Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Appels à la destitution de Bouteflika et démission de Saâdani : la mise au point de l’armée

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Appels à la destitution de Bouteflika et démission de Saâdani : la mise au point de l’armée

    L’Armée nationale populaire (ANP) a dénoncé, ce samedi 19 novembre, de « vaines et désespérées tentatives visant à semer le trouble et la division ». « La cohésion entre l’Armée nationale populaire et le peuple algérien ainsi que la loyauté envers la nation sont plus profondes et plus fortes pour être ébranlées par les vaines et désespérées tentatives visant à semer le trouble et la division », écrit l’auteur de l’éditorial de la revue El Djeich du mois de novembre.

    L’éditorialiste de la revue de l’ANP rappelle les appels lancés par certaines personnalités et partis politiques pour appliquer l’article 88 de la Constitution contre le président après son hospitalisation au Val-de-Grâce en 2013.


    « Dans un passé très proche, certaines voix, mues par des intérêts étroits et des calculs personnels, s’étaient élevées, pour appeler ouvertement l’Armée nationale populaire à violer la Constitution et la loi afin qu’elles puissent réaliser ce qu’elles n’avaient pu obtenir par des voies constitutionnelles, légales et démocratiques », accuse-t-il.
    Saâdani : « Je présente ma démission »
    L’auteur de l’éditorial fait par la suite allusion aux lectures faites après le départ de Amar Saâdani de la tête du FLN le liant à sa proximité avec le vice-ministre de la Défense et chef d’état-major, le général Ahmed Gaïd Salah et les présidentielles de 2019.

    Pourquoi Amar Saâdani a démissionné du poste de secrétaire général du FLN
    Amar Saâdani a annoncé, samedi 22 octobre, lors de la réunion du Comité central du parti, sa démission du poste de secrétaire général du FLN. Officiellement, il a invoqué des raisons de santé. « Mon absence pendant trois à quatre mois était liée à des raisons de santé », a-t-il avoué, avant d’annoncer sa décision de partir : « Je veux présenter ma démission devant vous ».

    Le Comité central du parti s’est contenté de valider une décision prise sans doute au sommet du pouvoir. Car, en réalité, Amar Saâdani a été poussé à la démission. Selon nos sources, il a été limogé par le président Abdelaziz Bouteflika.

    Le clan présidentiel le soupçonnait d’être sorti du rang pour nouer des alliances politiques « dangereuses » en prévision de la présidentielle de 2019. « Il a noué des relations étroites et intolérables avec Gaid Salah », affirme notre source. Et ce rapprochement entre le patron de l’armée et celui du parti majoritaire n’a pas été du goût du clan présidentiel. Pour ce dernier, ce couple constituait une véritable menace en prévision de la présidentielle de 2019. « Des rapports détaillés ont été transmis au président Bouteflika sur cette alliance suspecte, ce qui a permis au Président de décider », poursuit notre source.


    « Le limogeage de Sâadani n’a absolument rien à voir avec ses dernières déclarations sur le général Toufik et Belkhadem, comment certains semblent vouloir le croire », affirme la même source. En fait, la décision du président Bouteflika, a déjà été prise, bien avant les dernières attaques de Saâdani contre le général Toufik et Abdelaziz Belkhadem. Le clan présidentiel suivait de près l’évolution des relations entre Gaid Salah et Amar Saâdani depuis plusieurs mois. « Celui qui contrôle l’armée et le FLN contrôlera le processus de succession », estime notre source. « Il n’est pas question que les choses échappent au clan présidentiel, qui montre avec le limogeage de Saâdani, qu’il veut rester maître de la situation », ajoute la même source.

