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Kidnapping d’enfants : la DGSN met en place le n° vert 104
Kidnapping d’enfants : la DGSN met en place le N° vert 104
La DGSN a mis en service, dimanche, le numéro vert « 104 » pour signaler le kidnapping ou la disparitions d’enfants dans le cadre du plan national « Alerte rapt/disparitions d’enfants ».
Le numéro vert mis à la disposition des citoyens vient en renfort des numéros « 1548 » et « 17 » en vue d’une meilleure protection des personnes vulnérables comme les personnes âgées notamment, celles atteintes de la maladie d’Alzheimer et celles aux besoins spécifiques, précise l’agence officielle.
Pour le directeur général de la DGSN le général major Abdeghani Hamel, ce nouveau numéro « vise à faire avorter toute tentative de nuire aux enfants et à les rendre sains et saufs à leurs familles ».
Cette démarche intervient, a-t-il ajouté, en renforcement du plan national d’alerte rapt/disparition d’enfants.
M. Hamel a appelé dans ce sens tous les partenaires à « œuvrer à répandre la culture du signalement dans la société en utilisant ce numéro vert qui permettra de mieux contribuer à sauver la vie de l’enfant en danger et des personnes vulnérables ».
Le commissaire divisionnaire Chenaf a précisé que les enquêtes sur le terrain menées par la sûreté nationale ont montré que « dans près de 70% des cas, le rapt d’enfant est essentiellement dû à des différends familiaux, à des problèmes psychologiques et à la déperdition scolaire ».
TSA
La DGSN a mis en service, dimanche, le numéro vert « 104 » pour signaler le kidnapping ou la disparitions d’enfants dans le cadre du plan national « Alerte rapt/disparitions d’enfants ».
Le numéro vert mis à la disposition des citoyens vient en renfort des numéros « 1548 » et « 17 » en vue d’une meilleure protection des personnes vulnérables comme les personnes âgées notamment, celles atteintes de la maladie d’Alzheimer et celles aux besoins spécifiques, précise l’agence officielle.
Pour le directeur général de la DGSN le général major Abdeghani Hamel, ce nouveau numéro « vise à faire avorter toute tentative de nuire aux enfants et à les rendre sains et saufs à leurs familles ».
Cette démarche intervient, a-t-il ajouté, en renforcement du plan national d’alerte rapt/disparition d’enfants.
M. Hamel a appelé dans ce sens tous les partenaires à « œuvrer à répandre la culture du signalement dans la société en utilisant ce numéro vert qui permettra de mieux contribuer à sauver la vie de l’enfant en danger et des personnes vulnérables ».
Le commissaire divisionnaire Chenaf a précisé que les enquêtes sur le terrain menées par la sûreté nationale ont montré que « dans près de 70% des cas, le rapt d’enfant est essentiellement dû à des différends familiaux, à des problèmes psychologiques et à la déperdition scolaire ».
TSA