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Par Didine Rayan
Elle, c'était Constantine. c’était aussi une lycéenne, une perle rare que j'avais rencontrée au gré du hasard. Elle n'était pas spécialement belle, mais qui m’avait fusillé du premier regard. Je dois avouer que j’étais assez fou, assez stupide de la laisser prendre le dessus dès notre premier rendez-vous.
Au fond, j'aimais aussi son bel accent de Constantine que je trouvais à mon goût et qu'il me plaisait aussi l'appeler ainsi joliment et pas autrement. Elle et moi, nous venions juste d'avoir dix-huit ans. C'était le printemps.
Elle était sublime, si merveilleuse, si radieuse avec son sourire et son rire moqueur qui résonne toujours dans mon cœur. Je sentais qu'elle m’aimait autant que je l’aimais. J'’avais senti cela à sa façon de tenir mon col, à sa manière de m’embrasser. Que c’était drôle lorsqu’elle s’oubliait sur mes lèvres aussi longtemps que je suffoquais. Je dois dire qu’elle m’avait gâtée autant de baisers à notre premier et dernier rendez-vous.
Quel chagrin ! Que de pleurs lorsqu’elle m’avait quittée ! Depuis, j’ai si horreur de la nuit que je faisais de mon deuil une façon bien à moi de noyer mes ennuis. Alors, je lui écrivais de mes larmes, poème sur poème que je finis par déchirer, parce que je ne trouvais jamais les justes mots pour la consoler. Elle a été comme ça ma vie, jusqu'à ce que j’ai pu l’oublier. O' quelle était belle ma chérie… !
Constantine c'était un amour fugace plein de tendresse et de baisers.
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Constantine, amour fugace et tendres baisers.
Par Didine Rayan
Elle, c'était Constantine. c’était aussi une lycéenne, une perle rare que j'avais rencontrée au gré du hasard. Elle n'était pas spécialement belle, mais qui m’avait fusillé du premier regard. Je dois avouer que j’étais assez fou, assez stupide de la laisser prendre le dessus dès notre premier rendez-vous.
Au fond, j'aimais aussi son bel accent de Constantine que je trouvais à mon goût et qu'il me plaisait aussi l'appeler ainsi joliment et pas autrement. Elle et moi, nous venions juste d'avoir dix-huit ans. C'était le printemps.
Elle était sublime, si merveilleuse, si radieuse avec son sourire et son rire moqueur qui résonne toujours dans mon cœur. Je sentais qu'elle m’aimait autant que je l’aimais. J'’avais senti cela à sa façon de tenir mon col, à sa manière de m’embrasser. Que c’était drôle lorsqu’elle s’oubliait sur mes lèvres aussi longtemps que je suffoquais. Je dois dire qu’elle m’avait gâtée autant de baisers à notre premier et dernier rendez-vous.
Quel chagrin ! Que de pleurs lorsqu’elle m’avait quittée ! Depuis, j’ai si horreur de la nuit que je faisais de mon deuil une façon bien à moi de noyer mes ennuis. Alors, je lui écrivais de mes larmes, poème sur poème que je finis par déchirer, parce que je ne trouvais jamais les justes mots pour la consoler. Elle a été comme ça ma vie, jusqu'à ce que j’ai pu l’oublier. O' quelle était belle ma chérie… !
Constantine c'était un amour fugace plein de tendresse et de baisers.
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