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Julian Assange: Isis and Clinton Foundation are both funded by Saudi Arabia and Qatar

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  • Julian Assange: Isis and Clinton Foundation are both funded by Saudi Arabia and Qatar

    Julian Assange: Isis and Clinton Foundation are both funded by Saudi Arabia and Qatar
    ‘This is the most significant email in the whole collection’






    Wikileaks founder Julian Assange believes the same officials could have funded both the Clinton Foundation and Isis Getty
    Wealthy officials from Qatar and Saudi Arabia who donated money to Hillary Clinton’s charitable foundation also provided financial support to Isis, WikiLeaks founder Julian Assange has claimed.

    In an extended interview at the Ecuadorian embassy in London with documentary maker John Pilger for RT, Mr Assange said the same Saudi and Qatari officials could be seen to be supporting both the Clinton Foundation – founded by Mrs Clinton’s husband Bill – and funding the activities of Isis.

    Mr Pilger asked if Mr Assange believed that “this notorious jihadist group, called Isil or Isis, is created largely with money from people who are giving money to the Clinton Foundation”

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    “Yes,” Mr Assange replied.

    The WikiLeaks founder pointed to an email exchange between presidential hopeful Ms Clinton and her campaign manager John Podesta, leaked by his organisation last month, which he believes “is the most significant email in the whole collection”.

    In the email sent on August 17 2014, Ms Clinton asked Mr Podesta, who at that time worked under president Barack Obama, to help put “pressure” on Qatar and Saudi Arabia regarding the countries’ alleged support for the terrorist group Isis.



    “We need to use our diplomatic and more traditional intelligence assets to bring pressure on the governments of Qatar and Saudi Arabia, which are providing clandestine financial and logistic support to Isil and other radical Sunni groups in the region,” Ms Clinton wrote.

    Mr Assange noted the US government had never acknowledged governments of Middle East nations had financially supported Isis, instead arguing such support was isolated to “some rogue princes using their cut of the oil money to do whatever they like, although the government disapproves”, according to the WikiLeaks founder.



    The portion of an email from 17 August, which Mr Assange believes is ‘most significant’ (WikiLeaks)
    According to the Clinton Foundation, the Saudi Arabian government has donated between $10m (£8m) and $25million since the foundation was set up in 1997. Last month it was reported the government of Qatar offered to donate $1m to the foundation in celebration of Bill Clinton’s birthday.

    Representatives from the Clinton Foundation have repeatedly denied accusations Ms Clinton has solicited funds and used donations to boost her campaign. There were no donations from Saudi Arabia while she was acting as secretary of state between 2009 and 2013.

    Mr Assange also used the interview to dismiss the prospect of a Donald Trump victory in next week’s election, which the polls show will be close.


    “My analysis is that Trump will not be permitted to win. Why do I say that? Because he has had every establishment against him. Trump does not have one establishment, maybe with the exception of the Evangelicals, if you can call them an establishment.

    “Banks, intelligence, arms companies, foreign money, etc are all united behind Hillary Clinton. And the media as well. Media owners, and the journalists themselves.”

    In October, Ecuador’s government confirmed it had “temporarily restricted” Mr Assange's internet access at its London embassy, to prevent him “meddling in the election process” in the US.

    Source: independent.co.uk
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Via Assange , c'est la russie qui tire ses dernières cartouches contre Clinton et en vérité contre l'état profond us qui a promis a poutine une revanche dont il se souviendra après les élections ( allez voir le discours du chef d'état major yankee)

    Commentaire


    • #3
      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...4&postcount=21

      Ils n'ont pas attendu le 4 novembre pour rien afin de tirer cette cartouche. Ce qui pourrait expliquer pourquoi le FBI, qui a pris conscience de la gravité des révélations qui seront publiées par Assange contenues dans ces emails, a fait marche arrière...
      Othmane BENZAGHOU

