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Les exilés Algériens de Tizi Ouzou à Safed en Palestine

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  • Les exilés Algériens de Tizi Ouzou à Safed en Palestine

    Les exilés Algériens de Tizi Ouzou à Safed en Palestine




    Ils étaient quelques centaines seulement dans le village de Dayshum (دَيْشُومْ) à Safed (صَفَد) dans le département palestinien de Galilée (Al-Jalil الجليل) à la frontière avec le Liban. Ils vivaient là éparpillés dans une centaine de maisons depuis le milieu du 19ème siècle après avoir fui les persécutions et les graves injustices commises à leur encontre dans leur propre pays, l'Algérie, par les colonisateurs français.

    De Tizi Ouzou à Galilée...

    La plupart d'entre eux venaient des monts du Djurdjura et la région de Tizi Ouzou (تِيزِي وَزُّو) en particulier. Et dès leur arrivée en Palestine, ils prirent contact avec les enfants de l'Emir Abdelkader, Khaled, Said, Hassan et Salah, comme le faisaient pratiquement toutes les communautés algériennes de Bilad Achcham (بلاد الشَّام) de l'époque pour s'entraider, défendre leurs intérêts, mais surtout dans le but d'organiser et coordonner leurs activités politiques militantes.

    Leurs noms ? Des noms souvent de familles algériennes farouchement résistantes à l'occupation française de l'Algérie. Beaucoup d'entre eux appartenaient aux troupes de combattants qui se sont soulevés contre l'expédition militaire française en Kabylie et aux soldats de Cheikh le Bach Agha Mohammad Al-Moqrani lors de la révolte de 1871, tels que les Ait Yahia (آيتْ يحي), Meziane (مزيان), Ait Ahmed (آيت أحمد), Al-Haddad (الحدَّاد), Ouadhi (واضي), Al-Qadi (القاضي), Khlifaoui (خْلِيفَاوِي), Boudjemaa (بُوجَمْعَة), Qaci (قَاسي), Moh Lamnawwar (مُوحْ المْنوَّرْ), Ouqacem (أُوقَاسم), Bouaddou (بُوعَدُّو), Zarrouq (زَرُّوقْ)...

    A l'époque, on n'émigrait pas en France. On partait, de gré ou de force, à Tunis, en Alexandrie en Egypte, au Hijaz en Arabie Saoudite, mais surtout au Bilad Achcham qui englobait avant Sykes-Picot- l'ensemble des actuels territoires syrien, libanais, palestinien et jordanien. Même les exilés en France déployaient tous leurs efforts pour convaincre les autorités de ce pays de leur permettre de partir en Orient.

    Parmi eux, le grand Mufti malékite de Al-Jamiî Al-Kabir (الجامع الكبير) à Alger Si Mustapha ben Al-Kbabti (سي مصطفى بن الكْبَابْطِي), qui dès son arrivée en France en 1843 ne souhaitait guère y rester longtemps et priait Paris de lui accorder le droit de partir au Machreq (المشرق).

    Arrivés à Bilad Achcham, les Algériens de Tizi Ouzou choisirent de s'installer à Safed sur les rives de Ouadi Al-Handaj (وادي الحنداج), où ils allaient vivre de la culture de légumes et de fruits, mais surtout de la plantation d'oliviers, ainsi que de l'élevage comme ils le faisaient sur les monts du Djurdjura.

    Les racines...

    Leur nouvelle vie ne leur fit jamais oublier leurs racines et leurs proches restés en Algérie. Leurs descendants assurent de nos jours que leurs parents entretenaient régulièrement des contacts avec leurs proches en Algérie. Certaines familles continuent jusqu'à nos jours de garder jalousement des correspondances remontant aux années 1930 avec la terre des ancêtres.

    Ces exilés algériens de Bilad Echcham vivaient tranquillement, lorsque soudain, les Sionistes en quête d'instauration du futur Etat d'Israël, après la deuxième guerre mondiale, tentèrent de les chasser de leurs terres comme ce fut le cas avec les Palestiniens de la Palestine historique.

    Les martyrs de la Nakba... Moh Djemaa et les autres...

