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Ould Abbès : Je suis un anti-chkara

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  • Ould Abbès : Je suis un anti-chkara

    Ould Abbès aux militants du FLN : « Votre seul tuteur est le Moudjahid Abdelaziz Bouteflika »
    Djamel Ould Abbès persiste et signe : ceux qui veulent se présenter aux prochaines élections législatives ne doivent pas compter sur la chkara et donc sur l’argent sale. « Je veux dire aux femmes de ne pas avoir peur de la chakara. Je suis un anti-chkara ! La garantie (qu’on peut donner) aux jeunes filles, c’est le Secrétaire général du parti », a assuré le patron du FLN en marge d’une rencontre avec les élues du parti organisée à l’hôtel Aurassi à Alger.

    Djamel Ould Abbès a affirmé que nul ne pourra se présenter aux élections s’il n’est pas porté par la base. « Être mouhafidh, membre du comité central ou membre du bureau politique ne permet pas de devenir candidat. Celui qui veut se présenter doit revenir vers la base. On n’a pas de super militants ! Le FLN est l’Algérie profonde et non l’Algérie des salons. Je veille sur le respect de la volonté des militants », insiste le Secrétaire général du FLN.

    Djamel Ould Abbes n’écarte pas une candidature de Bouteflika en 2019
    Djamel Ould Abbes, n’écarte pas une candidature du président Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat en 2019. Ce samedi 29 octobre, le nouveau secrétaire général du FLN, a réaffirmé qu’il était « évident que le parti désigne son président (Bouteflika) comme candidat à la présidentielle de 2019, si ce dernier consent », rapporte l’agence APS qui cite une déclaration faite en marge de sa participation à l’ouverture du congrès du Mouvement de l’édification nationale.
    Contacté par TSA, le nouveau secrétaire général du FLN rappelle qu’il est « tout à fait traditionnel et normal, comme cela s’est fait par le passé, que le parti désigne son premier responsable comme candidat ». « Il est tout à fait évident que le FLN le désigne comme candidat si lui accepte », assure notre interlocuteur.

    « La décision lui revient à lui », tranche-t-il. Selon lui, le plus important en ce moment ce sont les législatives de 2017. « La stabilité du pays est tributaire pour beaucoup de la stabilité du FLN, la force politique numéro un. Il faut stabiliser le parti et c’est ma mission », précise Djamel Ould Abbes qui continue à rencontrer les contestataires de l’ancienne direction en vue de réunifier les rangs du parti.
    Par Hadjer Guenanfa
    « Personne ne peut être votre responsable ou votre tuteur. Votre seul responsable et tuteur est le président de la République, le moudjahid Abdelaziz Bouteflika », a-t-il assuré dans son discours, en ajoutant qu’il compte rencontrer chaque jour des mouhafidhs de six wilayas dans le cadre de la préparation des législatives. « Les instructions sont strictes et claires : tout viendra de la base », répète-t-il.

    S’exprimant au sujet du projet de Loi de finances 2017 adoptée hier par l’APN, le patron du FLN a assuré que son parti « défend l’Algérie profonde et particulièrement les catégories fragiles depuis 1954 ». Interrogé sur l’initiative lancée par son prédécesseur concernant le front de soutien au président, M. Ould Abbès a indiqué qu’il travaillait « sur la base du message du Président concernant la construction d’un front interne puissant pour protéger le pays ».
    Par Hadjer Guenanfa
    TSA
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Ould Abbès a répété que la «chkara» au FLN c’est terminé

    Le nouveau secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès reste droit dans ses bottes. La «Chkara» (le sachet bourré de fric) ne permettra plus jamais aux aspirants à la députation de se faire adouber par la direction du parti. Il l'a une nouvelle fois rappelé aujourd’hui à l’occasion d’une rencontre avec les élues du parti organisée à l’hôtel Aurassi, à Alger. «Je veux dire aux femmes de ne pas avoir peur de la «chkara». Je suis un anti-chkara ! Je suis votre garantie en tant que secrétaire général», a lancé Ould Abbés, visiblement conforté par le président du parti, Abdelaziz Bouteflika.

