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Le maître de la chanson chaâbi Amar Ezzahi n'est pas mort

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  • Le maître de la chanson chaâbi Amar Ezzahi n'est pas mort

    La rumeur relative à son décès ne cesse d'enfler sur les réseaux sociaux, plusieurs journalistes l'on même rapportée.
    Non et heureusement, Amar Ezzahi, de son vrai nom Amar Aït Zaï, n'est pas mort. Contactés par nos soins, des amis et des proches du maître de la chanson chaâbi ont apporté un démenti, affirmant que l'interprète d'El Harraz se prépare à être transféré dans un hôpital en France, où il recevera les soins nécessaires.
    Ennahar

  • #2
    Que de charivaris autour d'un vieux malade. Qu'il soit hospitalisé à NEKKACHE à Alger et confié à la crème des patrons algériens avec au besoin appel à des spécialistes étrangers et achat de matériel adéquat. Le maitre de Chaabi ne s'en portera pas plus mal et la société bénéficiera de l'expérience et de l'investissement.

    A un moment, avaient été hospitalisé à Paris pour AVC , CHADLI, MEHRI et BENBELLA . Que sont ils devenus ?

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    • #3
      ربي يحفظك ويطول في عمرك شخنا

      "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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      • #4
        La question que je me pose, lorsque nos artistes étaient plus ou moins en bonne santé , est-ce qu'ils ont reçu des aides et soutiens matériels et financiers pour mieux vivre et parer ainsi à toute éventuelle méchante maladie ?
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

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        • #5

          a question que je me pose, lorsque nos artistes étaient plus ou moins en bonne santé , est-ce qu'ils ont reçu des aides et soutiens matériels et financiers pour mieux vivre et parer ainsi à toute éventuelle méchante maladie ?

          Ils n'ont certainement pas bénéficié des avantages des militaires , des anciens moujaheds en grand parie faux , mais la médecine en Algérie est toujours gratuite et le vieux cheikh est certainement dans de meilleurs conditions de soins qu'il ne l'était nourrisson.

          Les Algériens doutent à tort des possibilités de leur médecine

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          • #6
            Les Algériens doutent à tort des possibilités de leur médecine
            Je parle de nos responsables , pas de la médecine ; autrement dit, est-ce que les décideurs qui veulent l'envoyer en france pour des soins, ont-ils pris soin par de l'aide matérielle et financière de cet artiste quand il en avait besoin lorsqu'il était en bonne santé pour ne pas périr physiquement plus tard ?
            Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
            (Paul Eluard)

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