La Fondation Amirouche veut « faire reconnaître à la France ses crimes commis en Algérie »
Par Imene Brahimi |
La Fondation du colonel Amirouche est née ce samedi 5 novembre à Tizi Ouzou, en présence notamment du ministre des Moudjahidine Tayeb Zitouni et de plusieurs anciens moudjahidin.
En plus de plusieurs objectifs dont la participation au rayonnement de la déclaration du 1er novembre et la plateforme de la Soummam et la participation à la réflexion sur des sujets historiques qui concernent le pays, la fondation s’est également fixée comme un de ses objectifs de faire reconnaître à la France ses crimes commis en Algérie.
« La fondation Amirouche œuvrera à faire reconnaître à la France ses crimes de guerre et son crime contre l’humanité en Algérie. Elle présentera des résolutions en vue de leur adoption. Elle va effectuer des recherches soutenues et collecter témoignages documentés dans l’objectif de faire reconnaître à la France les crimes commis par son armée régulière et ses différents services de sécurité sous les ordres des officiers et hauts responsables de l’État français dans le cadre d’une politique de spoliation, d’oppression et de colonisation menée pendant plus d’un siècle en Algérie », a expliqué Mohand Amokrane Ameur qui a présenté le programme de la fondation.
Par Imene Brahimi |
La Fondation du colonel Amirouche est née ce samedi 5 novembre à Tizi Ouzou, en présence notamment du ministre des Moudjahidine Tayeb Zitouni et de plusieurs anciens moudjahidin.
En plus de plusieurs objectifs dont la participation au rayonnement de la déclaration du 1er novembre et la plateforme de la Soummam et la participation à la réflexion sur des sujets historiques qui concernent le pays, la fondation s’est également fixée comme un de ses objectifs de faire reconnaître à la France ses crimes commis en Algérie.
« La fondation Amirouche œuvrera à faire reconnaître à la France ses crimes de guerre et son crime contre l’humanité en Algérie. Elle présentera des résolutions en vue de leur adoption. Elle va effectuer des recherches soutenues et collecter témoignages documentés dans l’objectif de faire reconnaître à la France les crimes commis par son armée régulière et ses différents services de sécurité sous les ordres des officiers et hauts responsables de l’État français dans le cadre d’une politique de spoliation, d’oppression et de colonisation menée pendant plus d’un siècle en Algérie », a expliqué Mohand Amokrane Ameur qui a présenté le programme de la fondation.
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