Mark Zell pavoise ! Israélo-Américain, il a mené la campagne en faveur de Donald Trump, depuis la colonie de Tekoa, où il habite. Détestant l'administration Obama, Hillary Clinton et tout ce qui est démocrate, il a promis que les républicains allaient torpiller toutes les initiatives du président encore en exercice. Barack Obama pourrait en effet ne pas opposer son veto à une résolution anti-israélienne au Conseil de sécurité.
Selon les commentateurs israéliens, la victoire de Donald Trump est un nouveau coup dur pour les Palestiniens et leurs dirigeants. Les personnalités juives de l'entourage du candidat républicain n'ont pas cessé de proclamer leur soutien sans faille à Israël. Reprenant une déclaration de Benjamin Netanyahu, ils ont accusé l'OLP de vouloir faire de la Cisjordanie un territoire « Judenrein ». Et puis, les noms évoqués pour détenir des postes-clés dans la nouvelle administration Trump sont accueillis à Jérusalem avec une grande satisfaction. Rudy Guliani, à la Justice, et Newt Gingrich, au département d'État, sont de grands amis de la droite israélienne et de Benjamin Netanyahu.
Cela étant, le Premier ministre israélien a adopté une attitude extrêmement prudente au cours des dernières semaines. Certes, il n'a pas toujours eu des relations tranquilles avec Hillary Clinton, mais au moins, il la connaissait et lui faisait confiance. En revanche, Donald Trump lui semble imprévisible. Il faut rappeler qu'au début de sa campagne, il avait annoncé que tous les pays qui reçoivent une aide militaire des États-Unis devraient désormais la payer. Cela concernait aussi Israël. Mais depuis, le candidat républicain n'a cessé de répéter que Benjamin Netanyahu ne devait pas s'inquiéter.
Le nouveau chef de l'exécutif tiendra-t-il ses promesses envers Israël et notamment celle de déménager l'ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem ? Une décision qui serait inacceptable pour le monde arabe et musulman.
le Point fr
Selon les commentateurs israéliens, la victoire de Donald Trump est un nouveau coup dur pour les Palestiniens et leurs dirigeants. Les personnalités juives de l'entourage du candidat républicain n'ont pas cessé de proclamer leur soutien sans faille à Israël. Reprenant une déclaration de Benjamin Netanyahu, ils ont accusé l'OLP de vouloir faire de la Cisjordanie un territoire « Judenrein ». Et puis, les noms évoqués pour détenir des postes-clés dans la nouvelle administration Trump sont accueillis à Jérusalem avec une grande satisfaction. Rudy Guliani, à la Justice, et Newt Gingrich, au département d'État, sont de grands amis de la droite israélienne et de Benjamin Netanyahu.
Cela étant, le Premier ministre israélien a adopté une attitude extrêmement prudente au cours des dernières semaines. Certes, il n'a pas toujours eu des relations tranquilles avec Hillary Clinton, mais au moins, il la connaissait et lui faisait confiance. En revanche, Donald Trump lui semble imprévisible. Il faut rappeler qu'au début de sa campagne, il avait annoncé que tous les pays qui reçoivent une aide militaire des États-Unis devraient désormais la payer. Cela concernait aussi Israël. Mais depuis, le candidat républicain n'a cessé de répéter que Benjamin Netanyahu ne devait pas s'inquiéter.
Le nouveau chef de l'exécutif tiendra-t-il ses promesses envers Israël et notamment celle de déménager l'ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem ? Une décision qui serait inacceptable pour le monde arabe et musulman.
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