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Sommet afro-arabe: Le Maroc «regrette» la position du Koweït
Le royaume estime que le Koweït, en sa qualité de président de session du côté arabe, aurait pu demander l’expulsion des représentants du Polisario lors de ce sommet.
Le Maroc a exprimé ses « remerciements » envers l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Qatar, le Bahreïn, la Jordanie, Oman, le Yémen et la Somalie qui ont tous boycotté le 4e sommet arabo-africain, tenu le 24 novembre à Malabo, en raison de la présence du Polisario, rapporte un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
Dans ce même communiqué, le Maroc déplore « la position du Koweït sur cette question de principe ». Ca pays, qui était le « président de session du côté arabe » lors de ce sommet, n’a pas imposé le respect des règles ce sommet selon la diplomatie marocaine. En effet, les sommets afro-arabes ne concernent que les pays membres de l’ONU, ce qui signifie que les représentants de l’autoproclamée RASD n’auraient pas dû y participer. Le Maroc insiste néanmoins sur le fait qu’il « continuera son implication dans tout partenariat institutionnel touchant au continent africain », notamment au sein de l’Union africaine où il compte « mobiliser la famille africaine autour des véritables défis relatifs à la dignité, la sécurité et la promotion des conditions de vie du citoyen africain
Lors de cette édition du sommet afro-arabe, les pays du Golfe avaient promis à l’Afrique un milliard de dollars d’ici 2018 dans le cadre du Fonds koweïtien de développement économique.
telquel
Le royaume estime que le Koweït, en sa qualité de président de session du côté arabe, aurait pu demander l’expulsion des représentants du Polisario lors de ce sommet.
Le Maroc a exprimé ses « remerciements » envers l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Qatar, le Bahreïn, la Jordanie, Oman, le Yémen et la Somalie qui ont tous boycotté le 4e sommet arabo-africain, tenu le 24 novembre à Malabo, en raison de la présence du Polisario, rapporte un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
Dans ce même communiqué, le Maroc déplore « la position du Koweït sur cette question de principe ». Ca pays, qui était le « président de session du côté arabe » lors de ce sommet, n’a pas imposé le respect des règles ce sommet selon la diplomatie marocaine. En effet, les sommets afro-arabes ne concernent que les pays membres de l’ONU, ce qui signifie que les représentants de l’autoproclamée RASD n’auraient pas dû y participer. Le Maroc insiste néanmoins sur le fait qu’il « continuera son implication dans tout partenariat institutionnel touchant au continent africain », notamment au sein de l’Union africaine où il compte « mobiliser la famille africaine autour des véritables défis relatifs à la dignité, la sécurité et la promotion des conditions de vie du citoyen africain
Lors de cette édition du sommet afro-arabe, les pays du Golfe avaient promis à l’Afrique un milliard de dollars d’ici 2018 dans le cadre du Fonds koweïtien de développement économique.
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