Face à la menace, l'OTAN se prépare. Dans un article du quotidien britannique The Times, Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l'organisation, a indiqué que l'Alliance atlantique avait mis en alerte une importante force militaire, destinée à répondre en urgence à une éventuelle agression militaire russe contre les pays baltes.
Si Jens Stoltenberg est resté vague, le représentant britannique permanent auprès de l'OTAN s'est montré plus précis, et a évoqué 300000 hommes.
Selon Sir Adam Thomson, il faudrait aujourd'hui six mois à l'organisation militaire pour déployer ce nombre de soldats. Ce laps de temps considéré comme bien trop long et devrait être réduit à deux mois. Par ailleurs, d'après le Daily Mail, des responsables des service secrets anglais s'alarmeraient également du nouveau tank Armata développé par les Russes et qui serait très supérieur aux tanks occidentaux.
Les relations entre la Russie et le bloc occidental se sont sérieusement dégradés au cours des derniers mois, voire des dernières années, suite au soutien de Vladimir Poutine au régime de Bachar al-Assad en Syrie, et au conflit en Ukraine. Récemment, le président russe a pourtant indiqué que "en vérité, la Russie ne va attaquer personne, c'est une hypothèse ridicule". Une hypothèse pourtant prise très au sérieux par les responsables de l'OTAN
Atlantico
Si Jens Stoltenberg est resté vague, le représentant britannique permanent auprès de l'OTAN s'est montré plus précis, et a évoqué 300000 hommes.
Selon Sir Adam Thomson, il faudrait aujourd'hui six mois à l'organisation militaire pour déployer ce nombre de soldats. Ce laps de temps considéré comme bien trop long et devrait être réduit à deux mois. Par ailleurs, d'après le Daily Mail, des responsables des service secrets anglais s'alarmeraient également du nouveau tank Armata développé par les Russes et qui serait très supérieur aux tanks occidentaux.
Les relations entre la Russie et le bloc occidental se sont sérieusement dégradés au cours des derniers mois, voire des dernières années, suite au soutien de Vladimir Poutine au régime de Bachar al-Assad en Syrie, et au conflit en Ukraine. Récemment, le président russe a pourtant indiqué que "en vérité, la Russie ne va attaquer personne, c'est une hypothèse ridicule". Une hypothèse pourtant prise très au sérieux par les responsables de l'OTAN
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