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La presse algérienne fait feu de tout bois depuis plus d’une semaine et abreuve jusqu’à la lie ses lecteurs en leur “servant” au quotidien le décès de Mohcine Fikri qu’elle érige en “l’événement” de la région.
A entendre de loin ce tintamarre éditorial fielleux, on croirait à une guerre civile au Maroc, alors qu’il s’agissait en fait de manifestations pacifiques, consécutives à la mort accidentelle d’un citoyen à Al Hoceima relevant désormais du ressort de la justice.
Allant vite en besogne, la presse algérienne s’est empressée d’abord de faire le parallèle entre cet incident et le cas Bouazizi, qui avait déclenché la révolution du jasmin en Tunisie et inspiré ce que l’on appellera plus tard le ‘‘printemps arabe’’.
A noter que cet intérêt exagéré manifesté par Alger à l’endroit de cet incident a suscité la réaction du géopolitologue français, Charles Saint Prot, qui explique qu’Alger a toujours caressé le rêve d’affaiblir le Maroc qu’elle considère comme “un concurrent régional”.
L’expert rappelle que cette animosité algérienne envers le Maroc s’est traduite d’abord par “le soutien d’Alger à la création d’un Etat fantoche qui couperait le Royaume de sa dimension africaine”.
La presse algérienne fait feu de tout bois depuis plus d’une semaine et abreuve jusqu’à la lie ses lecteurs en leur “servant” au quotidien le décès de Mohcine Fikri qu’elle érige en “l’événement” de la région.
A entendre de loin ce tintamarre éditorial fielleux, on croirait à une guerre civile au Maroc, alors qu’il s’agissait en fait de manifestations pacifiques, consécutives à la mort accidentelle d’un citoyen à Al Hoceima relevant désormais du ressort de la justice.
Allant vite en besogne, la presse algérienne s’est empressée d’abord de faire le parallèle entre cet incident et le cas Bouazizi, qui avait déclenché la révolution du jasmin en Tunisie et inspiré ce que l’on appellera plus tard le ‘‘printemps arabe’’.
A noter que cet intérêt exagéré manifesté par Alger à l’endroit de cet incident a suscité la réaction du géopolitologue français, Charles Saint Prot, qui explique qu’Alger a toujours caressé le rêve d’affaiblir le Maroc qu’elle considère comme “un concurrent régional”.
L’expert rappelle que cette animosité algérienne envers le Maroc s’est traduite d’abord par “le soutien d’Alger à la création d’un Etat fantoche qui couperait le Royaume de sa dimension africaine”.
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