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Plus de 20.000 hommes battus au Maroc
C’est un sujet tabou sur lequel les hommes ont beaucoup de mal à parler, pourtant il existe bien au Maroc et touche plusieurs milliers de personnes par an.
D’après des données fournies par Abdelfattah Bahjaji, président du Réseau marocain pour la défense des droits de l’Homme, plus de 20.000 hommes victimes de violence conjugale ont été recensés par son association depuis 2008. Pourtant ces chiffres seraient loin de la réalité sur le terrain, affirme-t-il au journal Aujourd’hui le Maroc.
« Bon nombre d’hommes violentés n’osent pas témoigner. Le souci de leur image les empêche de dénoncer ces violences », explique-t-il, déplorant que son association n’a même pas de local pour les accueillir et qu’elle se voit obligée de le faire dans les maisons dédiées aux jeunes.
Selon le responsable associatif, 20 à 25% des cas de violence qui sont signalés à son association sont physiques. Il cite par exemple le cas d’un homme qui a été agressé à coups de bâton par sa femme et sa belle-mère avant qu’il ne soit mis à la porte.
Les violences sexuelles ne sont pas en reste puisque Abdelfattah Bahjaji fait part d’une femme qui a licencié son employé car ce dernier a refusé d’avoir des relations sexuelles avec elle.
bladi
C’est un sujet tabou sur lequel les hommes ont beaucoup de mal à parler, pourtant il existe bien au Maroc et touche plusieurs milliers de personnes par an.
D’après des données fournies par Abdelfattah Bahjaji, président du Réseau marocain pour la défense des droits de l’Homme, plus de 20.000 hommes victimes de violence conjugale ont été recensés par son association depuis 2008. Pourtant ces chiffres seraient loin de la réalité sur le terrain, affirme-t-il au journal Aujourd’hui le Maroc.
« Bon nombre d’hommes violentés n’osent pas témoigner. Le souci de leur image les empêche de dénoncer ces violences », explique-t-il, déplorant que son association n’a même pas de local pour les accueillir et qu’elle se voit obligée de le faire dans les maisons dédiées aux jeunes.
Selon le responsable associatif, 20 à 25% des cas de violence qui sont signalés à son association sont physiques. Il cite par exemple le cas d’un homme qui a été agressé à coups de bâton par sa femme et sa belle-mère avant qu’il ne soit mis à la porte.
Les violences sexuelles ne sont pas en reste puisque Abdelfattah Bahjaji fait part d’une femme qui a licencié son employé car ce dernier a refusé d’avoir des relations sexuelles avec elle.
bladi
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