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Larbi Amine - publié le Mercredi 23 Novembre à 10:35 -Lemag.ma
New York : Selon le Think Tank américain, l’Algérie, malgré sa richesse en pétrodollars, a du mal à intéresser les investisseurs chinois. Point sur lequel le Maroc va à exceller.
Pour la Chine, l’Algérie est une grosse entité africaine, très riche en ressources naturelles et très pauvre en compétences humaines. Un pays où les entreprises chinoises commercialisent massivement leurs produits, arrachent des contrats publics et les exécutent en faisant appel à la main-d’œuvre chinoise, tellement l’algérienne est caractérisée d’incapacités. La Chine est ainsi, et depuis 2014, le plus gros fournisseur des marchés algériens, en y assurant plus de 14% des importations.
Par contre, les investissements directs chinois en Algérie sont très limités. Ils ne représentent pas plus de 0,3% des IDE chinois à l'étranger et pas plus de 6% des leurs en Afrique.
Donc, cette relation économique entre la Chine et l’Algérie, est un sens unique, au seul profit de la première. Cela parait compréhensible vu, l’état très dégradé de l’environnement des affaires en Algérie, lequel est anéanti par des législations d’un autre âge, une bureaucratie très corrompue et une gestion économique et politique du pays, calamiteuse.
Dans ce sens, indique le Think Tank américain, ‘Carnegie Middle Esat Center’, l’Algérie devrait travailler à inverser cette situation en copiant le modèle le plus réussi en Afrique, en matière d’attraction des IDE, y compris chinois: Celui du Maroc.
Carnegie a pointé du doigt les mesures archaïques que s’inflige l’Algérie et qui font révulser les investisseurs, comme les règles restrictives sur la possession de capitaux, la difficulté de rapatriement des dividendes ou tout simplement le régime de visas totalement injustifié qu’impose l’Algérie, aux investisseurs étrangers pour entrer dans le pays.
Par la suite, Carnegie a indiqué que si le régime d’Alger voulait attirer des IDE en général et les chinois en particulier, celui-ci devrait prendre exemple sur le Maroc où,
New York : Selon le Think Tank américain, l’Algérie, malgré sa richesse en pétrodollars, a du mal à intéresser les investisseurs chinois. Point sur lequel le Maroc va à exceller.
Pour la Chine, l’Algérie est une grosse entité africaine, très riche en ressources naturelles et très pauvre en compétences humaines. Un pays où les entreprises chinoises commercialisent massivement leurs produits, arrachent des contrats publics et les exécutent en faisant appel à la main-d’œuvre chinoise, tellement l’algérienne est caractérisée d’incapacités. La Chine est ainsi, et depuis 2014, le plus gros fournisseur des marchés algériens, en y assurant plus de 14% des importations.
Par contre, les investissements directs chinois en Algérie sont très limités. Ils ne représentent pas plus de 0,3% des IDE chinois à l'étranger et pas plus de 6% des leurs en Afrique.
Donc, cette relation économique entre la Chine et l’Algérie, est un sens unique, au seul profit de la première. Cela parait compréhensible vu, l’état très dégradé de l’environnement des affaires en Algérie, lequel est anéanti par des législations d’un autre âge, une bureaucratie très corrompue et une gestion économique et politique du pays, calamiteuse.
Dans ce sens, indique le Think Tank américain, ‘Carnegie Middle Esat Center’, l’Algérie devrait travailler à inverser cette situation en copiant le modèle le plus réussi en Afrique, en matière d’attraction des IDE, y compris chinois: Celui du Maroc.
Carnegie a pointé du doigt les mesures archaïques que s’inflige l’Algérie et qui font révulser les investisseurs, comme les règles restrictives sur la possession de capitaux, la difficulté de rapatriement des dividendes ou tout simplement le régime de visas totalement injustifié qu’impose l’Algérie, aux investisseurs étrangers pour entrer dans le pays.
Par la suite, Carnegie a indiqué que si le régime d’Alger voulait attirer des IDE en général et les chinois en particulier, celui-ci devrait prendre exemple sur le Maroc où,
‘‘les autorités ont récemment retiré l' obligation de visa pour les ressortissants chinois investisseurs compris, laquelle mesure a immédiatement eu de l’effet en stimulant le nombre de touristes et d’investisseurs chinois dans le royaume.’’
Carnegie a indiqué en fin, que la Chine vise une plus profonde et plus forte présence en Afrique. Elle cherche le soutien politique du continent au niveau international et un meilleur accès aux marchés africains ainsi que de nouvelles destinations d'exportation. Et à ce niveau, seuls les pays sachant être concurrentiels, y gagneront à cette nouvelle opportunité chinoise.
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