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Sa survie en dépend : l’Algérie court après un pétrole à 50 dollars !

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  • Sa survie en dépend : l’Algérie court après un pétrole à 50 dollars !


    En sa qualité de présidente de la commission technique de régulation de la production de l’OPEP, créée lors de la réunion informelle d’Alger, l’Algérie intensifie son activité afin de définir les mécanismes de réduction de la production de chaque pays membre de l’organisation.

    Après avoir pris part à la réunion du Qatar, le ministre de l’Énergie, Noureddine Bouterfa, s’est envolé, à Téhéran afin de négocier avec son homologue iranien, les modalités du maintien de la production iranienne à des moyens "acceptables", qui ne fâcheraient pas la partie saoudienne.
    C’est dire que la mission n’est guère aisée, vu que les Iraniens s’estiment lésés de ne pas pouvoir augmenter leur production de 300 000 baril/jours.
    Surtout qu'ils viennent à peine de revenir sur le marché international après les sanctions décidées en 2012 à leur encontre.

    Par ailleurs pour maintenir dans un niveau haussier le cours, l'Opep a ainsi proposé aux pays exportateurs non membres du cartel de réduire leur production de 500.000 barils par jour, a indiqué jeudi le ministre russe de l'Energie Alexandre Novak.
    La rencontre capitale à Vienne le 30 novembre concrétisera, espère-t-on au sein de l'Opep, la décision prise à Alger de réduire la production à des niveaux de 32,5 à 33 millions de barils\jour.
    Des niveaux qui permettraient de maintenir les prix du pétrole aux alentours de 50 dollars, souhaité par la partie algérienne, qui avait "parié" sur ce prix afin d’élaborer sa loi de finances de 2017.

    Pour l’heure, l’optimisme entourant ce processus marathonien de négociations semble doper le prix du baril, puisque son cours s’établissait jeudi aux alentours de 50$.
    Des experts, parlent, en revanche, d’une réponse haussière qui ne peut se maintenir, puisque le surplus de production, qui est actuellement de deux millions de barils/jours, nécessitera au moins un semestre pour être résorbé.
    Ce qui implique forcément un prix en dessous des 45$, du moins pour les six premiers mois de l’année 2017.
    Aux Algériens de croiser les doigts, avant de se les bouffer si ces prévisions pessimistes se concrétisent.
    Le Matin DZ

    Vers 09H15 GMT ce matin
    Le Cours du pétrole Brent en dollars: 48.54 $ (-0.46 0.94% )

  • #2
    Je pense que l'Iran sera raisonnable et acceptera les conclusions d'Alger.
    C'est vrai qu'ici sur FA certains se focalise sur l’Algérie pas la peine d'expliquer le pourquoi,mais si une guerre des prix repart les plus grand perdant seront l'AS et l'Iran,surtout que ce dernier est dans le collimateur de Trump.

    Donc je suis optimiste,cela ne me rassure pas sur la suite,car si Trump en plus des sanctions actuelles en rajoute encore et se met a racketter l'AS pour lui faire payer sa protection,les tensions ne seront plus sur le prix du pétrole mais bien plus grave.

    C'est vrai que le volet économique doit inquiéter certains pays producteur,le volet politique aussi doit les inquiéter encore plus et surtout doit leurs faire prendre conscience que l'unité peut des fois être plus utiles que les parts de marchés.

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    • #3

      L’Arabie saoudite a décidé ce vendredi de ne pas prendre part à la réunion entre les pays de l’Opep et les producteurs non-membres, le 27 novembre à Vienne, pour débattre de la réduction de la production de brut, rapportent plusieurs médias. « Il y a une lettre officielle (de l’Arabie saoudite) qui explique qu’elle ne participera pas à la réunion parce que les ministres doivent se mettre d’accord sur une réduction (de la production) et ensuite présenter l’accord aux pays non-Opep », selon l’agence Reuters, citant des sources au cartel pétrolier.

      La décision de l’Arabie saoudite illustre les tensions au sein de l’Opep au sujet de la réduction de la production de pétrole.
      Vendredi, les prix du Brent ont repris leur courbe descendante, pour chuter de 3% à 47,38 dollars (18h00), après plus d’une semaine de hausse, tout en restant juste au dessous de 50 dollars.
      Les pays de l’Opep se rencontreront mercredi 30 novembre à Vienne pour discuter d’une réduction de 3% à 4% de la production de pétrole.

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      • #4
        L’Arabie saoudite a décidé ce vendredi de ne pas prendre part à la réunion entre les pays de l’Opep et les producteurs non-membres
        les prix du pétrole se sont effondrés à l'instant -4.5%

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        • #5
          L'Arabie Saoudite n'a aucun intérêt que les prix remontent car ils favoriseront les pétrole de schiste.

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