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L'affaire Omar Raddad rebondit encore

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  • L'affaire Omar Raddad rebondit encore

    Quatre ADN d'inconnus ont été découverts


    Vingt-cinq ans après l'assassinat de Ghislaine Marchal dans sa villa de Mougins (Alpes-Maritimes) en juin 1991, une nouvelle information vient conforter la défense au long cours d'Omar Raddad. Quatre profils ADN masculins, mêlés à celui de la victime sur deux portes et un chevron, ont pu être isolés et exploités en novembre 2015. Comme l'a révélé hier « Nice-Matin », on sait désormais qu'aucun d'eux ne correspond au profil du jardinier marocain, désigné depuis le premier jour par la fameuse inscription en lettres de sang « Omar m'a tuer » sur les lieux du crime.

    « Ce n'est pas une surprise pour moi, mais ce n'est pas fini : je veux savoir à qui sont ces ADN ! martèle M e Sylvie Noachovitch, avocate du jardinier. On ne peut pas laisser ces quatre ADN dans la nature, dont l'un est forcément celui du meurtrier ! » Prochaine étape, donc, une comparaison de ces profils au FNAEG, Fichier national des empreintes génétiques, d'où un nom pourrait sortir. « Il y a un an, poursuit l'avocate, que l'on a obtenu que ce soit fait, un an qu'un espoir énorme est né pour Omar Raddad », qu'elle décrit comme « totalement déprimé, reclus, et très impatient ». Ce malgré sa libération en 1998, résultat, notamment, d'une grâce partielle accordée par Jacques Chirac. Mais « une grâce n'est pas une reconnaissance d'innocence », nuance sa défense.


    Or les techniques d'expertise génétique ont évolué, tout comme la loi. Si un procès en révision a été refusé au jardinier en 2002, les demandes d'actes supplémentaires ont été rendues plus accessibles aux avocats depuis une loi de 2014, d'où ces nouvelles analyses. Bien qu'il invite à la prudence sur le sens de ces retours d'analyses, Jean-Michel Prêtre, procureur de la République de Nice, l'affirme : « On va aller au bout du possible. »

    Le Parisien
    Le bœuf est lent, mais la terre est patiente.

  • #2
    Comme quoi heureusement la peine de mort n'existe plus, sinon un innocent de plus aurait payé pour un autre!
    Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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    • #3
      Cette histoire devez être réglée depuis une décennie mais des lenteurs de la justice ''a bien voulues durer le plaisir de garder un homme innocent '' ont attendue des années grâce a une autre DNA.Hourrah!
      Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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      • #4
        un coupable ,s'il l'était, ne s"acharnerait pour prouver son innocence , en dépit de sa grâce...courage Omar!

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