces vols, aussi discrets soient-ils, ne relèvent pas non plus du secret d’Etat, ce que ce compte Twitter tend à faire croire, risquant ainsi de verser dans l’amalgame entre dictateurs véreux et tout chef d’Etat – pris comme tel par une qualification du niveau de démocratie de leur régime – et disposant en toute légalité d’une flotte d’appareils destinés à leur usage privé ou officiel.
Source: le desk
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