J'aimerai partagé avec vous un certain nombre de citations de personnalités ayant visite Constantine, surnommée la « ville des ponts suspendus », « ville du vieux rocher », « ville des oulémas », aussi « ville des aigles » ou bien « ville du malouf »
Maël Assal.
Ils ont dit de Constantine :
Malek Haddad :
« On ne présente pas Constantine. Elle se présente et l'on salue. Elle se découvre et nous découvrons. Elle éclate comme un regard a l'aurore et court sur l'horizon qu'elle étonne et soulève. Puis satisfaite de son effet elle se fige dans sa gravite, se regroupe dans sa légende, se renferme dans son éternité. Les ponts et les rochers ne sont que des prétextes, les signes extérieurs d'une virtuosité qui se plait a surprendre, le talent d'un destin de génie qui se sait d'autre raison de gloire et de respect. Cette prouesse est d'abord de la pudeur. A tout jamais ma ville s'est réfugie derrière l'image qu’on s'en fait. Concédant une attitude et tolérant une silhouette, jalon entre deux infinis, elle veille sur le passe et relais du soleil, elle monte droite au pied des espérances.»
EL Idrissi :
« Constantine est l’une des places les plus fortes du monde, elle domine des plaines étendues et des vastes compagnes ensemencées de blé et d’orge »
Léon l’Africain :
« Constantine est entourée de rochers abrupts. Le fleuve sufegemar la contourne, et la rive extérieure est aussi couronnée de rochers, de telle sorte que sa vallée très encaissé forme comme un immense fossé qui défend la ville »
Gustave Flaubert :
« la seule chose importante que j'ai vue jusqu'à présent, c'est Constantine, le pays de Jugurtha. Il y a un ravin démesuré qui entoure la ville .. c'est une chose formidable et qui donne le vertige, je me suis promené en dessus, à pieds, et dedans, à cheval. Des gypaètes tournoyaient dans le ciel »
Tchihatchef :
« Constantine, assis sur un magnifique rocher que le Rhumel et de profonds ravins entourent d’une ceinture presque ininterrompue, se présente d'une manière aussi pittoresque qu'original ; pourtant, vue à certaine distance, la ville fait plutôt l'effet d'une citadelle européenne avec ses maisons à toits en tuiles, que d'une ville orientale ; l'élément oriental ne se dégage que lorsqu'on a mis le pied dans son enceinte intérieure »
Théophile Gautier :
« Le Rhumel, espèce de rivière-torrent, tantôt presque à sec, tantôt gonflé outre mesure, comme presque tous les cours d’eaux d’Afrique, alimenté par les pluies d’équinoxe ou la fonte des neiges s’est chargée de fortifier la ville et il a réussi mieux que Vauban. Ses infiltrations ont causé dans le rocher une coupure de huit cents pieds de profondeur au fond de laquelle il roule ses eaux troubles et impétueuses, tantôt à ciel ouvert, tantôt sous des arches qu’il a évidé, et dont l’arc immense effraie l’œil par sa hauteur. Après avoir embrassé presque circulairement la ville et son inexpugnable rocher naturel, il change de niveau et se précipite dans la plaine par une cascade dont les nappes et les rejaillissements semblent avoir été copiés d’après une des plus sauvages fantaisies de Salvator Rosa, tant le site est âprement pittoresque et férocement inculte ».
Maël Assal.
Ils ont dit de Constantine :
Malek Haddad :
« On ne présente pas Constantine. Elle se présente et l'on salue. Elle se découvre et nous découvrons. Elle éclate comme un regard a l'aurore et court sur l'horizon qu'elle étonne et soulève. Puis satisfaite de son effet elle se fige dans sa gravite, se regroupe dans sa légende, se renferme dans son éternité. Les ponts et les rochers ne sont que des prétextes, les signes extérieurs d'une virtuosité qui se plait a surprendre, le talent d'un destin de génie qui se sait d'autre raison de gloire et de respect. Cette prouesse est d'abord de la pudeur. A tout jamais ma ville s'est réfugie derrière l'image qu’on s'en fait. Concédant une attitude et tolérant une silhouette, jalon entre deux infinis, elle veille sur le passe et relais du soleil, elle monte droite au pied des espérances.»
EL Idrissi :
« Constantine est l’une des places les plus fortes du monde, elle domine des plaines étendues et des vastes compagnes ensemencées de blé et d’orge »
Léon l’Africain :
« Constantine est entourée de rochers abrupts. Le fleuve sufegemar la contourne, et la rive extérieure est aussi couronnée de rochers, de telle sorte que sa vallée très encaissé forme comme un immense fossé qui défend la ville »
Gustave Flaubert :
« la seule chose importante que j'ai vue jusqu'à présent, c'est Constantine, le pays de Jugurtha. Il y a un ravin démesuré qui entoure la ville .. c'est une chose formidable et qui donne le vertige, je me suis promené en dessus, à pieds, et dedans, à cheval. Des gypaètes tournoyaient dans le ciel »
Tchihatchef :
« Constantine, assis sur un magnifique rocher que le Rhumel et de profonds ravins entourent d’une ceinture presque ininterrompue, se présente d'une manière aussi pittoresque qu'original ; pourtant, vue à certaine distance, la ville fait plutôt l'effet d'une citadelle européenne avec ses maisons à toits en tuiles, que d'une ville orientale ; l'élément oriental ne se dégage que lorsqu'on a mis le pied dans son enceinte intérieure »
Théophile Gautier :
« Le Rhumel, espèce de rivière-torrent, tantôt presque à sec, tantôt gonflé outre mesure, comme presque tous les cours d’eaux d’Afrique, alimenté par les pluies d’équinoxe ou la fonte des neiges s’est chargée de fortifier la ville et il a réussi mieux que Vauban. Ses infiltrations ont causé dans le rocher une coupure de huit cents pieds de profondeur au fond de laquelle il roule ses eaux troubles et impétueuses, tantôt à ciel ouvert, tantôt sous des arches qu’il a évidé, et dont l’arc immense effraie l’œil par sa hauteur. Après avoir embrassé presque circulairement la ville et son inexpugnable rocher naturel, il change de niveau et se précipite dans la plaine par une cascade dont les nappes et les rejaillissements semblent avoir été copiés d’après une des plus sauvages fantaisies de Salvator Rosa, tant le site est âprement pittoresque et férocement inculte ».
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