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"L'Algérie de demain, c'est nous !"

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  • "L'Algérie de demain, c'est nous !"

    Galerie de portraits de jeunes Algériens qui innovent et font bouger les lignes. En Algérie ou à l'étranger, ils portent en eux la foi dans leur pays.
    Par Dounia Ben Mohamed (ANA)
    Publié le 28/11/2016 à 15:23 | Le Point Afrique


    - Leïla Akli : « C'est une Algérie nouvelle qui s'offre à nous »

    Leïla Akli fait partie de la nouvelle génération d'Algériens prêts à croquer les nouveautés du monde actuel.
    Elle côtoie les dirigeants du secteur privé comme les plus hauts responsables politiques. Petit bout de femme, Leïla Akli a tout d'une grande. Fondatrice de la première agence spécialisée en relations publiques 2.0 en Algérie, Pi-Relations, elle a apporté des réponses à l'un des principaux défis de l'Algérie : changer son image. « Je suis l'aîné d'une famille de six enfants de parents fonctionnaires. Je suis un pur produit de l'école algérienne ! » Loin de suivre le chemin de ses aînés, pourtant plus confortable, elle fait très tôt le choix du privé.

    « Je suis une grande fan des nouvelles technologies et ai forgé mon apprentissage au sein de grandes multinationales, toujours dans les domaines de la communication et des TIC », dit-elle. Cette « geek en talons aiguille », comme elle aime se définir, a créé en 2013 Pi-Relations, une agence de relations publiques. En 2015, elle a lancé une conférence autour de la transformation digitale baptisée « The Picnic », « un espace de partage et d'échange gratuit qui a réuni plus de 500 participants opérant dans la communication et les TIC ».

    Cette passionnée, ambassadrice algérienne du Women's Entrepreneurship Day, est également une « éternelle optimiste ». Y compris en ce qui concerne l'avenir de sa patrie. « J'ai confiance en notre capacité d'amorcer le changement et de nous développer. Le changement, je le vis tous les jours. L'évolution de mon pays, je la vois tous les jours. Certes, nous avons traversé beaucoup d'épreuves et tellement de choses, mais, aujourd'hui, c'est une Algérie nouvelle qui s'offre à nous. Je vois dans la crise pétrolière que nous vivons une superbe opportunité, nous redécouvrons la valeur du travail et l'investissement.

    L'Algérie est un pays d'opportunités par la diversité du territoire, sa richesse naturelle, sa population jeune… » dit-elle, avant d'ajouter : « Avec tous ces atouts, nous ne pouvons que réussir et émerger pour devenir un pays leader, un pays où les jeunes ont un rôle-clé à jouer. »

    Leïla Akli poursuit : « Nous, les jeunes, nous sommes conscients que c'est à nous de jouer, nous avons une grande responsabilité dans l'édification de l'Algérie demain, nous avons le devoir de construire une Algérie nouvelle, de dynamiser l'économie nationale, de promouvoir notre image et de nous internationaliser. Le mouvement est en marche, de nombreux associations et mouvements s'activent pour la promotion de cette nouvelle stratégie. C'est nouveau chez nous, et les jeunes sont à la manœuvre », conclut-elle.

    - Samir Toumi : « L'Algérie de demain sera mondialisée et connectée »


    Samir Toumi © DR

    Drôle de personnage que Samir Toumi. Il évolue dans le monde de l'entrepreneuriat et de la culture qu'il a réunis dans un concept des plus singuliers : « La Baignoire ». « La Baignoire Expérience est un concept qui existe depuis trois ans. Nous avons décidé que notre entreprise n'avait pas pour unique finalité de faire du bénéfice au profit de ses salariés et actionnaires. Nous avons donc conclu un pacte de salariés, signé par tous, dans lequel nous avons décidé de consacrer une partie de nos gains à la promotion de la culture et de l'art contemporain en Algérie.

    Le seul bénéfice pour nous, c'est de cohabiter et d'échanger avec des personnes qui sont éloignées de notre environnement professionnel, ce qui est extrêmement motivant et précieux », confie-t-il. Son histoire commence à Alger, il y a quarante-huit ans. « Je suis né et j'ai grandi en Algérie où j'ai fait une partie de mes études, avant de partir à l'étranger », dit-il. Ingénieur de formation, il passe par des établissements prestigieux : l'École nationale polytechnique d'Alger et l'École des mines de Nancy. Entre-temps, il a décroché un DEA en ressources humaines.

