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Une journaliste du Monde expulsée de Dakhla par le Maroc

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  • Une journaliste du Monde expulsée de Dakhla par le Maroc

    Une journaliste du Monde expulsée de Dakhla par le Maroc

    Elle serait la 145e personne expulsée du Sahara occidental depuis 2014, selon l’Association française d’amitié et de solidarité avec les peuples d’Afrique, citée hier par le quotidien suisse Le Courrier. L’une de ses journalistes, Camille Lavoix, également collaboratrice pour Le Monde et plusieurs rédactions internationales, aurait été expulsée par les autorités marocaines de Dakhla après un article sur la ville.
    « A 5 heures du matin, sur ordre des renseignements généraux, le sous-préfet de Dakhla est venu chercher notre journaliste dans son bungalow, accompagné de gendarmes et de policiers. Leur ordre ? Ne pas lui parler et l’emmener à l’aéroport », indique le journal suisse à la fin de l’article de la journaliste intitulé « Dakhla, surf en territoire occupé ». Un autre article intitulé « Au Maroc, le spot de glisse qui cache la poudrière du Sahara occidental » a été publié dans la revue « M » du Monde le 21 octobre dernier.
    Malgré ses demandes, la journaliste mandatée par Le Courrier et Le Monde n’aurait été informée des motifs de l’arrestation puis de l’expulsion. Elle n’aurait pas « non plus rencontrer un officiel marocain ou un juge pour être expulsée en bonne et due forme ».

    « Toute l’année, des milliers de kitesurfeurs affluent dans la lagune de Dakhla. Une perle dont le Maroc a fait une vitrine touristique. Objectif : renforcer son emprise sur la région, revendiquée par les indépendantistes sahraouis. Et qui menace à nouveau de s’embraser », écrit-elle dans l’introduction de son article pour le magazine du Monde.

    Elle y décrit notamment le mur de sable marocain, « plus grand que n’était celui de Berlin - 2 700 km -, gardé par 120 000 militaires marocains et truffé de mines antipersonnel ». La journaliste donne notamment la parole à des touristes de Dakhla, mais aussi des réfugiés sahraouis pro-Polisario en France. Une démarche qui aurait fâché les autorités marocaines...


    . ya biladi
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Camille Lavoix ne lache pas le morceau akhla, surf en territoire occupé

    L'article de Camille Lavoix malgré son expulsion du Maroc elle écrit un article le 24 Octobre 2016 sur le pourquoi de son expulsion. Les autorités marocaines savaient d'avance qu'ils l’expulseront en 'proclamant'' qu'elle n'avait pas une autorisation, mon oeil!

    Le Maroc mise sur le développement du tourisme pour normaliser l'annexion du Sahara occidental. Mais le succès international de Dakhla ne profite pas aux Sahraouis.

    On atterrit toujours de nuit à Dakhla. L'oasis se devine à peine au milieu du désert. Dans la pénombre, les dunes séparent la lagune de l'océan Atlantique. Tous les jours, l'avion déverse son flot de touristes, majoritairement français, dans un ballet bien rodé. Lunettes profilées encore sur la tête, les passagers récupèrent leurs planches à voile, de surf et de kitesurf et s'engouffrent aussitôt dans les 4x4 des hôtels. Le lendemain, ils se réveilleront dans un petit paradis, au milieu du Sahara occidental – à 500 km au sud des Canaries et à 400 km au nord de la frontière mauritanienne.


    Dakhla pourrait passer pour une île, tant cette langue de sable au milieu de l'océan semble isolée. Il faut une demi-heure depuis l'aéroport pour atteindre les hôtels de la baie. En chemin, peut-être des touristes tiquent-ils sur les nombreux camions militaires et les checkpoints croisés sur la route. Mais la majorité d'entre eux est loin d'imaginer qu'ils s'apprêtent à rider non loin d'un mur plus grand que n'était celui de Berlin – 2700 km –, gardé par 120 000 militaires marocains et truffé de mines antipersonnel.