      Commentaire


      • #4
        Ce pouvoir a été capable d'assasiner un président en exercice et de déballer une version officielle a dormir debout...... Donc c'est pas Assange qui va les arrêter !
        Clinton sera a la maison blanche , la question c'est plutôt qu'elle nouvelle doctrine l'empire nous prépare

        Commentaire


        • #5
          [Via Assange , c'est la russie qui tire ses dernières cartouches contre Clinton]
          Et le FBI et Donald Trump et la majorité des américains blancs.
          Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

          Commentaire


          • #6
            Les e-mails d’Hillary Clinton et la Confrérie
            par Thierry Meyssan

            L’enquête du FBI sur les e-mails privés d’Hillary Clinton ne porte pas sur une négligence face aux règles de sécurité, mais sur un complot visant à distraire toute trace de ses correspondances qui auraient dû être archivées sur des serveurs de l’État fédéral. Il pourrait comprendre des échanges sur des financements illégaux ou de la corruption, d’autres sur les liens des époux Clinton avec les Frères musulmans et les jihadistes.

            Hillary Clinton et sa directrice de cabinet Huma Abedin.
            La relance de l’enquête du FBI sur les e-mails privés d’Hillary Clinton ne porte plus sur les questions de sécurité, mais sur des trafics qui pourraient aller jusqu’à la haute trahison.

            Techniquement, au lieu d’utiliser un serveur sécurisé de l’État fédéral, la secrétaire d’État avait fait installer à son domicile un serveur privé, de manière à pouvoir utiliser Internet sans laisser de traces sur une machine de l’État fédéral. Le technicien privé de Mme Clinton avait nettoyé son serveur avant l’arrivée du FBI, de sorte qu’il n’était pas possible de savoir pourquoi elle avait mis en place ce dispositif.

            Dans un premier temps, le FBI a observé que le serveur privé n’avait pas la sécurisation du serveur du département d’État. Mme Clinton n’avait donc commis qu’une faute de sécurité. Dans un second temps, le FBI a saisi l’ordinateur de l’ancien membre du Congrès, Anthony Weiner. Celui-ci est l’ancien époux d’Huma Abedin, directrice de cabinet d’Hillary. Des e-mails provenant de la secrétaire d’État y ont été retrouvés.

            Anthony Weiner est un homme politique juif, très proche des Clinton, qui ambitionnait de devenir maire de New York. Il dut démissionner à la suite d’un scandale très puritain : il avait envoyé des SMS érotiques à une jeune femme autre que son épouse. Huma Abedin se sépara officiellement de lui durant cette tourmente, mais en réalité ne le quitta pas.

            Huma Abedin est une états-unienne ayant été élevée en Arabie saoudite. Son père dirige une revue académique —dont elle fut durant des années la secrétaire de rédaction— qui reproduit régulièrement l’avis des Frères musulmans. Sa mère préside l’association saoudienne des femmes membres de la Confrérie et travaillait avec l’épouse du président égyptien Mohamed Morsi. Son frère Hassan travaille pour le compte du cheikh Yusuf al-Qaradawi, le prêcheur des Frères et conseiller spirituel d’Al-Jazeera.

            À l’occasion d’un déplacement officiel en Arabie saoudite, la secrétaire d’Etat visite le collège Dar al-Hekma en compagnie de Saleha Abedin (mère de sa directrice de cabinet), présidente de l’association des Sœurs membres de la Confrérie.
            Huma Abedin est aujourd’hui un personnage central de la campagne Clinton, à côté du directeur de campagne, John Podesta, ancien secrétaire général de la Maison-Blanche sous la présidence de Bill Clinton. Podesta est par ailleurs le lobbyiste attitré du Royaume d’Arabie saoudite au Congrès pour la modique somme de 200 000 dollars mensuels. Le 12 juin 2016, Petra, l’agence de presse officielle de Jordanie, avait publié une interview du prince héritier d’Arabie, Mohamed Ben Salmane, affirmant la modernité de sa famille qui avait illégalement financé à hauteur de 20 % la campagne présidentielle d’Hillary Clinton, quoique ce soit une femme. Le lendemain de cette publication, l’agence annulait cette dépêche et assurait que son site internet avait été piraté.

