(Agence Ecofin) - Après avoir été placée en liquidation judiciaire en juin dernier, la SAMIR, seule raffinerie pétrolière du royaume chérifien, cherche un nouvel acheteur. C’est ce qu’a annoncé lundi à Reuters Mohamed El-Krimi, le syndic chargé de sa gestion provisoire.
Il a invité les investisseurs tant locaux qu’étrangers à soumettre des manifestations d’intérêts dans ce sens dès le lancement du processus de soumission des offres « les prochaines semaines ». D’après El-Krimi, seules les offres qui incluront une reprise immédiate de la production seront étudiées. « Une fois que nous aurons terminé l'évaluation des actifs de l'entreprise, et une fois que le juge en charge du dossier validera les résultats, nous allons lancer le processus », a-t-il expliqué.
Le responsable a refusé de donner des détails par rapport au calendrier mais a indiqué que l’opération devrait être lancée avant le 21 décembre prochain. La Samir, qui s’est heurtée à des difficultés financières, a arrêté ses activités au mois d’août 2015. Quelques mois plus tard, une décision du tribunal de commerce de Casablanca l’a placée, en second ressort, en liquidation malgré les efforts de son propriétaire pour obtenir un redressement judiciaire.
La suspension des activités de la SAMIR a conduit le royaume à importer la totalité de ses besoins en carburant. La raffinerie produisait 200 000 b/j de pétrole raffiné et le pays en consomme 300 000 sur une base quotidienn
Il a invité les investisseurs tant locaux qu’étrangers à soumettre des manifestations d’intérêts dans ce sens dès le lancement du processus de soumission des offres « les prochaines semaines ». D’après El-Krimi, seules les offres qui incluront une reprise immédiate de la production seront étudiées. « Une fois que nous aurons terminé l'évaluation des actifs de l'entreprise, et une fois que le juge en charge du dossier validera les résultats, nous allons lancer le processus », a-t-il expliqué.
Le responsable a refusé de donner des détails par rapport au calendrier mais a indiqué que l’opération devrait être lancée avant le 21 décembre prochain. La Samir, qui s’est heurtée à des difficultés financières, a arrêté ses activités au mois d’août 2015. Quelques mois plus tard, une décision du tribunal de commerce de Casablanca l’a placée, en second ressort, en liquidation malgré les efforts de son propriétaire pour obtenir un redressement judiciaire.
La suspension des activités de la SAMIR a conduit le royaume à importer la totalité de ses besoins en carburant. La raffinerie produisait 200 000 b/j de pétrole raffiné et le pays en consomme 300 000 sur une base quotidienn
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