    Stratégie marocaine
    «On dirait le bruit des vagues», murmure Jules, 19 ans, qui peine à s'endormir le premier soir. Ici, la puissance du vent est incomparable: il souffle plus de 300 jours par an, s'enorgueillit la station balnéaire. C'est ce Graal que le jeune touriste est venu chercher, les conditions parfaites pour la glisse. Dix ans avant lui, son père faisait partie des premiers voyageurs qui plantaient leur tente sur ce spot alors confidentiel. Désormais, il y a presque des embouteillages de «kiteux» dans le désert, surtout en haute saison, d'avril à novembre.


    Le lendemain matin, des centaines de cerfs-volants géants de toutes les couleurs se reflètent sur la lagune. Les plus expérimentés filent jusqu'à l'embouchure de l'océan. Dakhla s'est développée d'une manière exponentielle. Malgré son isolement, le spot est devenu un incontournable du circuit mondial. Un heureux hasard?


    «Un leurre, une stratégie», corrige le député français Hervé Féron – auteur d'Un mur dans le désert, un documentaire qui défend le droit des Sahraouis à l'autodétermination. Le Maroc revendique depuis quarante ans sa souveraineté sur le Sahara occidental, dernier territoire en Afrique listé comme «non autonome» par les Nations Unies; et «dernière colonie d'Afrique», selon les indépendantistes, qui réclament l'avènement d'une République sahraouie.


    En 1968, le Mouvement pour la libération du Sahara exige la fin de la colonisation par Madrid. Pacifiques au départ, certains indépendantistes s'engagent dans la lutte armée en 1973 au sein du Front Polisario. Deux ans plus tard, l'Espagne se retire et les révolutionnaires sahraouis changent d'adversaire.

    Une guerre de libération oppose le Polisario, financé par l'Algérie, à l'armée marocaine. Un cessez-le-feu est signé en 1991, sur la promesse d'un référendum d'autodétermination. Les casques bleus, en place depuis vingt-cinq ans, forment l'une des rares missions onusiennes à ne pas être habilitée à rapporter la violation des droits de l'homme. Leur présence est uniquement censée garantir l'organisation du référendum. Une promesse toujours plus lointaine.


    La majorité est loin d'imaginer qu'ils s'apprêtent à rider non loin d'un mur plus grand que celui de Berlin.
    D'autant que la tension monte dans la région. Fin août, à la suite d'incidents non loin de la frontière avec la Mauritanie, Ban Ki-moon, alors secrétaire général de l'ONU, s'est dit «profondément préoccupé» par la situation. Le porte-parole des Nations Unies Stéphane Dujarric a précisé que des «éléments armés des deux camps [avaient] maintenu leurs positions à environ 120 mètres les uns des autres» et que l'ONU redoutait «une reprise des hostilités, avec un risque d'implications régionales».


    «Tu fais du kite et tu bouffes»
    Ignorant tout de ce contexte explosif, le long de la lagune, les vacanciers s'essayent aux sensations fortes. L'adrénaline est presque palpable. Le vent, parfait, permet de réaliser toutes les figures les plus périlleuses, aussitôt immortalisées par les GoPro vissées aux casques.
    Sur le plan d'eau se bousculent les vieux de la vieille et les novices, venus se frotter à la grande passion de Richard Branson, l'entrepreneur casse-cou à la tête de l'empire Virgin, qui ne jure plus que par le «kite». Celui-ci a d'ailleurs investi en 2013 dans la Coupe du monde de kitesurf qu'il avait fait démarrer à Dakhla.


    La vie ici se veut simple. «Tu fais du kite et tu bouffes», résume l'un des habitués de l'Auberge des nomades du Sahara. Trentenaire comme la majorité d'une clientèle «à la cool», éternellement en maillot de bain, l'homme prend soin de son matériel comme de la prunelle de ses yeux. Et pour cause. Il faut compter 1000 euros minimum pour un kitesurf basique. Une vie simple certes, mais dont la plupart des mordus n'hésitent pas à dépenser de coquettes sommes pour bénéficier des dernières avancées technologiques sur un matériel toujours plus à la pointe, toujours plus fun, fluo, funky.


