Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia qui juraient que l’Algérie s’en sortirait avec beaucoup moins d’argent que les années précédents, et que, pour eux, « d’un mal peut sortir un bien », affirmant, sûrs d’eux, que le manque de recettes financières suite la baisse du baril allait permettre le développement de la production hors hydrocarbures et que l’économie algérienne basée sur la rente pétrolière allait passer à une économie diversifiée. Voici ce que l’UDM écrivait il y a deux mois maintenant sur la faillite de l’Algérie :
Tout va bien, l’Algérie est en faillite
D’ici quelques mois, il n’y aura plus d’argent pour payer les factures et le personnel. Les fonctionnaires et les travailleurs du secteur public seront les premières victimes de la faillite financière de l’Etat.
Les déficits se creusent et l’Etat ne dispose plus des réserves engrangées les années précédentes pour les couvrir. Tous les mécanismes économiques et financiers utilisés ne serviront strictement à rien pour sauver la situation qui a atteint le rouge.
Le pouvoir établi qui n’espère même plus le gel de la production de pétrole par les membres de l’OPEP afin de faire remonter les prix, envisage de pomper encore plus de gaz, dès l’année prochaine, pour tenter d’éviter l’étranglement financier.
Le Fonds de régulation des recettes étant épuisé, il ne reste plus à Alger qu’à brader les bons du trésor américain, utiliser à tout va la planche à billet, ce qui est, indéniablement, dangereux, ou recourir à l’endettement extérieur. L’emprunt obligataire qu’il avait contracté pour faire face au déficit budgétaire a fait un bide : environ 16 milliards de dollars seulement, alors qu’il fallait au moins 100 milliards de dollars pour respirer un peu.
Le secteur privé dont la mission était de préparer l’après-pétrole va beaucoup souffrir et l’emploi aussi. La fameuse politique de l’offre que les économistes libéraux et les entrepreneurs avaient saluée et vanté comme la panacée, est bel et bien morte et enterrée. Sellal et les autres peuvent bien « pratiquer » la méthode Coué, le peuple algérien n’est pas un imbécile pour croire que tout va bien dans notre pays.
source: parti-udm.org
Tout va bien, l’Algérie est en faillite
D’ici quelques mois, il n’y aura plus d’argent pour payer les factures et le personnel. Les fonctionnaires et les travailleurs du secteur public seront les premières victimes de la faillite financière de l’Etat.
Les déficits se creusent et l’Etat ne dispose plus des réserves engrangées les années précédentes pour les couvrir. Tous les mécanismes économiques et financiers utilisés ne serviront strictement à rien pour sauver la situation qui a atteint le rouge.
Le pouvoir établi qui n’espère même plus le gel de la production de pétrole par les membres de l’OPEP afin de faire remonter les prix, envisage de pomper encore plus de gaz, dès l’année prochaine, pour tenter d’éviter l’étranglement financier.
Le Fonds de régulation des recettes étant épuisé, il ne reste plus à Alger qu’à brader les bons du trésor américain, utiliser à tout va la planche à billet, ce qui est, indéniablement, dangereux, ou recourir à l’endettement extérieur. L’emprunt obligataire qu’il avait contracté pour faire face au déficit budgétaire a fait un bide : environ 16 milliards de dollars seulement, alors qu’il fallait au moins 100 milliards de dollars pour respirer un peu.
Le secteur privé dont la mission était de préparer l’après-pétrole va beaucoup souffrir et l’emploi aussi. La fameuse politique de l’offre que les économistes libéraux et les entrepreneurs avaient saluée et vanté comme la panacée, est bel et bien morte et enterrée. Sellal et les autres peuvent bien « pratiquer » la méthode Coué, le peuple algérien n’est pas un imbécile pour croire que tout va bien dans notre pays.
source: parti-udm.org
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