Tweet
Selon le bilan global de la Gendarmerie nationale : 547 mineurs victimes de violences. Plus de 2.700 mineurs arrêtés en 2006 pour violence (selon la gendarmerie, tjrs )
L’enfant algérien est victime et auteur à la fois de la violence criminelle, à savoir,coups, blessures, menaces, viol, enlèvements et meurtres.
Le dernier bilan de la gendarmerie nationale confirme que les enfants sont la cible privilégiée de pervers de tout acabit.
Les chiffres liés aux mineurs victimes de violences criminelles ont connu une hausse sensible durant les onze premiers mois de l’année 2006, au nombre de 7058 victimes dont 547 sont des mineurs, selon un bilan rendu public par le commandement de la Gendarmerie nationale (GN). Si l’on se réfère aux statistiques de la Gendarmerie nationale, 547 mineurs sont victimes des violences criminelles, dont 279 cas relatifs aux coups et blessures volontaires avec armes blanches, 113 victimes de coups et blessures volontaires sur mineurs et 25 victimes d’enlèvement. Le nombre de personnes arrêtées (mineurs auteurs de violence sur ascendants) a, également, connu une baisse en comparaison à la même période des années précédentes, entre 2000 et 2006. Si l’on se refère au bilan de la Gendarmerie Nationale (GN), 858 affaires relatives à des cas de violences criminelles ont été recensées au cours de l’année 2006 dont 22 sont le fait des mineurs, alors que durant la même période de l’année 2005, ce chiffre était de 892 affaires dont 24 sont des mineurs, auteurs des crimes sur leurs ascendants. Dans le même registre, 43 851 personnes ont été arrêtées au cours de l’année 2006, dont 2759 ont été enregistrées dans la catégorie des mineurs. Ces derniers sont impliqués dans différents crimes de violences, à savoir, des crimes parricide, menace, vol et viol. En effet, 5849 personnes ont été arrêtées, dont 437 mineurs pour coups et blessures avec armes blanches sur 1977 personnes, 224 mineurs ont été arrêtés pour vol commis dans les véhicules particuliers.
La violence sur les enfants en Algérie reste largement impunie en raison de l’impuissance des autorités à protéger les mineurs d’une part, le manque de communication, et de la prise en charge psychologique d’autre part au sein de la famille et de la société.
- La depeche de Kabylie
L’enfant algérien est victime et auteur à la fois de la violence criminelle, à savoir,coups, blessures, menaces, viol, enlèvements et meurtres.
Le dernier bilan de la gendarmerie nationale confirme que les enfants sont la cible privilégiée de pervers de tout acabit.
Les chiffres liés aux mineurs victimes de violences criminelles ont connu une hausse sensible durant les onze premiers mois de l’année 2006, au nombre de 7058 victimes dont 547 sont des mineurs, selon un bilan rendu public par le commandement de la Gendarmerie nationale (GN). Si l’on se réfère aux statistiques de la Gendarmerie nationale, 547 mineurs sont victimes des violences criminelles, dont 279 cas relatifs aux coups et blessures volontaires avec armes blanches, 113 victimes de coups et blessures volontaires sur mineurs et 25 victimes d’enlèvement. Le nombre de personnes arrêtées (mineurs auteurs de violence sur ascendants) a, également, connu une baisse en comparaison à la même période des années précédentes, entre 2000 et 2006. Si l’on se refère au bilan de la Gendarmerie Nationale (GN), 858 affaires relatives à des cas de violences criminelles ont été recensées au cours de l’année 2006 dont 22 sont le fait des mineurs, alors que durant la même période de l’année 2005, ce chiffre était de 892 affaires dont 24 sont des mineurs, auteurs des crimes sur leurs ascendants. Dans le même registre, 43 851 personnes ont été arrêtées au cours de l’année 2006, dont 2759 ont été enregistrées dans la catégorie des mineurs. Ces derniers sont impliqués dans différents crimes de violences, à savoir, des crimes parricide, menace, vol et viol. En effet, 5849 personnes ont été arrêtées, dont 437 mineurs pour coups et blessures avec armes blanches sur 1977 personnes, 224 mineurs ont été arrêtés pour vol commis dans les véhicules particuliers.
La violence sur les enfants en Algérie reste largement impunie en raison de l’impuissance des autorités à protéger les mineurs d’une part, le manque de communication, et de la prise en charge psychologique d’autre part au sein de la famille et de la société.
- La depeche de Kabylie