    Dans les rares cas où le vent n'atteint pas la perfection attendue, des hôtels assurent des balades à cheval sur la plage ou une excursion dans le désert. Lors des repas, pris en commun dans la majorité des établissements, les camions militaires filant à toute allure aux abords du spot sont parfois évoqués entre les oranges à la cannelle et le thé à la menthe. «Je crois qu'il y a une base militaire», lâche un convive. «On parle de 3000 soldats», répond un autre. «Ah oui, quand même»… Interrogé sur le sujet, le gérant de l'auberge, Paulo – venu de Bordeaux pour travailler à Dakhla –, parle prudemment d'«annexion» par le Maroc.


    Il faut faire attention avec les mots: en mars dernier, le secrétaire général de l'ONU en mission dans la région a considéré que le Maroc «occupait» le Sahara occidental, une déclaration qui a ouvert une grave crise diplomatique. Tous les civils de la mission de l'ONU au Sahara occidental ont été expulsés.


    Le chauffeur de Paulo, un Sahraoui, garde lui aussi le silence. Car ceux qui le brisent en payent le prix. Membre de l'Association sahraouie des victimes de violations graves des droits humains commises par l'Etat du Maroc (ASVDH), Hassana Douihi a été arrêté et torturé en 2008 à Laâyoune. Son dossier a été suivi par l'ONG Human Rights Watch. L'homme de 52 ans dénonce une «répression totale et quotidienne»: «Les Sahraouis sont soumis à des disparitions forcées, à des emprisonnements abusifs assortis de torture, à un blocus informatif, à la violation des droits humains, à l'interdiction de manifester ou de se réunir dans les maisons, à la séparation des familles des deux côtés du mur.»

    Discriminés
    C'est souvent hors du pays que les langues se délient. Abdellahi lbikam, 28 ans, un Sahraoui résidant en France, était professeur de kitesurf à Dakhla. «J'y suis né. Un Français, Franck, m'a appris le kitesurf. J'ai voulu monter ma boîte, je n'ai jamais reçu l'autorisation des Marocains. Je suis parti après plusieurs incidents: en 2013, j'ai parlé à un journaliste irlandais et j'ai été viré de mon travail. Ensuite, mon cousin est mort en prison en 2014. Il était malade et personne ne l'a emmené à l'hôpital. J'avais peur pour ma vie.»
    Alors qu'il vient d'obtenir l'asile politique à Paris, il parle aujourd'hui librement de la «marginalisation» qu'il a subie. «Beaucoup de jeunes Sahraouis ont des diplômes et ne sont embauchés nulle part. Que les Marocains organisent des compétitions de sport, des festivals, c'est une bonne idée. C'est bien le tourisme, mais on aimerait pouvoir y bosser. Il ne reste peut-être que deux professeurs de kitesurf sahraouis désormais.»
    «La vitrine touristique est une manière de montrer au monde que le problème du Sahara occidental n'existe pas.»


    L'un deux, A., s'est résolu à travailler au noir, proposant ses services en tant qu'indépendant. «Les hôtels ne veulent ou ne peuvent pas m'embaucher. Le seul qui m'emploie me paye 200 euros par mois pour un travail très physique, dans l'eau, sans papiers. Mais je n'en veux pas aux Marocains, beaucoup sont mes amis et eux aussi ont du mal à vivre. Je sais que c'est le gouvernement, une histoire de politique, dit-il. Dès que je peux, j'explique la situation aux touristes à qui je donne des cours. C'est ma manière d'être libre et de vouloir que ma terre le soit, même si cette histoire leur importe peu, au final.»


    Gagner l'opinion
    Bay Mohamed Ali, désormais réfugié à Bordeaux où se trouve l'essentiel de la communauté sahraouie en France, s'emporte: «La vitrine touristique est une manière de montrer au monde que le problème du Sahara occidental n'existe pas. Une manière de confirmer la domination marocaine à 100%. Le vacancier sert de messager.»

