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Maroc- Recrutement de profs : Plus de 93.000 candidatures

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  • Maroc- Recrutement de profs : Plus de 93.000 candidatures

    Recrutement de profs : Plus de 93.000 candidatures

    Par L'Economiste | Le 23/11/2016 -

    Depuis l’annonce de la campagne de recrutement de 11.000 enseignants contractuels pour le primaire et le secondaire début novembre, les candidatures ont afflué dans les académies régionales de l’éducation et de la formation. Quelque 93.613 candidats ont ainsi déposé leurs dossiers. La liste des présélectionnés pour passer le concours écrit devrait être publiée aujourd’hui mercredi. A.Na

  • #2
    Entretemps, les élèves sont livrés à eux mêmes.

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    • #3
      T'es jamais content toi ........ tu veux quoi ?? Qu'ils choisissent 11000 personnes au hasard et leur donner le titre de prof ......Le secteur de l'enseignement est sinistré ça on le sait et on est pas à une année une décennie ou même une génération prêt ..... autant donc prendre son temps et faire les choses dans les règles de l'art .

      Ps : si ça ne tenait qu'à moi ; il faut même pas engager ; car le problème il est ailleurs que dans la quantite.
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #4
        c'est dans la normale.

        J'ai ouvert ici une charge ( pas un poste) d'enseignement, j'ai reçu 30 CV...

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        • #5
          T'es jamais content toi ........ tu veux quoi ??
          On se calme !!!

          Qu'ils choisissent 11000 personnes au hasard et leur donner le titre de prof ......
          Non. Que les responsables en charge du secteur prévoient ce déficit et pensent à organiser les recrutements avant le début de l'année scolaire.
          on est pas à une année une décennie ou même une génération prêt .....
          Tu changeras vite d'avis lorsque ton fils que tu envois chaque jour à l'école te dira "Cela fait trois mois que l'on ne fait rien parce qu'on a pas de prof" à l'école. Mais bon, c'est vrai qu'on s'en fout pour peu que les profs belges ne manquent pas.

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          • #6
            c'est dans la normale.
            Tu parles du nombre ? Ce n'est pas cela le souci. Il est celui de 11000 classes sans maitres(ses) à l'approche des vacances de fin d'année.

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            • #7
              Non. Que les responsables en charge du secteur prévoient ce déficit et pensent à organiser les recrutements avant le début de l'année scolaire.
              Ça ne résoudra rien car la pénurie de profs est criante dans le milieu rural et les endroits reculés ou ces profs ne veulent pas aller ......... au pire ; ils iront une année pour entrer dans le fonctionnariat. ... et ensuite ils demanderons leur mutation et iront grossir les rangs du pléthorique et si inefficace corps professoral des grandes villes .... et ça sera répartit pour un tour dans 2-3 ans .

              Nonnnnn ce qu'il faut d'abord ; c'est une campagne de licenciement massif dans le corps professoral ; et la ; tu peux être sur que ceux qui resteront prendront leur métier au sérieux ....... surtout si on leur propose des itinéraires de requalification pédagogique .


              Tu changeras vite d'avis lorsque ton fils que tu envois chaque jour à l'école te dira "Cela fait trois mois que l'on ne fait rien parce qu'on a pas de prof" à l'école.
              Ben je ferais comme beaucoup de familles au Maroc ; je le mettrais dans une école privée ..... je paierais pour qu'il ait un enseignement de qualité ; et je serrerai la ceinture sur les vacances ou les autres petits plaisir....

              Mais bon, c'est vrai qu'on s'en fout pour peu que les profs belges ne manquent pas.
              Si si ; il en manque ...... et je commence sérieusement à penser au privé ...........
              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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              • #8
                Salut Jawzia...Il serait plus judicieux de faire appel aux retraités et ne pas laisser les enfants sans prof ou avec un prof au four et au moulin.
                L'école est obligatoire; donc les services concernés ont l'obligation de faire de telle sorte que les enfants viennent en classes et nommer un contractuel: même à leur apprendre à jouer de la musique ou !!!apprendre à réfléchir.

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                • #9
                  Ça ne résoudra rien
                  Franchement Cell, cela ne te fais rien que 11000 classes (voir bien plus) se retrouvent en cette fin du mois de novembre sans maitres ? Oublie un moment ta marocanité et l'algériannité du posteur. Je me refuse de croire que tu sois aussi ... cruel.
                  car la pénurie de profs est criante dans le milieu rural et les endroits reculés ou ces profs ne veulent pas aller ......... au pire
                  Tu déplaces le sujet sur un autre terrain. Le MAroc est un vaste sujet qui dépasse l'enseignement. L'aborder, c'est le dérapage assuré. Restons en au sujet des classes sans profs.

                  Ben je ferais comme beaucoup de familles au Maroc ; je le mettrais dans une école privée .....
                  Je ne sais pas pourquoi j'ai de suite pensé à Marie Antoinette et son" s'il n'ont pas de pain donnez leur des brioches" !!!

