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Pour mon très cher ami M auquel je souhaite tout le bonheur, la santé et la prospérité qu'il mérite.
=== MODERATION ===
Topic fermé à la demande de Vanity.
Les mots, mon tendre ami, vois-tu
Depuis un temps déjà me boudent
Les dompter dès lors en impromptu
D’un art déchiré que l’on ne ressoude
S’avère pour moi, bien lourde tache
Et pour mon infortunée âme flemmarde
Puissé-je néanmoins, et point en barde
T’offrir des vers à l’envers, sans panache
De menus vers pour le valeureux homme
Au cœur noble et bienveillant à n’en finir
D’infimes rimes que poésie l’on ne nomme
De la môme qui, de verve n’a que le souvenir
Toi qui n’oublies, qui ne fausses compagnie
Qui viens même dans mes pesants silences
Que je triture le verbe, le manie ou le remanie
Qu’insipides seraient forcément mes stances
Car vois-tu, vénérable ami, jamais point vocable
Ne rendrait justice, tant l’âme en toi est sublime
Daigne donc ce soir, et que cela soit mémorable
Assumer amitié et estime que le cœur exprime
Puisse ta vie, longtemps et abondamment reluire
Au gré des plus pures joies jamais éprouvées
Ton cœur bondir, rebondir mais ne jamais sentir
Le malheur qui guette ; paix enfin retrouvée !
Avec toute mon affection.
Depuis un temps déjà me boudent
Les dompter dès lors en impromptu
D’un art déchiré que l’on ne ressoude
S’avère pour moi, bien lourde tache
Et pour mon infortunée âme flemmarde
Puissé-je néanmoins, et point en barde
T’offrir des vers à l’envers, sans panache
De menus vers pour le valeureux homme
Au cœur noble et bienveillant à n’en finir
D’infimes rimes que poésie l’on ne nomme
De la môme qui, de verve n’a que le souvenir
Toi qui n’oublies, qui ne fausses compagnie
Qui viens même dans mes pesants silences
Que je triture le verbe, le manie ou le remanie
Qu’insipides seraient forcément mes stances
Car vois-tu, vénérable ami, jamais point vocable
Ne rendrait justice, tant l’âme en toi est sublime
Daigne donc ce soir, et que cela soit mémorable
Assumer amitié et estime que le cœur exprime
Puisse ta vie, longtemps et abondamment reluire
Au gré des plus pures joies jamais éprouvées
Ton cœur bondir, rebondir mais ne jamais sentir
Le malheur qui guette ; paix enfin retrouvée !
Avec toute mon affection.
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