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je ne connais pas bien cette notion des "péchés" dans le ou les judaismes.
dans le christianisme ont remonte à la Genèse qui évoque le péché originel connu sous l'histoire de Adam et Eve. par la suite Saint Thomas d'Aquin a recensé 7 péchés capitaux pour les catholiques.
En ce qui concerne les musulmans, ce thème est aussi approché par ibn ashir ou ghazali, ils définissent respectivement 7 péchés ou 4 tendances de péchés dit kaba'ir (capitaux).
En règle générale, les chrétiens définissent la faute d'adam et eve qui rejaillit sur les humains comme une faute collective, d'où la notion de rédemption et de salut par le sacrifice de jésus pour sauver l'humanité.
Les musulmans eux ne considèrent pas que la faute de adam et eve rejaillit sur l'humanité. ils individualisent donc le péché. chacun son péché et tout le monde sera face à ses actes le jour du jugement.
ces deux applications (ou interprétations différentes), ont des conséquences énormes sur le modèle social chrétien (occidental) et musulman (oriental). l'individu est contraint dans son rapport à dieu chez les occidentaux, ce qui donne le clergé et le vatican. en revanche, le musulman se sent libre dans sa relation avec dieu avec lequel il est en lien direct. ce lien peut déraper gravement puisque il donne des comportements takfiristes et intégristes.
Perso, ce que je relève c que les croyants dans une messe gardent une humilité et une modestie d'un subalterne qui fait attention aux injonctions de son supérieur hiérarchique (le prêtre) alors que le musulman se sentirait presque plus important que son imam, surtout s'il a un cheikh référence ailleurs. il est la proie consentante de son nombril et son narcissisme.
Toujours est-il, dans le Coran, notre livre à tous, on relève 3 termes pour le péché :
1- dhenb : il caractérise un péché entre soi et dieu
2- Ithm : il caractérise un péché allant à l'encontre du "droit naturel"
3- sayi 'a : il caractérise une faute.
Ces termes nécessitent à eux mêmes des thèses et des années d'études. N'étant pas de la partie (études scientifiques), je suis personnellement intéressé par tout apport circonstancié de ces notions coraniques, particulièrement des études théologiques ou philosophiques exhaustives.
dans le christianisme ont remonte à la Genèse qui évoque le péché originel connu sous l'histoire de Adam et Eve. par la suite Saint Thomas d'Aquin a recensé 7 péchés capitaux pour les catholiques.
En ce qui concerne les musulmans, ce thème est aussi approché par ibn ashir ou ghazali, ils définissent respectivement 7 péchés ou 4 tendances de péchés dit kaba'ir (capitaux).
En règle générale, les chrétiens définissent la faute d'adam et eve qui rejaillit sur les humains comme une faute collective, d'où la notion de rédemption et de salut par le sacrifice de jésus pour sauver l'humanité.
Les musulmans eux ne considèrent pas que la faute de adam et eve rejaillit sur l'humanité. ils individualisent donc le péché. chacun son péché et tout le monde sera face à ses actes le jour du jugement.
ces deux applications (ou interprétations différentes), ont des conséquences énormes sur le modèle social chrétien (occidental) et musulman (oriental). l'individu est contraint dans son rapport à dieu chez les occidentaux, ce qui donne le clergé et le vatican. en revanche, le musulman se sent libre dans sa relation avec dieu avec lequel il est en lien direct. ce lien peut déraper gravement puisque il donne des comportements takfiristes et intégristes.
Perso, ce que je relève c que les croyants dans une messe gardent une humilité et une modestie d'un subalterne qui fait attention aux injonctions de son supérieur hiérarchique (le prêtre) alors que le musulman se sentirait presque plus important que son imam, surtout s'il a un cheikh référence ailleurs. il est la proie consentante de son nombril et son narcissisme.
Toujours est-il, dans le Coran, notre livre à tous, on relève 3 termes pour le péché :
1- dhenb : il caractérise un péché entre soi et dieu
2- Ithm : il caractérise un péché allant à l'encontre du "droit naturel"
3- sayi 'a : il caractérise une faute.
Ces termes nécessitent à eux mêmes des thèses et des années d'études. N'étant pas de la partie (études scientifiques), je suis personnellement intéressé par tout apport circonstancié de ces notions coraniques, particulièrement des études théologiques ou philosophiques exhaustives.
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