    Au lieu d’être encouragé, un tel rapprochement, entre deux hommes qui ont joué un rôle clé dans la destitution du général Toufik, est considéré comme étant dangereux par le clan présidentiel. Ce dernier soupçonnait le patron du FLN de préparer le terrain à un candidat qui n’est pas évidement sur sa liste. Le clan présidentiel a déjà frappé fort en limogeant Abdelaziz Belkhadem du FLN parce qu’il le soupçonnait d’entretenir des ambitions présidentielles. « En l’état actuel des choses, Bouteflika restera au pouvoir. Il n’a aucune intention de partir en 2019 », affirme la même source. Amar Saâdani a certes réitéré plusieurs fois son allégeance au clan présidentiel, mais il n’a pas encore appelé à un cinquième mandat comme l’a fait son successeur Djamel Ould Abbes.

    Amar Saâdani est la première grosse victime politique du 5e mandat. Comme le général Toufik l’a été pour le 4e mandat. « Le limogeage de Saâdani est un prélude pour une purge au sein du FLN », prévient notre source. Dans ce contexte, Djamel Ould Abbes a tenté de rassurer les proches de Saâdani, en affirmant hier, qu’il « n’était pas venu pour régler des comptes ». Notre source s’interroge aussi sur l’avenir de Gaid Salah à la tête de l’institution militaire. Le clan présidentiel va-t-il se contenter du limogeage de Saâdani ?

    Par TSA
    « Aujourd’hui, après l’échec de ces tentatives désespérées, ces parties, habituées à pêcher en eaux troubles, ne s’embarrassent pas de laisser libre cours à leur imagination, à leurs élucubrations, à leurs interprétations et à leurs divagations en inventant des histoires de toute pièce », assure la même source.

    Pour lui, l’objectif de ces énièmes tentatives désespérées « n’est autre que de vouloir porter atteinte à la crédibilité, à l’unité, à la discipline et l’engagement de l’ANP à accomplir ses missions constitutionnelles ». « Pendant que des voix s’élèvent de temps à autre pour tenter de semer la zizanie et la discorde, l’Armée nationale populaire continue d’accomplir ses missions constitutionnelles avec détermination, persévérance et dévouement, à l’effet de préserver la souveraineté nationale et l’inviolabilité du territoire », conclut-il.
    Par Hadjer Guenanfa
    TSA
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Le Président hospitalisé disait on pour des implants est revenu dans le même état. La science n'est pas en mesure de lui rendre ses jambes contrairement à ce que souhaitait DOA.

    Il est temps de le remercier pour tous les services rendus et de lui trouver un remplaçant en fonction de la loi et pour le maintien de la paix sociale.

    Commentaire


    • #3
      « La cohésion entre l’Armée nationale populaire et le peuple algérien ainsi que la loyauté envers la nation sont plus profondes et plus fortes pour être ébranlées par les vaines et désespérées tentatives visant à semer le trouble et la division », écrit l’auteur de l’éditorial de la revue El Djeich du mois de novembre.
      Cette bonne blague!!!oeilfermé
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

      Commentaire


      • #4
        A travers cet éditorial, l'ANP rappelle encore une fois pourquoi elle est l'une des armées les plus incompétentes et les plus corrompues du monde.

        Cette armée corrompue a ruiné l'Algérie pendant des décennies en instaurant un système politique pourri et verrouillé avant d'enfoncer l'Algérie dans plus de 20 ans de terrorisme en autorisant la création d'un parti djihadiste anti-démocratique et sa participation aux élections. Et comme si ces tragédies ne suffisaient pas pour étouffer les Algériens, l'ANP dit aux Algériens qu'ils doivent continuer à soutenir le mafieux incompétent qu'elle a placé au pouvoir en 1999 alors qu'il n'est qu'un zombie qui végète dans le grand luxe des palais présidentiels pendant que des millions d'Algériens vivent dans la pauvreté avec une monnaie nationale en ruines (1 euro = plus de 190 DA).

        Les mafieux de l'ANP ont dilapidé et saboté l'Algérie et maintenant, ils prétendent qu'ils respectent la constitution algérienne et qu'ils ne peuvent destituer le mafieux zombie qu'ils ont placé au pouvoir en 1999!

        Commentaire


        • #5
          - Ministre de la défense : Abdelaziz Bouteflika (79 ans)
          - Vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire : Ahmed Gaïd Salah (76 ans)

          Le subordonné rend hommage à son supérieur.

