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Paris : La société financière internationale - SFI, filiale de la Banque Mondiale, estime que l’économie verte au Maroc a un énorme potentiel
En effet, la SFI a indiqué que l’économie verte au Maroc apportera un potentiel en investissements des plus prometteurs dans les 14 années à venir.
Dans un rapport intitulé ‘Climate Investment Opportunities in Emerging Markets’, la SFI a étudié, pour les pays émergents, le potentiel économique du pacte climatique, décidé à Paris l’année dernière et qui est actuellement en mise en route à Marrakech, dans le cadre du sommet COP 22.
Dans son rapport, la SFI a expliqué que, énorme est le potentiel en investissements, que crée l’accord sur le climat. Il est estimé dans tous les pays émergents, d’Afrique, de MENA, des Asies et des Amériques, à plus de 23.000 milliards de dollars.
Au Maroc, ce potentiel a été chiffré par la SFI à 68 milliards de dollars. Il s’agit de capitaux dits verts, c'est-à-dire destinés à financer des projets de production d'énergies renouvelables, des constructions intelligentes, les transports et les solutions de traitement des déchets.
Le royaume compte dans la région MENA, parmi trois pays ayant les plus grands potentiels. Il accumule avec l’Egypte et la Jordanie un potentiel en investissements verts de 265 milliards de dollars.
Au niveau africain subsaharien, où le Maroc occupe un excellent positionnement sur les marchés, le potentiel économique vert est estimé à 783 milliards de dollars, notamment pour les énergies propres en Afrique du Sud, en Côte d'Ivoire, au Kenya et au Nigéria.
lemag
En effet, la SFI a indiqué que l’économie verte au Maroc apportera un potentiel en investissements des plus prometteurs dans les 14 années à venir.
Dans un rapport intitulé ‘Climate Investment Opportunities in Emerging Markets’, la SFI a étudié, pour les pays émergents, le potentiel économique du pacte climatique, décidé à Paris l’année dernière et qui est actuellement en mise en route à Marrakech, dans le cadre du sommet COP 22.
Dans son rapport, la SFI a expliqué que, énorme est le potentiel en investissements, que crée l’accord sur le climat. Il est estimé dans tous les pays émergents, d’Afrique, de MENA, des Asies et des Amériques, à plus de 23.000 milliards de dollars.
Au Maroc, ce potentiel a été chiffré par la SFI à 68 milliards de dollars. Il s’agit de capitaux dits verts, c'est-à-dire destinés à financer des projets de production d'énergies renouvelables, des constructions intelligentes, les transports et les solutions de traitement des déchets.
Le royaume compte dans la région MENA, parmi trois pays ayant les plus grands potentiels. Il accumule avec l’Egypte et la Jordanie un potentiel en investissements verts de 265 milliards de dollars.
Au niveau africain subsaharien, où le Maroc occupe un excellent positionnement sur les marchés, le potentiel économique vert est estimé à 783 milliards de dollars, notamment pour les énergies propres en Afrique du Sud, en Côte d'Ivoire, au Kenya et au Nigéria.
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