    « Professionnellement, je n'ai fait que du conseil en ressources humaines, et ce, depuis 1991. J'ai travaillé en France dans le conseil pendant sept ans, avant de me mettre à mon propre compte en 1997 et de m'installer à Tunis, tout en poursuivant mon activité en France. À Tunis, j'ai pu travailler sur ce qui m'intéressait le plus : les économies émergentes. En 2003, je suis revenu en Algérie, pour une mission de quelques mois et, depuis, je n'ai plus quitté le pays », explique-t-il. Un an plus tard, il a créé Teamconsulting, une société de RH qui va évoluer au gré de la personnalité de son fondateur.

    Selon lui, l'Algérie de demain est déjà en cours de construction... sur les réseaux sociaux. « On ne peut pas nier l'impact des nouvelles technologies sur notre pays. Aujourd'hui, la société algérienne, très connectée au monde, évolue très vite. Elle se structure, par les réseaux sociaux, elle s'ouvre au monde, et construit de nouvelles dynamiques qui font évoluer le pays en profondeur ». À la question de savoir si c'est hors du champ politique, il répond : « Oui et non, car il faut définir ce qu'est la politique. Des projets de société émergent, des liens se créent, sur les réseaux sociaux et dans la société. Des dynamiques nouvelles s'installent.

    Il ne s'agit pas forcément de reproduire des modèles. On peut – et on doit – aussi inventer notre propre modèle. L'Algérie de demain ne ressemblera certainement pas à celle d'hier. L'Algérie de demain sera mondialisée et connectée. L'Algérie se construit tous les jours, par nous tous. Je suis dans une culture de l'initiative. Le choix que j'ai fait, c'est d'agir et de créer. L'avenir de l'Algérie, c'est nous tous, Algériens, qui le faisons, que nous soyons dans ou hors d'Algérie. »

    Mahdi Atmani : « Oui, entreprendre en Algérie n'est pas facile, mais c'est possible ! »




    © DR

    Il est la preuve de la réussite du programme Injaz El Djazair. Ce diplômé de HEC Alger l'a suivi par goût d'entreprendre et a fini par être recruté au titre de directeur des opérations. « Injaz El Djazair est affiliée à Junior Achievement Worldwide, une organisation qui a vu le jour en 1919 et qui existe présentement dans 124 pays à travers le monde, et en Algérie uniquement depuis octobre 2010.

    Concrètement, il s'agit de créer des passerelles entre les jeunes et les milieux professionnels aussi bien pour devenir employeur qu'employé. Avec des programmes ciblés pour les jeunes, de 7 à 24 ans, et qui visent à transmettre les notions d'entrepreneuriat », dit-il. L'idée est de donner le goût d'entreprendre dans un pays où la culture de l'entrepreneuriat n'est pas très développée... pour des raisons d'ordre culturel précisément. « En Algérie, le problème est purement culturel. La société et la famille algérienne n'encouragent pas l'entrepreneuriat. Elle a tendance à orienter les jeunes vers un emploi traditionnel, dans l'administration notamment. Entre le public et le privé, il y a deux mondes. Nous sommes très fiers d'être la seule association à faire entrer les acteurs du secteur privé dans des milieux publics comme les écoles et les universités. »

    Quatre projets d'incubation ont été lancés par Injaz, plus de 200 junior-entreprises ont été créées et pas moins de 10 000 jeunes Algériens en ont bénéficié. « Et depuis la création de l'association, on a réalisé des choses incroyables. Avec des jeunes qui innovent totalement. Par exemple, Ayoub Koraichi, un jeune de 23 ans venu d'une région reculée du pays, qui a créé Kaizen Computing, et dont les clients sont des multinationales et de grandes entreprises étatiques. Il y a aussi un étudiant d'Alger, Adel Bensalah, qui a créé DZ-Gen il y a trois ans.