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                  • #10
                    Le schizophrène ne peut en aucun cas être conscient du monde réel ( LE MONDE EXTERNE ),il vit toujours dans un monde imaginaire (LE MONDE EXTERNE )

                    1) Se sont des enseignant formées pour être enseignants dans des Centres régionaux des métiers de l’éducation et de la formation (CRMEF) .

                    2)Ils ne sont pas considérés comme fonctionnaires de l’état,et ils n'ont aucun statut.

                    3)Et de ce fait ne touche qu'une prime ( pour certains depuis des années) comme indemnité accordé a des enseignants stagiaires

                    4)Cette prime est égale a la moitié du SMIG soit 1.200 dhs

                    5) L’état veux les obliger a passer un concours avant la titularisation,ceux qui ne réussissent pas vont se retrouver en chômage avec un diplôme qui ne vaut pas un dirhams troué .

                    6) Si l’état a fait l'annonce de recruter d'office 11.000 ( sans concours ) c'est juste pour casser le mouvement de gréve



                    Une place dans le public, à tout prix!

                    Ils s’obstinent à revendiquer un recrutement automatique, sans concours
                    Pourtant, avec le déficit criant de profs, ils ont toutes les chances d’être engagés

                    Près du tiers des enseignants sont âgés d’au moins 50 ans. Entre 2018 et 2020, près de 32.000 partiront à la retraite. L’Education nationale devra recruter des profs par milliers. Dans son objectif d’évoluer vers une école de qualité, elle a choisi de n’en prendre que les plus performants, sélectionnés par concours. Pour les étudiants des CRMEF, qui manifestent depuis fin octobre, la pilule est dure à avaler, mais l’Etat ne fait pas marche arrière sur cette décision (Ph. Jarfi)

                    Un recrutement automatique dans la fonction publique et une revalorisation de la bourse d’études. Voilà ce que revendiquent les étudiants des Centres régionaux des métiers de l’éducation et de la formation (CRMEF) qui manifestent dans les rues depuis fin octobre dernier. Des images d’eux violentés par les forces de l’ordre ont ému et choqué. Mais leur activisme n’est pas sans rappeler celui des diplômés chômeurs en sit-in à longueur d’année devant le Parlement, réclamant une place dans l’administration. Sauf que là, il s’agit d’étudiant qui ont à peine démarré leur formation. Le public, qui n’assure que moins d’un emploi sur 10, frôle l’obsession aux yeux d’une grande partie des jeunes. Ces derniers sont prêts à tout pour y être employés.
                    De par le passé, les étudiants des CRMEF, sélectionnés à partir du niveau licence, accédaient effectivement de manière automatique au statut «d’enseignants stagiaires». Leur admission dans ces centres équivalait à un recrutement de fait, sans passer par un concours, après seulement une année de formation. Le déficit en enseignants poussait l’Etat à recruter à tour de bras. En effet, le nombre de licenciés des universités en sciences de l’éducation étant insuffisant (4.400 par an), l’Education nationale est obligée de prendre des licenciés de différentes disciplines, à qui elle offre une formation qualifiante express dans ses 15 CRMEF. C’est d’ailleurs ce qui a mené à une dégradation continue du niveau général des profs sur les dernières années. «Se sachant engagés d’office, les enseignants stagiaires fournissaient peu d’efforts. Nous étions dans un système de platitude totale», avait confié à L’Economiste le ministre de l’Education nationale, Rachid Benmokhtar.
                    En juillet dernier, deux décrets ont mis fin à cette situation. Le premier a imposé un concours préalable au recrutement, tandis que le deuxième a réduit la bourse offerte, la ramenant à 1.200 DH par mois sur un an. Un communiqué a été diffusé le 25 juillet dernier afin d’annoncer ces mesures. Les candidats pour l’année 2015-2016 ont en été avertis à plusieurs reprises, selon le ministère. Au moment de présenter leur candidature et durant les examens de septembre, écrit et oral. Les quelque 9.849 admis ont été informés une dernière fois de ces changements au moment de la signature du PV d’inscription. Les cours ont débuté le 12 octobre 2015. Deux semaines après, les manifestations ont commencé. Une fois dans les centres, les étudiants stagiaires tentent de forcer le bras au gouvernement pour revenir sur les deux décrets.
                    Pourtant, vu le manque criant de compétences dans le secteur, leur chances de décrocher un emploi sont à leur maximum, y compris dans le privé. Le déploiement de la vision 2015-2030 pour la réforme de l’enseignement nécessitera un nombre conséquent d’enseignants. «Nous recevons aussi énormément de demandes des pays du Golfe», assure Benmokhtar.
                    Voilà maintenant 3 mois du temps de la courte formation qui sont perdus. Le gouvernement a laissé entendre qu’il ne fera pas marche arrière sur la question. Les étudiants stagiaires, aussi, ne démordent pas de leur revendication. Un blocage dont l’école publique, avec tous ses travers, se serait bien passée!