    En effet, l’homme paraissait si sûr de lui-même qu’il a usé d’un ton décisif. «Personne ne peut être votre responsable ou votre tuteur. Votre seul responsable et tuteur est le président de la République, le moudjahid Abdelaziz Bouteflika», a-t-il dit dans son discours devant les élues du parti.

    A force de se répéter sur le sujet, il semble clair que l’on ait décidé, en haut lieu de couper la route aux amateurs de l’argent sale qui se payent des strapontins à l’Assemblée populaire nationale. Une pratique malsaine de la corruption politique qui a prospéré depuis l’ère d’Abdelaziz Belkhadem et les milliardaires auxquels il a ouvert les portes du parti.

    C’est apparemment la fin de cette dérive, puisque Djamel Ould Abbés l’a répété aujourd’hui que «Les instructions sont strictes et claires : tout viendra de la base». Et d’ajouter : «Ceux qui veulent se présenter aux prochaines élections législatives ne doivent pas compter sur la chkara et donc sur l’argent sale», a-t-il tranché.

    Exit donc tous les rapaces qui n’ont rien à voir avec le FLN et qui s’en rapprochent comme des corbeaux à la veille de chaque scrutin pour piquer du nez dans la marmite et disqualifier des militants sincères de la base.

    Place à la base

    Le chef du FLN a même promis de mettre la pression quitte à recevoir tous les jours des Mouhafeds pour leur donner les consignes et leur dicter la conduite à tenir. Les militantes et les militants qui brillent par leur activisme doivent-ils prendre pour argent comptant la promesse de Djamel Ould Abbès de mettre fin à l’achat des places sur les listes ? On le vérifiera au mois d’avril prochain.

    Par ailleurs, le nouveau patron du parti du front de libération nationale semblait prendre ses distances avec les éléments de langage de son prédécesseur Amar Saâdani. «Je travaille sur la base du message du Président concernant la construction d’un front interne puissant pour protéger le pays, a-t-il répliqué à une question sur la fameuse «initiative de construction d’un mur national de soutien au président». Comprendre : le mur de Saâdani est brisé au profit d’un front qui serait plus large et plus mobilisateur.
    Par Amel Benabi
    Dernière modification par katiaret, 24 novembre 2016, 01h10.
    dz(0000/1111)dz

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    • #3
      Ould Abbès : Je suis un anti-chkara
      Plus il le réclame fort plus j'ai de sérieux doutes.
      Il a par le passé une prise de position qui corrobore ce qui prétend lutter contre avant sa cooptation par notre petit prince chef de parti ou l'approche des élections le fait débiter des promesses à la pelle qui n'engagent que ceux qui les gobent !

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      • #4
        Ould Abbès : Je suis un anti-chkara
        Quoi que tu fasses on te mettra dans une chkara et t'enterrera sous des tonnes de terre, comme tous et chacun.

        Djamel Ould Abbes n’écarte pas une candidature de Bouteflika en 2019
        De la démence.
        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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        • #5
          Encore une histoire de fakakirs

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          • #6
            Ould Abbès a répété que la «chkara» au FLN c’est terminé
            Un aveu tacite de l’existence de la « chakara », même quand le FLN portait la moustache des apparences et de la duperie nationaliste !
            "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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            • #7
              Djamel Ould Abbes n’écarte pas une candidature de Bouteflika en 2019
              Pourquoi pas ! nous sommes en Algérie, et la constitution n'est comme même pas un livre saint révélé !!! et puis l’Algérie est l’épouse de Bouteflika, selon Sellal lors du 4e mandat, et ce n'est pas une banale constitution qui va détruire ce mariage et ce couple lié pour la vie !

              "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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              • #8
                Un aveu tacite de l’existence de la « chakara », même quand le FLN portait la moustache des apparences et de la duperie nationaliste !
                Du temps des hommes qui aimaient l'Algérie pour ce qu'elle était et pour l'avenir de leur enfants, servir était un honneur.

