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Élection de Donald Trump : une bête noire du Maroc, un néophyte et un anti-interventionniste...

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    Élection de Donald Trump : une bête noire du Maroc, un néophyte et un anti-interventionniste pressentis pour succéder à John Kerry

    Le département d’État des États-Unis, équivalent de ministère des Affaires étrangères, est un poste stratégique dans l’administration américaine. Au lendemain de l’élection de Donald Trump, les spéculations sur la nomination du secrétaire d’État vont bon train. Le choix du personnage, selon son passé et les convictions qu’il défend, donnera un premier aperçu de ce que pourrait être la politique étrangère du nouveau président des États-Unis. Qui sera donc le secrétaire d’État de Donald Trump ? Éléments de réponse.

    Pour l’instant, plusieurs noms circulent avec insistance. Des hommes aux profils variés sont pressentis pour le poste. Nul doute que la diplomatie algérienne surveillera de près cette nomination, notamment dans l’optique de l’évolution du dossier du Sahara occidental. La résolution de la question palestinienne figure également parmi les préoccupations du département de Ramtane Lamamra.

    Le néoconservateur John Bolton, bête noire du Maroc

    John Bolton est évoqué par plusieurs médias. Diplomate de carrière et ancien ambassadeur aux Nations unies (août 2005 – décembre 2006) sous le mandat de l’ex-président républicain George W. Bush, l’homme est rompu aux questions internationales.

    Il est surtout un bon connaisseur du dossier sahraoui. Il a notamment servi comme assistant de l’ancien envoyé spécial de l’ex-secrétaire général des Nations unies (Koffi Annan) au Sahara occidental, James Baker. Ce dernier est à l’origine d’un plan de résolution du conflit avec le Maroc, accepté par le Front Polisario et l’Algérie comme base de négociations. L’initiative, baptisée « Baker II » prévoyait la tenue d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui, après une période d’auto-gouvernance sahraouie de 5 années.

    Par ailleurs, John Bolton appartient au courant néoconservateur. Une idéologie qui compte des figures républicaines comme l’ancien Vice-président américain Dick Cheney, l’ex-secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld ou l’ancien président de la Banque Mondiale, Paul Wolfowitz. Les néoconservateurs sont réputés être interventionnistes (militairement et diplomatiquement) et foncièrement pro-israéliens.

    Newt Gingrich, « néophyte » de la politique étrangère

    Ancien président de la chambre des représentants (chambre basse du Congrès américain) et député de longue date, Newt Gingrich a, un temps, figuré parmi les colistiers (Vice-président) potentiels de Donald Trump lors de cette élection. Il est même considéré comme favori pour le poste de secrétaire d’État, selon les médias américains.

    Proche parmi les proches du futur président américain, il n’a pas d’expérience particulière dans le domaine de la politique étrangère américaine. Il a tout de même conseillé Rumsfeld sur le conflit israélo-palestinien et est partisan d’une ligne extérieure dure, affichant une volonté d’une politique étrangère « bicéphale », avec le Pentagone (Défense) et le Secrétariat d’État.

    Bob Corker, l’anti-interventionniste

    Sénateur et président de la Commission des Affaires étrangères, Bob Corker a soutenu, à demi-mot, les objectifs de la politique étrangère de Donald Trump. Il est l’un des rares membres du parti républicain à avoir exprimé son désaccord avec la politique étrangère de Bush.

    Contre la guerre en Irak et ses conséquences (après avoir soutenu l’intervention), Corker est plus proche d’une ligne à la « James Baker », du nom de l’ancien envoyé spécial de l’ONU pour le Sahara occidental. Anti-interventionniste, il a salué la volonté de Trump de « défier le soutien traditionnel des Républicains pour les interventions militaires » américaines.

    tsa

  • #2
    Bolton wa ma adraka ma Bolton

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    • #3
      Mort de rire.

      Maintenant, "ils" rêvent de Bolton pour avoir leur fenêtre sur l'atlantique.

      Pathétique !

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      • #4
        comme d'habitude quoi, ROBAMA BIS
        "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
        Johann Wolfgang von Goethe

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        • #5
          Mince...faut déjà que je change ma signature...

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