    L'heure de la reprise des armes laissées derrière eux à Tizi Ouzou et autres régions de leur pays d'origine avait alors sonné. La résistance à l'occupant commença avec des moyens rudimentaires, mais avec beaucoup de courage et de détermination après s'être organisés en cellules armées qui ciblaient des intérêts sionistes dans leur région.

    Plusieurs batailles furent menées par ces familles, dont celles de Ouadi Âarouce (وادي عروس) et Ras Al-Marj (رأس المرج), où brillaient particulièrement Mohamed Assalah (محمد الصالح), Said Assalah (سعيد الصالح), Moh Djamaa (موح جمعة), Al-Hadi Meziane (الهادي مزيان) et Said Al-Aarifi (سعيد العريفي). Ces trois derniers comptent de nos jours parmi les premiers martyrs de la révolution palestinienne contre l'occupation israélienne pendant ces années de braise et de traîtrise.


    La guerre perdue, les Israéliens réussirent le 30 octobre 1948 à les repousser vers le Liban et la Syrie après avoir pris de force leur village, avant de le détruire et confisquer leurs terres qui allaient servir à construire la future colonie israélienne Dichone.

    Aujourd'hui ces anciens exilés, d'abord d'Algérie au 19ème siècle, puis exilés par les Israéliens en 1948, sont devenus réfugiés palestiniens au Camp Nahr Al-Barid (نهرالبارد) à proximité de Tripoli, au nord du Liban, mais aussi un peu partout en terre syrienne.

    Si la guerre de Palestine lors de la Nakba 1947/1948 et la guerre d'Algérie 1954/1962 ont affaibli les contacts avec l'Algérie, la décolonisation de cette dernière allait permettre aux enfants de ces exilés victimes de la machine coloniale française de renouer avec la terre d'origine, pour laquelle se sont battus leurs parents et leurs grands-parents. Certains parmi eux rentrèrent définitivement en Algérie pour rejoindre leurs villages, où ils regagnèrent la nationalité algérienne.

    Sur le front algérien avec le colonel Ouamrane, Ghozali et Mehri...

    Le bureau du FLN à Damas les avait bien connus pendant la guerre de libération, où Le colonel Ouamrane et Abdelhamid Mehri, ainsi que Cheikh Al-Ghaciri leur rendaient visite.

    Des témoignages assurent également que les étudiants et futurs ministres Sid Ahmed Ghozali et Mohamed Cherif Kharroubi étaient en contact quasi-continus avec eux. Et qu'un certain nombre de jeunes issus de ces familles exilés se portèrent volontaires pour contribuer à la révolution libératrice de leur pays sans pour autant délaisser la cause palestinienne, pour laquelle ils s'engageaient parmi ses fidaiyyines (الفدائيين) de la première heure, depuis bien avant l'année 1965 qui a vu la création du Front de libération de la Palestine.

    Grâce à ces enfants et petits-enfants d'héros du combat de la libération de l'Algérie, Le Fatah de Yasser Arafat, le Front de Libération de la Palestine de Georges Habache, du Docteur Wadiî Haddad et de l'Algérien Mohamed Boudia, ces mouvements étaient et sont toujours quelque part un peu algériens.

    Fawzi Sadallah pour AL HUFFINGTON POST MAGHREB-ALGERIE

  • #2
    Ils étaient quelques centaines seulement dans le village de Dayshum (دَيْشُومْ) à Safed (صَفَد) dans le département palestinien de Galilée (Al-Jalil الجليل) à la frontière avec le Liban. Ils vivaient là éparpillés dans une centaine de maisons depuis le milieu du 19ème siècle après avoir fui les persécutions et les graves injustices commises à leur encontre dans leur propre pays, l'Algérie, par les colonisateurs français.
    C’est de la désinformation et de la malhonnêteté historique, si tout le monde sait que les tous les Algériens, même dans la misère coloniale française, étaient, des volontaires et non pas des exilés, partis en Palestine seulement pour soutenir nos frères Palestiniens persécutés, par les Sionistes qui eux étaient soutenus par la couronne anglaise et le Wall Street yankais, en accord avec l’URSS, imitée par la suite par la majorité des pays européens, qui avait décidé de se débarrasser de cette énergumène sioniste, et coup salir par leur présence cette terre sainte et leur inventer une imaginaire patrie.
    "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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    • #3
      @abderahmane1

