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Ahmadinedjad exprime son souhait de se rendre en Algérie
Dans un message à Bouteflika
Ahmadinedjad exprime son souhait de se rendre en Algérie
Le président iranien Mahmoud Ahmadinedjad a exprimé, hier, son souhait d’effectuer une visite officielle en Algérie, en février prochain. L’agence iranienne de presse « Irna » a affirmé, dans une dépêche à partir d’Alger, que le président iranien avait envoyé un message au Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans lequel il lui a exprimé son souhait de se rendre en Algérie au cours du mois prochain.
Ahmadinedjad devait faire escale à Alger, mardi dernier, alors qu’il était sur le chemin du retour suite à une tournée en Amérique Latine, avant qu’il ne décide d’annuler cette courte visite à Alger au dernier moment. L’attaché de presse à l’ambassade d’Iran en Algérie, Ahmed Baker, a indiqué à El Khabar que le président iranien avait annulé sa décision de faire escale à Alger pour des raisons liées aux conseils de son médecin. Ce dernier lui avait recommandé de rentrer immédiatement à Téhéran sans plus tarder. Interrogé si Ahmadinedjad avait été victime d’un problème de santé, le diplomate iranien indiquera ne pas avoir d’informations, tout en affirmant que c’est bien son médecin qui était derrière cette décision.
Citant un rapport rendu public par l’ambassade d’Iran, « Irna » rapporte que Ahmadinedjad a exprimé, dans son message au Président Bouteflika, son regret d’être obligé à annuler sa visite, justifiant cela par la nécessité d’être présent, ce jour là, à Téhéran pour l’examen du budget.
Pour rappel, Ahmadinedjad n’a pas effectué de visite en Algérie depuis son élection à la tête du pouvoir en Iran, en 2005. Son prédécesseur, Mohamed Khatami, s’est rendu en Algérie, en octobre 204, où il a prononcé un discours devant les députés à l’APN (Assemblée nationale populaire). Il a quitté l’Algérie après avoir assuré le soutien d’Alger au programme nucléaire iranien. Les deux capitales avaient repris leurs relations diplomatiques en 2001, après une rupture de huit ans due à ce que l’Algérie qualifia alors de « position iranienne en faveur des groupes terroristes en Algérie ».
2007-01-20
Par B. K.
Ahmadinedjad exprime son souhait de se rendre en Algérie
Le président iranien Mahmoud Ahmadinedjad a exprimé, hier, son souhait d’effectuer une visite officielle en Algérie, en février prochain. L’agence iranienne de presse « Irna » a affirmé, dans une dépêche à partir d’Alger, que le président iranien avait envoyé un message au Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans lequel il lui a exprimé son souhait de se rendre en Algérie au cours du mois prochain.
Ahmadinedjad devait faire escale à Alger, mardi dernier, alors qu’il était sur le chemin du retour suite à une tournée en Amérique Latine, avant qu’il ne décide d’annuler cette courte visite à Alger au dernier moment. L’attaché de presse à l’ambassade d’Iran en Algérie, Ahmed Baker, a indiqué à El Khabar que le président iranien avait annulé sa décision de faire escale à Alger pour des raisons liées aux conseils de son médecin. Ce dernier lui avait recommandé de rentrer immédiatement à Téhéran sans plus tarder. Interrogé si Ahmadinedjad avait été victime d’un problème de santé, le diplomate iranien indiquera ne pas avoir d’informations, tout en affirmant que c’est bien son médecin qui était derrière cette décision.
Citant un rapport rendu public par l’ambassade d’Iran, « Irna » rapporte que Ahmadinedjad a exprimé, dans son message au Président Bouteflika, son regret d’être obligé à annuler sa visite, justifiant cela par la nécessité d’être présent, ce jour là, à Téhéran pour l’examen du budget.
Pour rappel, Ahmadinedjad n’a pas effectué de visite en Algérie depuis son élection à la tête du pouvoir en Iran, en 2005. Son prédécesseur, Mohamed Khatami, s’est rendu en Algérie, en octobre 204, où il a prononcé un discours devant les députés à l’APN (Assemblée nationale populaire). Il a quitté l’Algérie après avoir assuré le soutien d’Alger au programme nucléaire iranien. Les deux capitales avaient repris leurs relations diplomatiques en 2001, après une rupture de huit ans due à ce que l’Algérie qualifia alors de « position iranienne en faveur des groupes terroristes en Algérie ».
2007-01-20
Par B. K.