          Les seuls non-ministres de la défense furent Ben bella (mis au cachot en 65) et Chadli (de 90 à 92, fut démissionné en 92).
          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

          Commentaire


          • #6
            Pipo

            el djeich n'a jamais ete porte voix de l'armee mais juste celui de son maitre le chef boukerch ou avant lui le ministre de la defense, creer par le commissariat politique du temps du parti unique il s'est recycler dans la leche du tagarin
            Dernière modification par danube, 21 novembre 2016, 00h43.

            Commentaire


            • #7
              Le Président hospitalisé disait on pour des implants est revenu dans le même état. La science n'est pas en mesure de lui rendre ses jambes contrairement à ce que souhaitait DOA.
              Ton mentor de médecin à la noix, n'a pas souhaité, il a A F F I R M E , que boutef marcherait dans quelques mois.

              Enorme nuance .
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

              Commentaire


              • #8
                Wallah je suis écœuré de voir toutes ces anomalies dans mon pays , même nos routes se retournent contre nous et nous avalent (affaissement de la chaussée de ben aknoun) comme des mouches tellement l'incompétence est à tous les niveaux , trop c'est trop; il faut un président jeune , compétent , capable de veiller sur tout , un ministre de la défense jeune et dynamique ....
                Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                (Paul Eluard)

                Commentaire


                • #9
                  ils pensent même à un cinquième mandat....
                  pauvre Algerie... mabkawch ni nssa ni rdjel...

                  Commentaire


                  • #10
                    >>>L’auteur de l’éditorial fait par la suite allusion aux lectures faites après le départ de Amar Saâdani de la tête du FLN le liant à sa proximité avec le vice-ministre de la Défense et chef d’état-major,


                    Plutôt sa proximité avec la star du rap Joye Starr, voilà la véritable raison de sa destitution

                    Commentaire


                    • #11
                      Télévision Suisse romande

                      https://www.youtube.com/watch?v=

                      Commentaire


                      • #12
                        il a raison Boutef: l'Algerie c'est lui!
                        il suffit de regarder l'état de l'un et l'autre: une synchronie troublante

                        Commentaire


                        • #13
                          Citation:
                          Le Président hospitalisé disait on pour des implants est revenu dans le même état. La science n'est pas en mesure de lui rendre ses jambes contrairement à ce que souhaitait DOA.
                          Ton mentor de médecin à la noix, n'a pas souhaité, il a A F F I R M E , que boutef marcherait dans quelques mois.

                          Enorme nuance .
                          DOA est mieux placé que moi pour juger l'état du Président. S'il a affirmé , ce qui peut n' être que le souhait d'un thérapeute , c'est que jusqu'alors personne ne nous a précisé de quels implants il est question. Retenant la pratique du Professeur cité, BENABID , j'en été au cerveau , alors qu'il peut n'être question que de stimulateurs au niveau des membres inférieurs , comme ils en existent pour corriger certains muscles déficients post AVC.
                          Le cas de BOUTEFLIKA retenu par les spacialistes notre homme a pu rentrer équipé . Avec de la kiné il peut comme le dit DOA se remettre à marcher, dans quelques mois avec un... déambulateur .
                          Dernière modification par KHORE, 21 novembre 2016, 19h11.

                          Commentaire


                          • #14
                            @ mohoo
                            Merci pour ce partage.

                            Il nous montre un homme différent de celui que l'on présente comme facilement manipulable. Un brizidane ou nouss .
                            Cette vidéo explique la teigne de l'homme et peut être l'ascendant qu'il exerce sur ses conseillers et ministre, c'est un petit Staline malade.

                            Pour l'essentiel, compte tenu du risque encouru par l'Algérie une vacance du pouvoir avec la disparition du dictateur ouvre la voie à l'incontrôlable pour les Algériens.

                            Pour éviter le pire le meilleur des services que peut rendre le moujahed est de démissionner et de céder la place à un homme de compromis.

                            Si Mouloud moul el khana a raison ,tout en étant l'homme de la situation.

                            Commentaire


                            • #15

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X