    Il fournit du contenu web et des solutions informatiques à de gros clients », explique-t-il, avant d'ajouter : « À côté de cela, une étudiante Rafika Mokhtari, qui vient de finir ses études en juin, a développé un projet de création d'un village agricole à Bejaïa, 100 % solaire, et qui a obtenu un financement de l'ambassade des États-Unis. Cette année, nous avons accompagné 4 000 étudiants sur 9 wilayas. Depuis 2010, 10 000 étudiants ont été accompagnés. Notre objectif est d'atteindre les 50 000 étudiants dans toutes les wilayas du pays d'ici 2020. »

    - Drifa Mezenner : « J'essaie de questionner un sentiment de mal-être »



    Drifa Mezenner © DR

    Si Drifa Mezenner, 37 ans, a toujours pour passion l'image, cette Algéroise de naissance a commencé par des études d'informatique et de gestion, puis de littérature anglaise, avant les arts graphiques. Une discipline qui va la mettre sur la voie. « J'ai travaillé comme graphiste quelque temps avant de choisir finalement de me reconvertir en 2010 dans le cinéma documentaire », dit-elle. « En fait, ajoute-t-elle, ce que je voulais être, c'est storyteller, raconter des histoires, des parcours de vie. J'ai réalisé mon premier documentaire en 2011, un court-métrage, sur l'absence et l'exil.

    Ce film m'a permis de porter un regard sur ma société, et les choses qui me préoccupent dans mon pays. Être témoin de son temps est finalement ce qui me motive ». Ce film fait référence à sa propre histoire et évoque l'absence du frère qui a émigré à l'étranger. Un sujet toujours d'actualité en Algérie avec cette jeunesse qui rêve de partir… n'importe où pourvu que ce soit hors d'Algérie. « L'Algérie est un pays plein de ressources. Un pays qui regarde vers les autres rives parce que sa jeunesse est connectée et ambitieuse. Beaucoup de choses doivent changer, mais beaucoup de choses sont en train de se faire. Chacun avance avec ses propres moyens, et je pense que mon rôle, en tant que réalisatrice de films documentaires, est de questionner ces changements et d'essayer de lancer le débat dans la société », poursuit-elle.

    « Je pars toujours de ma propre histoire. Je suis en train de travailler sur mon second documentaire dont le thème porte sur les femmes célibataires. Je suis dans la phase postproduction, le tournage est terminé ou presque. Mais, effectivement, cette fois encore, le sujet part de ma propre expérience », indique-t-elle. Et de poursuivre : « Je pense qu'il faudrait déjà faire un travail d'introspection et se poser la question de savoir où on en est ?. Le cinéma est un miroir. Le film parle de célibat, mais évoque une série de sujets sur la société algérienne actuelle. Une société qui change, très vite... Il y a un sentiment de mal-être que je ressens autour de moi. Je parle de ma génération bien sûr. C'est peut-être dû au fait que nous avons passé notre adolescence et notre jeunesse dans la violence. Les choses ont changé après... trop vite, et c'est difficile de les capter. D'où l'importance de transmettre ce mal générationnel, à travers le cinéma. »

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    Dernière modification par jawzia, 28 novembre 2016, 23h08.

  • #2
    Suite

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    - Djamila Zeraoui : « La diaspora algérienne ouvre la voie »


    Djamila Zeraoui © DR

    La reine du réseau ! Cela pourrait être son surnom. En France comme en Algérie, et même ailleurs sur les deux rives de la Méditerranée, Djamila Zeraoui, cofondatrice de SelectMaghreb, est une femme de réseaux. « J'ai grandi à Paris, j'ai fait mes études en France et en Algérie. Je me suis lancée dans l'événementiel au début des années 2000. J'ai, à ces occasions, mis à disposition de ces groupements mon propre réseau qui était déjà conséquent. J'insiste sur cet élément, important à mes yeux, car, pour moi, un réseau ne grandit que lorsqu'il s'ouvre à d'autres réseaux », dit-elle. Ainsi, progressivement, l'idée de SelectMaghreb s'est imposée. « SelectMaghreb est un réseau informel de mise en lien créé en novembre 2011.

    L'accès au réseau ne nécessite aucune adhésion. Nous communiquons principalement par voie de mailing et par le biais d'événements ponctuels sur Paris et sur Alger prochainement. SelectMaghreb donne ainsi la parole à des réseaux innovants, positifs et portés sur l'aide à la concrétisation de projets et à l'encouragement des rencontres. Le réseau met également la lumière sur des talents que nous avons rarement l'occasion d'entendre », poursuit-elle.

    « L'économie et la culture peuvent rapprocher des pays comme l'Algérie et le Maroc, comme cela a été le cas au début de la construction européenne, de celle de l'Asean ou du Mercosur », indique-t-elle. « Il faut que, des deux côtés, nous investissions des domaines tels que le commerce, le tourisme, les investissements, la formation, la culture, le sport avec des mesures incitatives, telles que des facilités fiscales, financières, douanières et la mise à disponibilité du foncier. La diaspora algérienne le fait déjà et, en ce sens, elle ouvre la voie », poursuit-elle.