                Pour être membre du FLN ou détenir une responsabilité au sein de l'état, il convenait de satisfaire aux exigences de l'article 120 .

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                • #9
                  Du temps des hommes qui aimaient l'Algérie pour ce qu'elle était et pour l'avenir de leur enfants, servir était un honneur.

                  Pour être membre du FLN ou détenir une responsabilité au sein de l'état, il convenait de satisfaire aux exigences de l'article 120 .
                  Mais se sont les mêmes Highlanders et leurs progénitures qui nous emmerdent depuis 1962 !
                  "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

                  Commentaire


                  • #10
                    Mais se sont les mêmes Highlanders et leurs progénitures qui nous emmerdent depuis 1962 !

                    En apparence et pour ceux qui cachent le soleil avec un kherbal !

                    Le FLN n'a jamais eu de rôle déterminant depuis BOUMEDIENE , j'en parle avec connaissance.

                    Le pouvoir actuel est le résultat de la domination des DAF et de l'ingérence de FAFA qui n'a jamais été aussi puissante.

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                    • #11
                      Le FLN n'a jamais eu de rôle déterminant depuis BOUMEDIENE , j'en parle avec connaissance.
                      et portant il s’adapte a des nouvelle situation
                      dz(0000/1111)dz

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                      • #12
                        Accrochage entre le chef du groupe du FLN et le président de l’APN

                        C’est une scène inédite qui s’est déroulée, mardi 29 novembre, au sein de l’hémicycle Zighout Youcef entre deux membres de la majorité parlementaire. Lors d’une séance plénière consacrée à l’examen du projet de loi sur la sécurité routière, le chef du groupe du FLN, Mohamed Djemei demande la parole pour introduire un point d’ordre.

                        Demande accordée par le président de l’Assemblée populaire nationale (APN). Le député a tenu alors à affirmer que tous les élus du FLN restent fidèles au président de la République et qu’ils soutiennent tous les projets de loi du gouvernement, relate à TSA un député présent dans l’hémicycle. Le président de l’APN l’interrompe pour lui préciser qu’il ne s’agit pas d’un point d’ordre.


                        « Mohamed Larbi Ould Khelifa lui a rappelé qu’il ne s’agissait pas d’un point d’ordre. Ce qui n’est pas faux. Il lui a coupé la parole et lui a dit qu’il refusait de l’inscrire au PV en tant que tel », assure notre source. Un point d’ordre est introduit quand un député ou un groupe parlementaire constate une violation de procédure ou un problème de forme lors d’une séance plénière.

                        Mohamed Djemei proteste avant d’envoyer un message écrit sur un bout de papier à Mohamed Larbi Ould Khelifa. Ce dernier déchire le papier « de manière ostentatoire », selon le député. Le chef du groupe du FLN et quelques députés quittent l’hémicycle avant de revenir quelques temps plus tard. « On connaît pas le contenu de ce message », précise notre source.

                        TSA

                        Dernière modification par katiaret, 03 décembre 2016, 13h03.
                        dz(0000/1111)dz

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                        • #13
                          Le FLN est l’Algérie profonde et non l’Algérie des salons. Je veille sur le respect de la volonté des militants », insiste le Secrétaire général du FLN.
                          Djamel Ould Abbès reprend une expression du véridique Moudjahid Mohand Ouldhadj Merci de l'avoir rappelé
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • #14
                            Envoyé par khore
                            Pour être membre du FLN ou détenir une responsabilité au sein de l'état, il convenait de satisfaire aux exigences de l'article 120 .
                            je ne suis pas sûr que tu comprennes ce que cela veut dire !!

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                            • #15
                              ourquoi Iarticle 120? Comment a-t-il été appliqué ? Lire la suite du rapport du regretté Taleb Abderrahim en pdf : http://aan.mmsh.univ-aix.fr/Pdf/AAN-1982-21_36.pdf
                              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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