La MAP, l’agence de presse officielle marocaine, n’a pas apprécié la manière dont la presse algérienne a traité les manifestations qui ont suivi la mort de Mohcine Fikri.
« La presse algérienne fait feu de tout bois depuis plus d’une semaine et abreuve jusqu’à la lie ses lecteurs en leur ‘servant’ au quotidien le décès de Mohcine Fikri qu’elle érige en ‘l’événement’ de la région », écrit ce jeudi la MAP.
« À entendre de loin ce tintamarre éditorial fielleux, on croirait à une guerre civile au Maroc, alors qu’il s’agissait en fait de manifestations pacifiques, consécutives à la mort accidentelle d’un citoyen à Al Hoceima relevant désormais du ressort de la justice », ajoute l’agence officielle marocaine.
tsa
« Allant vite en besogne, la presse algérienne s’est empressée d’abord de faire le parallèle entre cet incident et le cas Bouazizi, qui avait déclenché la révolution du jasmin en Tunisie et inspiré ce que l’on appellera plus tard le ‘printemps arabe' », poursuit la MAP.
« Mais les instigateurs de cette production en quantités phénoménales d’articles anti-marocains dans les officines obscures de la presse algérienne aux ordres, savent pertinemment que le Maroc n’est pas la Tunisie ou l’Égypte », écrit-elle sans citer les titres de la presse algérienne visés.
Pour des « experts » interrogés par la MAP, « le décès tragique de feu Fikri est instrumentalisé par l’Algérie pour servir ses vils desseins et faire croire à un foyer de tensions préoccupant dans la région ».
« La presse algérienne fait feu de tout bois depuis plus d’une semaine et abreuve jusqu’à la lie ses lecteurs en leur ‘servant’ au quotidien le décès de Mohcine Fikri qu’elle érige en ‘l’événement’ de la région », écrit ce jeudi la MAP.
« À entendre de loin ce tintamarre éditorial fielleux, on croirait à une guerre civile au Maroc, alors qu’il s’agissait en fait de manifestations pacifiques, consécutives à la mort accidentelle d’un citoyen à Al Hoceima relevant désormais du ressort de la justice », ajoute l’agence officielle marocaine.
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« Allant vite en besogne, la presse algérienne s’est empressée d’abord de faire le parallèle entre cet incident et le cas Bouazizi, qui avait déclenché la révolution du jasmin en Tunisie et inspiré ce que l’on appellera plus tard le ‘printemps arabe' », poursuit la MAP.
« Mais les instigateurs de cette production en quantités phénoménales d’articles anti-marocains dans les officines obscures de la presse algérienne aux ordres, savent pertinemment que le Maroc n’est pas la Tunisie ou l’Égypte », écrit-elle sans citer les titres de la presse algérienne visés.
Pour des « experts » interrogés par la MAP, « le décès tragique de feu Fikri est instrumentalisé par l’Algérie pour servir ses vils desseins et faire croire à un foyer de tensions préoccupant dans la région ».
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