Emmanuel Macron, candidat à la présidentielle en France, évoque des effets positifs de la colonisation de l’Algérie. Un pan de l’histoire dans lequel « il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie » d’après l’ancien ministre de l’Économie français, a-t-il dit dans un entretien au magazine Le Point, publié ce mercredi.
Interrogé sur son idée d’un « Roman national » de la France, Emmanuel Macron estime que pour écrire cette histoire le pays doit revenir sur des passages « moins glorieux » de son passé.
« Alors oui… en Algérie il y a eu la torture mais aussi l’émergence d’un État, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie », a répondu Emmanuel Macron, fondateur du mouvement En Marche.
Le candidat à la présidentielle française reconnait certes les exactions et la torture commises par la France coloniale mais estime que cet épisode a également permis de développer l’Algérie.
Ces propos qui rappellent ceux de l’ancien premier ministre François Fillon, candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle, qui, en septembre dernier, avait comparé la colonisation française à « un partage de culture ».
La réflexion d’Emmanuel Macron a interpellé les internautes en France comme en Algérie, étonnés d’une telle réponse.
tsa
Interrogé sur son idée d’un « Roman national » de la France, Emmanuel Macron estime que pour écrire cette histoire le pays doit revenir sur des passages « moins glorieux » de son passé.
« Alors oui… en Algérie il y a eu la torture mais aussi l’émergence d’un État, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie », a répondu Emmanuel Macron, fondateur du mouvement En Marche.
Le candidat à la présidentielle française reconnait certes les exactions et la torture commises par la France coloniale mais estime que cet épisode a également permis de développer l’Algérie.
Ces propos qui rappellent ceux de l’ancien premier ministre François Fillon, candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle, qui, en septembre dernier, avait comparé la colonisation française à « un partage de culture ».
La réflexion d’Emmanuel Macron a interpellé les internautes en France comme en Algérie, étonnés d’une telle réponse.
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