      Un "exilé" n'est pas forcément un "déporté". Toute personne ayant été contrainte de quitter sa patrie et qui ne peut y revenir sans risque vit en exil, que ca soit de manière forcée ou non.
      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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      • #4
        Un "exilé" n'est pas forcément un "déporté". Toute personne ayant été contrainte de quitter sa patrie et qui ne peut y revenir sans risque vit en exil, que ca soit de manière forcée ou non.
        quel remarque ....ou tu pose le doigt sur les esclaves et prisonniers algérien déporté par le colonisateur ottomane a l'orients! ....ce qu'es sur ils sont pas les premier a exilé ou déporté dans ces régions orientale
        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          @Arbia

          Les exilés Algériens de Tizi Ouzou à Safed en Palestine


          http://i.huffpost.com/gen/4421052/im...S-large570.jpg

          Ils étaient quelques centaines seulement dans le village de Dayshum (دَيْشُومْ) à Safed (صَفَد) dans le département palestinien de Galilée (Al-Jalil الجليل) à la frontière avec le Liban. Ils vivaient là éparpillés dans une centaine de maisons depuis le milieu du 19ème siècle après avoir fui les persécutions et les graves injustices commises à leur encontre dans leur propre pays, l'Algérie, par les colonisateurs français.

          De Tizi Ouzou à Galilée...

          La plupart d'entre eux venaient des monts du Djurdjura et la région de Tizi Ouzou (تِيزِي وَزُّو) en particulier. Et dès leur arrivée en Palestine, ils prirent contact avec les enfants de l'Emir Abdelkader, Khaled, Said, Hassan et Salah, comme le faisaient pratiquement toutes les communautés algériennes de Bilad Achcham (بلاد الشَّام) de l'époque pour s'entraider, défendre leurs intérêts, mais surtout dans le but d'organiser et coordonner leurs activités politiques militantes.

          Leurs noms ? Des noms souvent de familles algériennes farouchement résistantes à l'occupation française de l'Algérie. Beaucoup d'entre eux appartenaient aux troupes de combattants qui se sont soulevés contre l'expédition militaire française en Kabylie et aux soldats de Cheikh le Bach Agha Mohammad Al-Moqrani lors de la révolte de 1871, tels que les Ait Yahia (آيتْ يحي), Meziane (مزيان), Ait Ahmed (آيت أحمد), Al-Haddad (الحدَّاد), Ouadhi (واضي), Al-Qadi (القاضي), Khlifaoui (خْلِيفَاوِي), Boudjemaa (بُوجَمْعَة), Qaci (قَاسي), Moh Lamnawwar (مُوحْ المْنوَّرْ), Ouqacem (أُوقَاسم), Bouaddou (بُوعَدُّو), Zarrouq (زَرُّوقْ)...

          A l'époque, on n'émigrait pas en France. On partait, de gré ou de force, à Tunis, en Alexandrie en Egypte, au Hijaz en Arabie Saoudite, mais surtout au Bilad Achcham qui englobait avant Sykes-Picot- l'ensemble des actuels territoires syrien, libanais, palestinien et jordanien. Même les exilés en France déployaient tous leurs efforts pour convaincre les autorités de ce pays de leur permettre de partir en Orient.

          Parmi eux, le grand Mufti malékite de Al-Jamiî Al-Kabir (الجامع الكبير) à Alger Si Mustapha ben Al-Kbabti (سي مصطفى بن الكْبَابْطِي), qui dès son arrivée en France en 1843 ne souhaitait guère y rester longtemps et priait Paris de lui accorder le droit de partir au Machreq (المشرق).