    L'ONG Western Sahara Resource Watch dénonce le «pillage» économique dont sont victimes les Sahraouis. Un «pillage» qui concerne le pétrole, les phosphates, l'agriculture et la pêche – les eaux qui bordent le Sahara occidental sont parmi les plus poissonneuses au monde. Le tourisme viendrait donc aujourd'hui compléter la liste, même si Dakhla est avant tout une affaire d'image. Pour le député Hervé Féron, Dakhla est un instrument de «soft power» pour le pouvoir marocain. «J'ai reçu le consul du Maroc et il m'a dit: ‘Venez, on vous invite.' Mais ça n'a pas de sens, il ne nous montrerait que des endroits idylliques. La position de la France est lâche.»


    Selon Stephen Zunes, professeur à l'université de San Francisco et coauteur d'un livre sur le Sahara occidental (Western Sahara. War, Nationalism and Conflict Irresolution), «le Maroc peut échapper à ses obligations légales car la France et les Etats-Unis bloquent les résolutions de l'ONU qui réclament l'autodétermination du peuple ou simplement l'observation des droits humains. Donc maintenant, le seul espoir est une campagne de la société civile, la potentielle action des citoyens français et américains.» Dans cette bataille de l'opinion, la ligne de front épouse de plus en plus la lagune paradisiaque de Dakhla. I

    Notre reporter expulsé

    Quand le lobbying ne suffit plus, la force est employée. A 5 heures du matin, sur ordre des renseignements généraux, le sous-préfet de Dakhla est venu chercher notre journaliste dans son bungalow, accompagné de gendarmes et de policiers. Leur ordre? Ne pas lui parler et l’emmener à l’aéroport. Malgré ses demandes, à aucun moment la journaliste mandatée par Le Courrier et nos confrères du Monde ne sera informée des motifs de l’arrestation. Elle ne pourra pas non plus rencontrer un officiel marocain ou un juge pour être expulsée en bonne et due forme.
    Journalistes, avocats et même députés européens… selon l’Association française d’amitié et de solidarité avec les peuples d’Afrique, Camille Lavoix est la 145e personne expulsée de la sorte depuis avril 2014. Une violation inadmissible de la liberté d’informer dénoncée tant par Le Courrier que par le quotidien vespéral dans son édition du week-end.


    Source: Le Courrier
    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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    • #3
      Une journaliste du Monde expulsée de Dakhla par le Maroc
      On va s'gêner !


      Sinon le sujet a déjà été "traité" ici. Inutile d'ouvrir plusieurs topics sur le même sujet.

      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=387522

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      • #4
        On va s'gêner !
        Justement vous êtes génés.

        Le SO VOUS APPARTIENT, n'est-ce pas?

        Alors pourquoi expulser les journalistes?

        Laissez les écrire ce qu'ils veulent, cela ne doit pas vous porter préjudice .

        Pourquoi ne pas expulser les journalistes qui vont à Kech parler de la prostitution des jeunes enfants, alors que Kech vous appartient ?
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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        • #5
          Alors pourquoi expulser les journalistes?
          Parce que nous sommes chez nous et nous faisons ce que nous voulons chez nous. Et nul, vous en premier, n'a le droit de nous donner des leçons.

          Si vous voulez être utile et vous mêler de ce qui vous regarde, demandez à votre gouvernement pourquoi il a refusé, il y a une semaine, l'accréditation d'un journaliste de l'AFP pour son bureau d'Alger.

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          • #6
            Parce que nous sommes chez nous et nous faisons ce que nous voulons chez nous.
            Et à Kech vous n'êtes pas chez vous?

            C'est vrai qu'il y a des amateurs pour les deux sports qui se déroulent dans les deux villes.

            Sauf que pour le sport à Kech, ils vous apportent plus de touristes et Kech fait partie du vrai Maroc, pas une zone occupée .
            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

            Commentaire


            • #7
              Et à Kech vous n'êtes pas chez vous?

