(Agence Ecofin) - Depuis la rencontre des producteurs de pétrole de la zone OPEP, la semaine dernière, les prix du pétrole ne cessent de faire le yoyo face à la résurgence des antagonismes entre l’Iran et l’Arabie saoudite, les deux plus gros producteurs du cartel. En effet, l’Arabie saoudite a menacé d’augmenter sa production, si l’Iran n’acceptait pas de plafonner sa production à 3,66 millions de barils/jours.
Pour l’Iran, il est hors de question de plafonner sa production alors que le pays vient de lancer un programme visant à atteindre 4,2 millions de barils par jour.
Désormais, un gros risque d’échec plane sur l’accord d’Alger. « Les États ne respectent pas toujours ce qu'ils signent », avait prévenu l’expert des questions énergétiques Francis Perrin, juste après l’accord.
Jusqu’ici les réunions préliminaires à la rencontre de fin novembre pour entériner l’accord n’ont rien produit de concret. Face à la course à la montre qui vient de commencer, Tarek El-Molla, le ministre égyptien, s’est envolé pour l’Iran afin de tenter de convaincre les autorités de Téhéran d’accepter de geler la production.
Pour l’Iran, il est hors de question de plafonner sa production alors que le pays vient de lancer un programme visant à atteindre 4,2 millions de barils par jour.
Désormais, un gros risque d’échec plane sur l’accord d’Alger. « Les États ne respectent pas toujours ce qu'ils signent », avait prévenu l’expert des questions énergétiques Francis Perrin, juste après l’accord.
Jusqu’ici les réunions préliminaires à la rencontre de fin novembre pour entériner l’accord n’ont rien produit de concret. Face à la course à la montre qui vient de commencer, Tarek El-Molla, le ministre égyptien, s’est envolé pour l’Iran afin de tenter de convaincre les autorités de Téhéran d’accepter de geler la production.