Ould Abbès aux militants du FLN : « Votre seul tuteur est le Moudjahid Abdelaziz Bouteflika »
Djamel Ould Abbès persiste et signe : ceux qui veulent se présenter aux prochaines élections législatives ne doivent pas compter sur la chkara et donc sur l’argent sale. « Je veux dire aux femmes de ne pas avoir peur de la chakara. Je suis un anti-chkara ! La garantie (qu’on peut donner) aux jeunes filles, c’est le Secrétaire général du parti », a assuré le patron du FLN en marge d’une rencontre avec les élues du parti organisée à l’hôtel Aurassi à Alger.
Djamel Ould Abbès a affirmé que nul ne pourra se présenter aux élections s’il n’est pas porté par la base. « Être mouhafidh, membre du comité central ou membre du bureau politique ne permet pas de devenir candidat. Celui qui veut se présenter doit revenir vers la base. On n’a pas de super militants ! Le FLN est l’Algérie profonde et non l’Algérie des salons. Je veille sur le respect de la volonté des militants », insiste le Secrétaire général du FLN.
« Personne ne peut être votre responsable ou votre tuteur. Votre seul responsable et tuteur est le président de la République, le moudjahid Abdelaziz Bouteflika », a-t-il assuré dans son discours, en ajoutant qu’il compte rencontrer chaque jour des mouhafidhs de six wilayas dans le cadre de la préparation des législatives. « Les instructions sont strictes et claires : tout viendra de la base », répète-t-il.
S’exprimant au sujet du projet de Loi de finances 2017 adoptée hier par l’APN, le patron du FLN a assuré que son parti « défend l’Algérie profonde et particulièrement les catégories fragiles depuis 1954 ». Interrogé sur l’initiative lancée par son prédécesseur concernant le front de soutien au président, M. Ould Abbès a indiqué qu’il travaillait « sur la base du message du Président concernant la construction d’un front interne puissant pour protéger le pays ».
Par Hadjer Guenanfa
TSA
Djamel Ould Abbès persiste et signe : ceux qui veulent se présenter aux prochaines élections législatives ne doivent pas compter sur la chkara et donc sur l’argent sale. « Je veux dire aux femmes de ne pas avoir peur de la chakara. Je suis un anti-chkara ! La garantie (qu’on peut donner) aux jeunes filles, c’est le Secrétaire général du parti », a assuré le patron du FLN en marge d’une rencontre avec les élues du parti organisée à l’hôtel Aurassi à Alger.
Djamel Ould Abbès a affirmé que nul ne pourra se présenter aux élections s’il n’est pas porté par la base. « Être mouhafidh, membre du comité central ou membre du bureau politique ne permet pas de devenir candidat. Celui qui veut se présenter doit revenir vers la base. On n’a pas de super militants ! Le FLN est l’Algérie profonde et non l’Algérie des salons. Je veille sur le respect de la volonté des militants », insiste le Secrétaire général du FLN.
Djamel Ould Abbes n’écarte pas une candidature de Bouteflika en 2019
Djamel Ould Abbes, n’écarte pas une candidature du président Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat en 2019. Ce samedi 29 octobre, le nouveau secrétaire général du FLN, a réaffirmé qu’il était « évident que le parti désigne son président (Bouteflika) comme candidat à la présidentielle de 2019, si ce dernier consent », rapporte l’agence APS qui cite une déclaration faite en marge de sa participation à l’ouverture du congrès du Mouvement de l’édification nationale.
Contacté par TSA, le nouveau secrétaire général du FLN rappelle qu’il est « tout à fait traditionnel et normal, comme cela s’est fait par le passé, que le parti désigne son premier responsable comme candidat ». « Il est tout à fait évident que le FLN le désigne comme candidat si lui accepte », assure notre interlocuteur.
« La décision lui revient à lui », tranche-t-il. Selon lui, le plus important en ce moment ce sont les législatives de 2017. « La stabilité du pays est tributaire pour beaucoup de la stabilité du FLN, la force politique numéro un. Il faut stabiliser le parti et c’est ma mission », précise Djamel Ould Abbes qui continue à rencontrer les contestataires de l’ancienne direction en vue de réunifier les rangs du parti.
Par Hadjer Guenanfa
Djamel Ould Abbes, n’écarte pas une candidature du président Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat en 2019. Ce samedi 29 octobre, le nouveau secrétaire général du FLN, a réaffirmé qu’il était « évident que le parti désigne son président (Bouteflika) comme candidat à la présidentielle de 2019, si ce dernier consent », rapporte l’agence APS qui cite une déclaration faite en marge de sa participation à l’ouverture du congrès du Mouvement de l’édification nationale.
Contacté par TSA, le nouveau secrétaire général du FLN rappelle qu’il est « tout à fait traditionnel et normal, comme cela s’est fait par le passé, que le parti désigne son premier responsable comme candidat ». « Il est tout à fait évident que le FLN le désigne comme candidat si lui accepte », assure notre interlocuteur.
« La décision lui revient à lui », tranche-t-il. Selon lui, le plus important en ce moment ce sont les législatives de 2017. « La stabilité du pays est tributaire pour beaucoup de la stabilité du FLN, la force politique numéro un. Il faut stabiliser le parti et c’est ma mission », précise Djamel Ould Abbes qui continue à rencontrer les contestataires de l’ancienne direction en vue de réunifier les rangs du parti.
Par Hadjer Guenanfa
S’exprimant au sujet du projet de Loi de finances 2017 adoptée hier par l’APN, le patron du FLN a assuré que son parti « défend l’Algérie profonde et particulièrement les catégories fragiles depuis 1954 ». Interrogé sur l’initiative lancée par son prédécesseur concernant le front de soutien au président, M. Ould Abbès a indiqué qu’il travaillait « sur la base du message du Président concernant la construction d’un front interne puissant pour protéger le pays ».
Par Hadjer Guenanfa
TSA
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