          Arrivés à Bilad Achcham, les Algériens de Tizi Ouzou choisirent de s'installer à Safed sur les rives de Ouadi Al-Handaj (وادي الحنداج), où ils allaient vivre de la culture de légumes et de fruits, mais surtout de la plantation d'oliviers, ainsi que de l'élevage comme ils le faisaient sur les monts du Djurdjura.

          Les racines...

          Leur nouvelle vie ne leur fit jamais oublier leurs racines et leurs proches restés en Algérie. Leurs descendants assurent de nos jours que leurs parents entretenaient régulièrement des contacts avec leurs proches en Algérie. Certaines familles continuent jusqu'à nos jours de garder jalousement des correspondances remontant aux années 1930 avec la terre des ancêtres.

          Ces exilés algériens de Bilad Echcham vivaient tranquillement, lorsque soudain, les Sionistes en quête d'instauration du futur Etat d'Israël, après la deuxième guerre mondiale, tentèrent de les chasser de leurs terres comme ce fut le cas avec les Palestiniens de la Palestine historique.

          Les martyrs de la Nakba... Moh Djemaa et les autres...

          L'heure de la reprise des armes laissées derrière eux à Tizi Ouzou et autres régions de leur pays d'origine avait alors sonné. La résistance à l'occupant commença avec des moyens rudimentaires, mais avec beaucoup de courage et de détermination après s'être organisés en cellules armées qui ciblaient des intérêts sionistes dans leur région.

          Plusieurs batailles furent menées par ces familles, dont celles de Ouadi Âarouce (وادي عروس) et Ras Al-Marj (رأس المرج), où brillaient particulièrement Mohamed Assalah (محمد الصالح), Said Assalah (سعيد الصالح), Moh Djamaa (موح جمعة), Al-Hadi Meziane (الهادي مزيان) et Said Al-Aarifi (سعيد العريفي). Ces trois derniers comptent de nos jours parmi les premiers martyrs de la révolution palestinienne contre l'occupation israélienne pendant ces années de braise et de traîtrise.


          La guerre perdue, les Israéliens réussirent le 30 octobre 1948 à les repousser vers le Liban et la Syrie après avoir pris de force leur village, avant de le détruire et confisquer leurs terres qui allaient servir à construire la future colonie israélienne Dichone.

          Aujourd'hui ces anciens exilés, d'abord d'Algérie au 19ème siècle, puis exilés par les Israéliens en 1948, sont devenus réfugiés palestiniens au Camp Nahr Al-Barid (نهرالبارد) à proximité de Tripoli, au nord du Liban, mais aussi un peu partout en terre syrienne.

          Si la guerre de Palestine lors de la Nakba 1947/1948 et la guerre d'Algérie 1954/1962 ont affaibli les contacts avec l'Algérie, la décolonisation de cette dernière allait permettre aux enfants de ces exilés victimes de la machine coloniale française de renouer avec la terre d'origine, pour laquelle se sont battus leurs parents et leurs grands-parents. Certains parmi eux rentrèrent définitivement en Algérie pour rejoindre leurs villages, où ils regagnèrent la nationalité algérienne.

          Sur le front algérien avec le colonel Ouamrane, Ghozali et Mehri...

          Le bureau du FLN à Damas les avait bien connus pendant la guerre de libération, où Le colonel Ouamrane et Abdelhamid Mehri, ainsi que Cheikh Al-Ghaciri leur rendaient visite.

          Des témoignages assurent également que les étudiants et futurs ministres Sid Ahmed Ghozali et Mohamed Cherif Kharroubi étaient en contact quasi-continus avec eux. Et qu'un certain nombre de jeunes issus de ces familles exilés se portèrent volontaires pour contribuer à la révolution libératrice de leur pays sans pour autant délaisser la cause palestinienne, pour laquelle ils s'engageaient parmi ses fidaiyyines (الفدائيين) de la première heure, depuis bien avant l'année 1965 qui a vu la création du Front de libération de la Palestine.

          Grâce à ces enfants et petits-enfants d'héros du combat de la libération de l'Algérie, Le Fatah de Yasser Arafat, le Front de Libération de la Palestine de Georges Habache, du Docteur Wadiî Haddad et de l'Algérien Mohamed Boudia, ces mouvements étaient et sont toujours quelque part un peu algériens.

