Djamel Ould Abbès est très optimiste concernant l’état de santé du président Abdelaziz Bouteflika. Dans une déclaration à TSA, le nouveau secrétaire général du FLN note « une évolution très favorable ». Selon lui, le chef de l’État « va se remettre à marcher dans quelques mois, InchAllah ».
« Vous m’avez posé la question sur la santé du président Bouteflika il y a trois ans et tout ce que je vous avais dit s’est confirmé par la suite. Il y a une évolution très favorable de son état de santé, ses dernières activités le prouvent. InchAllah, il va marcher dans quelques mois », avance-t-il.
« Le président Bouteflika est dans un état de santé normal. Depuis son accident de santé, il a eu plus de 280 activités entre les réunions des conseil des ministres qui durent parfois quatre heures au cours desquelles il gère et oriente, rencontres sur la Constitution, les audiences », rappelle notre interlocuteur.
Pour Djamel Ould Abbès, il s’agit « d’activités intellectuelles importantes » après un accident vasculaire cérébral.
Est-ce que l’état de santé du président lui permet donc de se présenter pour un cinquième mandat ? « Si les choses évoluent favorablement comme c’est le cas actuellement, rien ne s’oppose à condition que lui accepte. C’est sa décision à lui mais on en est pas encore là », répond-il.
« Vous m’avez posé la question sur la santé du président Bouteflika il y a trois ans et tout ce que je vous avais dit s’est confirmé par la suite. Il y a une évolution très favorable de son état de santé, ses dernières activités le prouvent. InchAllah, il va marcher dans quelques mois », avance-t-il.
« Le président Bouteflika est dans un état de santé normal. Depuis son accident de santé, il a eu plus de 280 activités entre les réunions des conseil des ministres qui durent parfois quatre heures au cours desquelles il gère et oriente, rencontres sur la Constitution, les audiences », rappelle notre interlocuteur.
Pour Djamel Ould Abbès, il s’agit « d’activités intellectuelles importantes » après un accident vasculaire cérébral.
Est-ce que l’état de santé du président lui permet donc de se présenter pour un cinquième mandat ? « Si les choses évoluent favorablement comme c’est le cas actuellement, rien ne s’oppose à condition que lui accepte. C’est sa décision à lui mais on en est pas encore là », répond-il.
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