            Selon l’agence officielle jordanienne Petra du 12 juin 2016, la famille royale saoudienne a illégalement financé 20 % de la campagne présidentielle d’Hillary Clinton.
            Madame Abedin n’est pas la seule membre de l’administration Obama liée à la Confrérie. Le demi-frère du président, Abon’go Malik Obama, est le trésorier de l’Œuvre missionnaire des Frères au Soudan et président de la Fondation Barack H. Obama. Il est directement placé sous les ordres du président soudanais, Omar el-Béchir. Un Frère musulman est membre du Conseil national de sécurité —la plus haute instance exécutive aux États-Unis—. De 2009 à 2012, c’était le cas de Mehdi K. Alhassani. On ignore qui lui a succédé, mais la Maison-Blanche niait qu’un Frère soit membre du Conseil jusqu’à ce qu’une preuve surgisse. C’est également un Frère qui est ambassadeur des États-Unis auprès de la Conférence islamique, Rashad Hussain. Les autres Frères identifiés occupent des fonctions moins importantes. Il faut cependant citer Louay M. Safi, actuel membre de la Coalition nationale syrienne et ancien conseiller du Pentagone.

            Le président Obama et son demi-frère Abon’go Malik Obama dans le Bureau ovale. Abon’go Malik est le trésorier de l’Œuvre missionnaire des Frères musulmans au Soudan.
            En avril 2009, deux mois avant son discours du Caire, le président Obama avait secrètement reçu une délégation de la Confrérie dans le Bureau ovale. Il avait déjà invité, lors de son intronisation, Ingrid Mattson, la présidente de l’association des Frères et Sœurs musulmans aux États-Unis.

            De son côté, la Fondation Clinton a employé comme responsable de son projet « Climat » Gehad el-Haddad, un des dirigeants mondiaux de la Confrérie qui avait été jusque là responsable d’une émission de télévision coranique. Son père avait été l’un des co-fondateurs de la Confrérie, en 1951, lors de sa recréation par la CIA et le MI6. Gehad a quitté la fondation en 2012, date à laquelle il est devenu au Caire le porte-parole du candidat Mohammed Morsi, puis celui officiel des Frères musulmans, à l’échelle mondiale.

            Sachant que la totalité des leaders jihadistes dans le monde sont soit issu de la Confrérie, soit de l’Ordre soufi des Naqshbandîs —les deux composantes de la Ligue islamique mondiale, l’organisation saoudienne anti-nationaliste arabe— on aimerait en savoir plus sur les relations de Madame Clinton avec l’Arabie saoudite et les Frères.

            Il se trouve que dans l’équipe de son challenger Donald Trump, on compte le général Michael T. Flynn qui tenta de s’opposer à la création du Califat par la Maison-Blanche et démissionna de la direction de la Defense Intelligence Agency (Agence de Renseignement militaire) pour marquer sa réprobation. Il y côtoie Frank Gaffney, un « guerrier froid » historique, désormais qualifié de « conspirationniste » pour avoir dénoncé la présence des Frères dans l’État fédéral.

            Il va de soi que, du point de vue du FBI, tout soutien aux organisations jihadistes est un crime, quelle que soit la politique de la CIA. En 1991, les policiers —et le sénateur John Kerry— avaient provoqué la faillite de la banque pakistanaise (quoi qu’enregistrée aux îles Caïman) BCCI que la CIA utilisait pour toutes sortes d’opérations secrètes avec les Frères musulmans tout autant qu’avec les cartels latinos des drogues.

            Thierry Meyssan

            Ca devient trop embarrassant pour l'opinion publique américaine...
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              et la majorité des américains blancs.

              Si ces bouffeurs de big mac ont déjà oublié le 11 sept .......l'état profond en inventera un autre , les scénaristes de Hollywood sont très bon
              En espérant que e cette fois ils accusent la russie et nous laisse tranquille

              Commentaire

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