Il aura fallu un article publié dans le journal Bild, relayé par la presse anglaise et internationale, pour déclencher une véritable polémique en Allemagne.
Ghazia A., un Syrien de 49 ans qui a fui la Syrie par la Turquie avant de trouver refuge dans la région de Rhénanie-Palatinat, en Allemagne, avec ses quatre épouses et ses 22 enfants, perçoit 360 000 euros d’allocations.
Comme l’explique RT, si le droit syrien reconnaît et autorise la polygamie, c’est n’est pas le cas pour le droit allemand. À son arrivée, Ghazia A. a donc dû choisir l’une de ses épouses comme « femme officielle » pour pouvoir percevoir les allocations auxquelles il avait droit. Les trois autres femmes sont depuis considérées juridiquement comme de simples partenaires qui ont dû se partager la garde des 17 enfants restants.
Avant la guerre civile qui a débuté en Syrie, en 2011, Ghazia A. était à la tête d’une entreprise prospère de location de voitures en Syrie. Mais, selon le Sun, le Syrien n’aurait pas travaillé une seule journée depuis son arrivée en Allemagne en 2015.
Réagissant au cas de Ghazia A., un syndicat patronal, le Deutscher Arbeitsgeber Verband, a publié une estimation du coût pour le pays, compte tenu du nombre d’enfants et d’épouses à sa charge. Le résultat du calcul s’élève à 360 000 euros par an, un montant qui reste indicatif et n’a rien d’officiel.
Si les réactions politiques se font plutôt discrètes, les internautes,eux, sont rapidement montés au créneau sur les réseaux sociaux.
Minutenews
Ghazia A., un Syrien de 49 ans qui a fui la Syrie par la Turquie avant de trouver refuge dans la région de Rhénanie-Palatinat, en Allemagne, avec ses quatre épouses et ses 22 enfants, perçoit 360 000 euros d’allocations.
Comme l’explique RT, si le droit syrien reconnaît et autorise la polygamie, c’est n’est pas le cas pour le droit allemand. À son arrivée, Ghazia A. a donc dû choisir l’une de ses épouses comme « femme officielle » pour pouvoir percevoir les allocations auxquelles il avait droit. Les trois autres femmes sont depuis considérées juridiquement comme de simples partenaires qui ont dû se partager la garde des 17 enfants restants.
Avant la guerre civile qui a débuté en Syrie, en 2011, Ghazia A. était à la tête d’une entreprise prospère de location de voitures en Syrie. Mais, selon le Sun, le Syrien n’aurait pas travaillé une seule journée depuis son arrivée en Allemagne en 2015.
Réagissant au cas de Ghazia A., un syndicat patronal, le Deutscher Arbeitsgeber Verband, a publié une estimation du coût pour le pays, compte tenu du nombre d’enfants et d’épouses à sa charge. Le résultat du calcul s’élève à 360 000 euros par an, un montant qui reste indicatif et n’a rien d’officiel.
Si les réactions politiques se font plutôt discrètes, les internautes,eux, sont rapidement montés au créneau sur les réseaux sociaux.
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