          Fawzi Sadallah pour AL HUFFINGTON POST MAGHREB-ALGERIE

          Merci à toi Arbia pour ce texte qui montre que les Algériens n'ont jamais baissé les bras ni ont été soumis au colonialisme quel que soit son nom : français ou juif sioniste.

          Ils n'ont jamais oublié leurs origines algériennes. Ils sont restés les fils du peuple algérien.

          La Palestine reste notre boussole avec toute ses richesses musulmanes et chrétiennes, avec ses lieux saints musulmans et chrétiens.

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          • #6
            @ Harrachi78

            Un "exilé" n'est pas forcément un "déporté". Toute personne ayant été contrainte de quitter sa patrie et qui ne peut y revenir sans risque vit en exil, que ca soit de manière forcée ou non.
            Mais moi je parle de l'intention qui n’était pas de s'exiler, mais de soutenir les Palestiniens dans leur Djihad contre le sionisme !
            "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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            • #7
              @abderrahmane

              Mais moi je parle de l'intention qui n’était pas de s'exiler, mais de soutenir les Palestiniens dans leur Djihad contre le sionisme !
              La conception du djihad est élargi à tous ceux qui luttent contre le colonialisme et pour la justice sociale et il est associé au kifah combat ou lutte car les non-musulmans ont toujours fait partie de ces luttes. Par contre, on voit aussi que le Djihad ou son nom a été accaparé par des partisans du sionisme, les djihadistes de Daech, d'Al Nosra. Cela veut dire, couvrir le mot par l'Islam est insuffisant et flou. Les Palestiniens ne considèrent pas que leur combat contre le sionisme comme strictement musulman mais il est plus vaste qu'un combat religieux, c'est pour libérer la patrie la Palestine qui est aussi musulmane et chrétienne, et pour laquelle combattent également des Palestiniens chrétiens. Le Hezbollah l'a compris et au sein de ses combattants il y a des chrétiens libanais mais aussi d'autres religions non-musulmanes.

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              • #8
                Mais moi je parle de l'intention qui n’était pas de s'exiler, mais de soutenir les Palestiniens dans leur Djihad contre le sionisme !
                Au 19ème siècle ? A un moment où tout Bilad Ech-Cham, Palestine comprise, faisait partie de l'empire ottoman ? Des années avant le 1er congrès sioniste de Bâle en 1897 ? Des dizaines d'années avant la déclaration de Balfour de 1917 ?
                "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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                • #9
                  Au 19ème siècle ? A un moment où tout Bilad Ech-Cham, Palestine comprise, faisait partie de l'empire ottoman ? Des années avant le 1er congrès sioniste de Bâle en 1897 ? Des dizaines d'années avant la déclaration de Balfour de 1917 ?
                  Pour être précis, c’était contre la création en Palestine de l'entité sioniste en 1949 !
                  "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                  • #10
                    Envoyé par Abderrahmane
                    Mais moi je parle de l'intention qui n’était pas de s'exiler, mais de soutenir les Palestiniens dans leur Djihad contre le sionisme !
                    En fait il y eut une première vague d'exil après la défaite de l'Emir AbdelKader et la deuxième vague d'exil c'est en 1870 après la défaite des frères AlMokrani, je ne pense pas que cet exil c'était pour combattre le sionisme comme tu le prétends puisque comme l'a suggéré le membre Benam c'est anachronique et il n'y a aucune honte à s'exiler lorsque la seule perspective qu'il reste dans son propre pays c'est une mort certaine.... la plupart de ces exilés par fierté certainement n'ont pas voulu rester pour sauver leur vie et aussi pour ne pas prêter allégeance aux colons français au contraire c'est tout à leur honneur... de plus, je tenais à rajouter que cette chronique c'est plus un pied de nez à nos bérbéristes et à la subversion française qui prétendent que la la kabylie et les régions autour sont peu islamisés voire anti arabe et plus proche de l'occident que de l'orient or cet article démontre tout le contraire !
                    Dernière modification par Arbia, 16 novembre 2016, 13h36.

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