              C'est vrai qu'il y a des amateurs pour les deux sports qui se déroulent dans les deux villes.

              Sauf que pour le sport à Kech, ils vous apportent plus de touristes et Kech fait partie du vrai Maroc, pas une zone occupée .

              C'est quand même le comble !!

              Vous ouvrez vous-même un topic et vous le polluez vous-même pas des HS.

              Restez dans le sujet et évitez les méchancetés bêtes et gratuites. Nous somme tous capables d'être méchants et même insultants, autant que vous.

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              • #8
                [Sinon le sujet a déjà été "traité" ici. Inutile d'ouvrir plusieurs topics sur le même sujet]
                Il se pourrait que l'article du 24 Octobre 2016 de Camille Lavoix a été déjà traité mais je ne le vois pas.
                Que pensez vous du surf et la bouffe a gogo de français ignorant la situation? Que pensez-vous du chauffeur de taxi? Un paradis pour les uns un Goulag pour les autres !
                Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                • #9

                  رغم انف الحداوي

                  1er festival "Cultures du Maroc", du 4 au 6 novembre à Dakhla

                  La 1re édition du festival "Cultures du Maroc", se tiendra du 4 au 6 novembre prochain à Dakhla, sur le thème ''Les cultures du Maroc au service de l'unité territoriale''.
                  Initié par l'association Inssane pour le développement, la culture et les droits de l’homme, le festival propose des soirées artistiques, animées par des groupes de musique et folkloriques, couvrant les différentes expressions artistiques marocaines.

                  Au programme de cet événement figurent également des séminaires, animés par une pléiade d'intellectuels et de chercheurs marocains et étrangers.

                  Le festival sera également émaillé par des expositions consacrées aux livres d'artistes et à la photographie, et la signature d’un livre collectif sur "La dimension esthétique dans la création sahraouie", en partenariat avec l'Association de la pensée plastique.

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                  • #10
                    Elle a reçu un chèque de combien la journaliste de la part de la junte?
                    encore un peu plus d'argent qui s'evapore pour une cause deja acté

                    Commentaire


                    • #11
                      Elle a reçu un chèque de combien la journaliste de la part de la junte?
                      encore un peu plus d'argent qui s'evapore pour une cause deja acté
                      Ils le savent bien nos chiyates qu'elle a été payée par leur bande mafieuse. C'est pour cela qu'ils râlent.
                      Encore de l'argent que n'auront pas les algériens...

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                      • #12
                        Un grand événement se prépare au Maroc COP 22 Mois de Novembre.
                        La tournée triomphale du roi en Afrique de l'est.
                        Comment taché cette image.
                        Le bureau des coups tordus des loosers d'alger se mettent au travail.
                        La femme d'un assassin réclame sa libération donc l'injustice.
                        Hillary et les millions du roi promis pas donné.Quel salaud!
                        Hassan 2 qui a fait perdre la guerre aux arabes en 1967 mais depuis 1965
                        Deux cure-dent qui se prennent en photos sur un rocher en Mauritanie.
                        La cerise sur le gateau cette journaliste.Alors voilà ses perles.
                        Tous les avions n'arrivent à Dakhla que la nuit (ville DRACULA),sous entendu empêcher les touristes de voir la réalité,je ne savais pas que les aeroport se trouvent en plein centre ville comme les gares.
                        Ban ki moon ALORS sécrétaire de l'ONU,déjà parti...ect

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                        • #13
                          Salam Awtil
                          C'est la théorie du complot?Revisitez à la sauce Harira?
                          Zen ,décompressez.
                          Le bœuf est lent, mais la terre est patiente.

                          Commentaire


                          • #14
                            ROUICHIDA
                            c'est juste une réaction épidermique du régime algérien à toute initiative marocaine.
                            Les seuls complots dont ils étaient capable ils les ont exécuté contre le peuple algérien.

                            Commentaire


                            • #15
                              Cher Awtil
                              On n'aiment pas nos dirigeants ? mais il faut le dire chacun dans son pays?
                              Le bœuf est lent, mais la terre est patiente.

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