    S'agissant de l'Algérie, elle indique qu'il est indéniable qu'encourager le retour de ses talents vivant à l'étranger permettra au pays d'être plus fort et plus innovant. « Nombreux sont les talents de la diaspora qui ont le désir de s'installer en Algérie, mais ils font face à de nombreux freins. L'Algérie doit être plus incitative, car elle a beaucoup à y gagner. Lorsque nous serons fiers d'être algériens au-delà du drapeau que nous brandissons à chaque match de foot, nous aurons fait un grand pas en avant ! » précise-t-elle. Et de poursuivre : « Je fais mienne notre relation avec l'Algérie : une relation avec un père qui ne vous a pas reconnue. L'Algérien de France aime l'Algérie à laquelle il ne cesse de chercher à être utile. Ce pays fait corps avec son ADN, il se sent comme le prolongement de l'Algérie dans le monde. L'Algérien de l'étranger est en quête de reconnaissance de la part de cette Algérie. Une reconnaissance qui n'a que trop tardé. »


    - Nadia Moulaï : « La jeune Algérie a un passé glorieux. À nous d'œuvrer pour un avenir heureux. »


    Nadia Moulai © DR

    Autre femme qui a su utiliser les réseaux pour mettre en lumière les talents de la diversité, Nadia Moulai, fondatrice de MeltingBook. « J'ai lancé MB, en 2011, au départ avec l'ambition de valoriser des parcours et des profils issus de l'immigration. L'idée était de les identifier et de les rendre visibles pour les médias mainstream. Au fil du temps et comme j'ai vu l'enthousiasme suscité par ma démarche, j'ai décidé d'en faire un média. En avril, j'ai été invitée par les États-Unis pour un programme autour du leadership et cela m'a convaincue de poursuivre mon travail…

    En France, c'est toujours très compliqué d'innover quand on ne vient pas du sérail. En plus du média, nous avons lancé une maison d'édition avec comme ambition de faire émerger des voix, celles que l'on n'entend pas ou que l'on ne veut pas entendre. Or, je suis convaincue que, dans mes réseaux, nous avons de quoi construire une parole complémentaire, sans demander l'autorisation », dit-elle. « Je rencontre des gens qui ont des expertises et des choses à dire. Prenons le débat. Le Web offre aujourd'hui une opportunité extraordinaire pour se rendre audible », poursuit-elle.

    Originaire d'une cité populaire du Val-d'Oise, diplômée en lettres modernes à la Sorbonne et en communication politique, Nadia Moulaï, également auteur, a consacré son premier ouvrage à la guerre d'Algérie, et plus particulièrement à la question de la transmission de la mémoire. Un retour sur le passé essentiel pour mieux aborder l'avenir. « L'Algérie est un pays aux promesses énormes. J'aimerais y transposer mon média ou pourquoi pas y lancer une entreprise. À vrai dire, j'ai déjà des idées. Maintenant, c'est comment m'y lancer qui est un peu moins clair pour moi », explique-t-elle. Un sentiment perceptible chez de nombreux entrepreneurs de la diaspora désireux d'investir dans ce pays parfois fantasmé. « Je pense qu'il ne faut pas y aller avec ses gros sabots, mais avec une attitude humble et une bonne préparation aux réalités du terrain », ajoute-t-elle.

    En attendant, Nadia rêve d'« une Algérie qui n'a pas peur de sa diaspora comme c'est le cas. Une Algérie qui n'a pas peur d'être le grand pays qu'elle est. De la même manière que nous, Franco-Algériens, réinventons la France, nous pouvons aussi apporter une petite pierre à ce bel édifice qu'est la jeune Algérie qui a un passé glorieux. À nous d'œuvrer pour un avenir heureux », conclut-elle.

    LePoint
    Dernière modification par jawzia, 28 novembre 2016, 23h09.

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    • #3
      Article très intéressant.

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      • #4
        N’hésite pas a poster des bonnes nouvelles comme celle la jawzia.Je suis sur qu'ils réussiront a prendre le pouvoir, au moins sur le plan économique.

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        • #5
          Envoyé par annabideparis
          N’hésite pas a poster des bonnes nouvelles comme celle la jawzia.Je suis sur qu'ils réussiront a prendre le pouvoir, au moins sur le plan économique.
          Ce n'est pas l'économique qui prend le pouvoir sur le politique, c'est le contraire, il y a un bel exemple devant nos yeux, la Chine qui est une réussite économique avec un parti communiste aux commandes.