                    Le secteur privé, très demandeur

                    «Nous pouvons faire appel à ces profils vu nos besoins. Leur formation est certes insuffisante, ils disposent à peine des B.A-BA du métier, mais nous pouvons les reformer en interne. C’est ce que nous faisons en général pour nos recrues», relève Abdellah Khamiss, président de l’Union de l’enseignement et de la formation libres au Maroc. Les lycées privés, par exemple, tournent presque exclusivement aujourd’hui avec des profs issus du public. «Si dans le primaire nous travaillons à 100% avec nos propres équipes, dans le collège, nos profs permanents représentent près de 60%, contre 2 à 3% dans les lycées». «Généralement, ces jeunes refusent de venir dans le privé car les exigence y sont plus élevées. Ils sont contrôlés et ils ont une obligation de résultats», soutient Khamiss. La tutelle a octroyé au privé un délai de grâce (rentrée 2017-2018) au-delà duquel il ne pourra plus faire appel aux profs du public (en 2014, près de 14.000 ont obtenu l’autorisation de donner des cours dans des écoles privées). Il aura donc besoin de recruter de plus en plus de ressources formées.

                    Ahlam NAZIH
                    "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                    • #11
                      Franchement Cell, cela ne te fais rien que 11000 classes (voir bien plus) se retrouvent en cette fin du mois de novembre sans maitres ?
                      Si si sincèrement ...... ça me.peine beaucoup .......

                      Mais tu sais ce qui me révolte, me révulse , et me donne des envies de meurtres ; c'est de penser au gâchis actuel et passe du secteur de l'enseignement au Maroc ; c'est de penser que des profs sont payès pour 6 à 8 heures de cours par jours ; de penser qu'on vas encore engager 11.000 personnes qu'on va transformer en des tires au flan qui n'apportent rien à leur élèves ......

                      Oublie un moment ta marocanité et l'algériannité du posteur. Je me refuse de croire que tu sois aussi ... cruel.
                      Oublié ........ et c'est pas une question de cruauté ; mais une question d'efficacité .......même si parfois malheureusement pour être efficace il faut savoir être cruel ( dans le sens managerial de la chose )

                      Tu déplaces le sujet sur un autre terrain.
                      Je ne déplace rie du tout .... Le sujet on est en plein dedans et ce que je t'ai explique est déjà arrivé et vas arriver à nouveau ....... car c'est le même discours qu'on entendait il y a une vingtaine d'année lorsqu'on a commencé à mettre à la prepension ( parfois à 47 ans ) les profs les plus expérimentés. ......... on engage on engage on engage. ...... et puis on se rend compte que les résultats sont toujours aussi mauvais

                      A un moment donné faut arrêter .

                      Quitte à avoir une secteur de l'enseignement sinistre .... autant qu'il ne coûte pas cher

                      Le MAroc est un vaste sujet qui dépasse l'enseignement. L'aborder, c'est le dérapage assuré. Restons en au sujet des classes sans profs.
                      J'y suis jawz j'y suis ......
                      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                      • #12
                        Si si sincèrement ...... ça me.peine beaucoup .......
                        J'en étais convaincu et c'est à ton honneur.

                        Pour les 11000 recrues qui auront la chance de réussir, ils n'auront qu'un CDD. C'est dire que ça va aller et venir et l'instabilité du secteur permanente.

                        Commentaire


                        • #13
                          Pour les 11000 recrues qui auront la chance de réussir, ils n'auront qu'un CDD.
                          C'est une info que je n'avais pas .........

                          C'est dire que ça va aller et venir et l'instabilité du secteur permanente.
                          Tant mieux ...... là securite de l'emploi est l'antithème de lâ motivation et de l'efficacité ...... sans compter que la statutarisation des profs grève le budget de l'état ....

                          Reste alors les fondements pédagogique et les orientations stratégiques du secteur de l'enseignement ( du primaire au supérieur ) qu'il faut revoir de fonds en comble ..... Mais ça c'est un autre sujet
                          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                          • #14
                            Oublie un moment ta marocanité et l'algériannité du posteur. Je me refuse de croire que tu sois aussi ... cruel.

                            Jawzia
                            Za3ma toi ça te fait de la peine ? A d'autres.

                            Quant il y a un manque tu critiques , quand le Maroc embauche tu trouves à redire ( Le CDD existe même en France avec les vacataires).

                            A croire que chez toi il ne sort que des Einstein.

                            Malgré les gigantesques pétrodinars investit , l’école algérienne est aussi sinistrée que l’école marocaine (cf mahzala du bac)et encore plus au niveau universitaire ou l’Algérie est toujours classée derrière les universités marocaines et tunisiennes.

                            Toi l'adepte des stats tu peux vérifier .

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