Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les maladies non transmissibles à l’origine de 60 % des décès chez les Algériens

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Les maladies non transmissibles à l’origine de 60 % des décès chez les Algériens

    Et le dépistage reste le moyen et le seul moyen de prévention…Malheureusement, cette mentalité ou cette culture n’existe pas encore chez nous…donc avant tout, il faut informer et sensibiliser....

    =
    Le dépistage reste, selon le directeur de la prévention, la seule arme pour lutter contre ces maladies. Plus tôt le dépistage est fait, plus la charge thérapeutique est moins conséquente. Le nombre des décès causé par les maladies non transmissibles (MNT) est évalué à 60 %, alors que celui des maladies transmissibles (MT) est de 30 %, a déclaré, hier, le directeur de la prévention au ministère de la Santé, le Dr Ouahdi, en marge du séminaire atelier de formation sur le rôle du médecin généraliste des unités de soins de base de la région sanitaire centre et sur la prévention et la lutte intégrée contre les MNT qui se tient jusqu’à demain à l’Institut Pasteur de Sidi Fredj, à Alger.
    Selon le Dr Ouahdi, l’objectif de ces journées de formation est d’intégrer la prise en charge des MNT au niveau des unités de soins de base. Ce séminaire permettra de former des médecins généralistes sur la prévention, le dépistage et la prise en charge des MNT au sein des unités de soins de base du réseau centre.

    Il permettra également d’identifier les facteurs de risques, de les surveiller et de faire le diagnostic des MNT prévalentes (diabète, MCV et asthme). Selon le Dr Ouahdi, les résultats attendus de ce séminaire sont la mise en œuvre des stratégies pour la réduction des facteurs de risques en unités de soins de base qui sont le premier maillon dans l’intervention sanitaire pour réduire la morbidité et la mortalité liées aux MNT, l’application des recommandations concernant les programmes nationaux, l’application des stratégies d’information, d’éducation et de communication interactive en matière de mode de vie sain, et surtout la coordination de la prise en charge avec le niveau d’intervention supérieur dans le cadre de prises en charge multidisciplinaires.

    Il convient de signaler que les données épidémiologiques en matière de MNT sont moins disponibles et précises que pour les MT. Cela est, d’une part, dû au fait que le système de déclaration obligatoire n’est pas appliqué à ces maladies et, d’autre part, à l’intérêt relativement récent accordé à ces pathologies.

    En raison de la chronicité, de la gravité de leurs complications et des moyens très importants qui doivent être mis en œuvre, ces maladies restent toujours coûteuses, non seulement pour le malade et sa famille mais aussi pour les pouvoirs publics.

    Cette formation qui cible les médecins généralistes s’inscrit dans le projet de mise en place du programme national de lutte contre les MNT, avec l’appui de l’OMS, et vise à améliorer la capacité du personnel de santé à prendre en charge et à renforcer les soins de santé destinés aux malades atteints de maladies chroniques.

    La formation sera assurée par des experts cardiologues, diabétologues, pneumo-phtisiologues, internistes, nutritionnistes et en médecine préventive où trois ateliers sont inscrits dans les pathologies ciblées par le programme, à savoir la HTA, le diabète et les maladies respiratoires.

    Le dépistage reste, selon le directeur de la prévention, la seule arme pour lutter contre ces maladies.

    - Le Jeune Independant

  • #2
    c'est vrai que les généraliste du bled et ceux d'ici ne travaillent pas la meme façon, j'ai consulté ici en france, et le médecin m'a posé une multitude de question sur mes antécédants familiaux, ce que je trouve domage c'est qu'au bled on pose jamais ce genre de question.

    Commentaire

    Chargement...
    X