          Il n'y a que le politique qui fera changer les choses, surtout en Algérie.
          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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          • #6
            Ce n'est pas l'économique qui prend le pouvoir sur le politique, c'est le contraire,
            Plus depuis la fin des années 80.

            L'idéal serait qu'ils coexistent en bonne intelligence mais de nos jours c'est l’économique qui donne le tempo et les politiques s'adaptent du mieux qu'ils peuvent.

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            • #7
              Ce n'est pas l'économique qui prend le pouvoir sur le politique, c'est le contraire, il y a un bel exemple devant nos yeux, la Chine qui est une réussite économique avec un parti communiste aux commandes.
              C'est l'ex parfait qui démontre que l’économie est au dessus du politique.Comment se fait--il qu'un parti communiste adopte une économie libérale?
              Ce qui démontre bien que l’économie socialiste est un échec.

              Voici ma phrase:
              Je suis sur qu'ils réussiront a prendre le pouvoir, au moins sur le plan économique.
              D’après toi qui détient le pouvoir économique,le parti communistes ou les multinationales et le privé chinois?
              C'est cette politique libérale qui va faire tomber le régime. Vu l'apparition d'une classe moyenne et que les salaires chinois ne sont plus attractifs,l’économie chinoises montre un essoufflement qui ne peut être surmonter qu'en encourageant l’économie,et plus tu donne de pouvoir a une entité plus elle s'en sert.
              Maintenant l'effondrement du parti communiste chinois n'est pas a court terme,mais il est inéluctable a moyen-long terme.

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              • #8
                c'est rare ici mais c'est un excellent article.
                Merci Jawzia

                Commentaire


                • #9
                  Super!...

                  En lisant, j'ai senti quelque chose bouger dans mes tripes...

                  Est ce celà la fierté inspirée par les ...miens!!!?...

                  Ench'Allal koul ma yatmani el khir lelbled wa el3ibed ... le trouve.
                  Amine.

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                  • #10
                    -cela pourrait paraître HS , mais le lien est évident.

                    Depuis qu il ya un silence radio sur les évènements de foot a cause des échècs répétés et durablement malsains ,

                    j ai l impression que le pays et les algériens de haut e, et de la base , prennent subitement conscience qu il y a mille et une façon de gagner.

                    Gagner n est pas que l apanage du foot et du sport tres diversifié en général.

                    Recemment j ai vue une course rally auto sud avec plein d Italiens ? C est plus qu une bonne évolution sportive ,car il ya la science mecanique dedans.

                    un peu de natation il plus que du sport il y a la formation de futurs marins ou sous mariniers ...


                    il ya le marathon , ou il ya plus d un sport il ya la preparation a l endurence des soldats et des equipes et autres , pour les sortire de la tchitchi...


                    il ya le nouveau ministre de l interieur , qui était agar et un peu perdu au debut et maintenant il fait la fascination et fiérté des algériens a cause de sa simplicité et deplacements suir les terrains...


                    il notre président qui se soigne aussi bien en Suisse , qu en Algerie et sort des habitudes et des servitudes monotones et ruineuses...


                    il ya le solaire qui prend le pas sur le gaz...


                    il ya Benguebrit Minister qui a mis fin aux interminables greves et intimidations de soit disant profs qui avaient la haine contre tous les algeriens


                    -...

                    enfin il me semble que c est une autre ére pour toute l humanité . Trump la bas president , Israel a été consumé et rotie lentement et surement ....


                    c est une autre ere benefiqUE POUR NOTRE PAYS iNCHA ALLAH

                    Commentaire


                    • #11
                      c'est rare ici mais c'est un excellent article.
                      Merci Jawzia
                      Qu'a-t-il d'excellent cet article ?

                      Commentaire


                      • #12
                        Les "hangars", l'accord de vienne, le sommet Dz-Afrique ... agissent sur le gars du dessus comme le ferait la surexcitation d'un (pauvre) électron par des photons. Il va dans tous les sens !!!

                        Meskine. Allah Ychafi.

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                        • #13
                          mdrrrr ici il est sur ignore mais j'imagine bien le genre.

                          Commentaire


                          • #14
                            Ou alors comme un papillon de nuit .... qui tournoie ... tournoie autour du lampadaire ou même d'une flammme jusqu'au moment fatidique où... :22:

                            Commentaire


                            • #15
                              Bonne chance.

                              Commentaire

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