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Maroc: Vers la fin de l’école gratuite (Éducation)

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  • Maroc: Vers la fin de l’école gratuite (Éducation)

    Éducation: Vers la fin de l’école gratuite

    Le Conseil supérieur de l’enseignement a approuvé une loi-cadre prévoyant le paiement de frais de scolarité pour les lycéens.

    Le Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique a émis, le 22 novembre, un avis favorable sur la loi-cadre relative à la vision stratégique de l’éducation 2015-2030. Cet avis avait été demandé par le Chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, en juillet 2016.

    Omar Azziman, président du Conseil a déclaré, lors de la tenue de l’assemblée générale de cette institution, que « la loi-cadre a, dans son ensemble, gardé l’esprit de la vision stratégique ». Le texte approuvé par le Conseil statue sur les langues d’enseignement, les manuels scolaires, la formation professionnelle mais également la gratuité de l’enseignement. Un sujet qui a cristallisé les débats lors de l’assemblée.

    Les représentants syndicaux siégeant au Conseil ont estimé qu’il faut garantir la gratuité de l’éducation à tous, tandis que les autres membres affirment qu’il faut diversifier les ressources des établissements publics en faisant, par exemple, payer des frais des scolarités aux familles à partir du lycée. Cette frange du Conseil estime néanmoins que le paiement de frais de scolarité doit prendre en compte l’« exemption automatique des familles nécessiteuses dans le cadre de la mise en œuvre de la solidarité sociale ».

    En plus des frais d’inscription, le document prévoit d’autres sources de financement comme « les collectivités territoriales », « les établissements publics », « le secteur privé », « les ressources d’autofinancement ». Le texte entrera en vigueur dès qu’il sera adopté par le Conseil des ministres, le conseil du gouvernement ainsi que le Parlement.
    telquel
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    mars2016
    Omar Azziman: les familles doivent casser leurs tirelires pour l’éducation de leurs enfants


    29novembre2016
    École publique payante: Azziman s’explique enfin!
    Omar Azziman, a attendu plusieurs jours avant de réagir à la polémique suscitée par l'interprétation des recommandations du Conseil supérieur de l’éducation sur la levée de la gratuité de l’école publique. Ce 29 novembre, l'institution qu'il dirige se fend d'un communiqué.

    Fin de l'école publique! L'Etat se retire du champ éducatif! L'information a pris une grande ampleur. Disproportionnée? Nul ne le sait. Toujours est-il qu'il a fallu attendre ce 29 novembre pour que le Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique sorte de son mutisme.
    Dans un communiqué, le conseil dirigé par Omar Azziman, plante le décor et souligne que "le conseil assure un suivi sur le financement et la diversification des ressources du système éducatif".
    Et afin de clarifier davantage le débat, le Conseil indique qu’"une assemblée générale s’est penchée sur l’adaptation juridique de la réforme du système éducatif et ce, à la demande du Premier ministre".
    Et d’ajouter qu'"au niveau du financement, la vision stratégique de la réforme se fonde sur la charte nationale de l’enseignement".

    Ainsi, ce qui est compris par le public à savoir "le paiement de la scolarité" ne concerne que les frais d’inscription, et c'est dans ce sens que la 10e session du Conseil a décidé de prendre plusieurs mesures. Il se trouve que les familles démunies seront systématiquement exonérées de ces charges. Il reste à en déterminer les critères et les conditions.
    Par ailleurs, cette décision sera mise en application de manière progressive.
    De plus, il est prévu la réalisation d’une étude portant sur la capacité de participation des familles. Elle permettra de fixer les conditions d’exonération et les plafonds des frais d’inscription. Les conclusions feront l’objet d’une loi.

    Le conseil tient à préciser que "les frais d’inscription ne sont qu’une forme de solidarité nationale, à travers lesquels les familles aisées participent à financer un bon système éducatif".
    Il ajoute par ailleurs que "ceci ne constitue en aucun cas une contrepartie financière pour les dépenses d’éducation. Et ne signifie pas un retrait de la gratuité de l’enseignement".

    Par Imane Azmi


    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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    • #3
      Maroc : L’Union européenne soutient l’éducation nationale
      90 millions d’euros pour améliorer les conditions de l’enseignement

      Le système éducatif au Maroc bénéficie désormais d’un apport de 90 millions d’euros, accordé par l’Union européenne, à l’horizon de 2018.

      C’est ce que dévoile le bilan de la réunion tenue le 25 novembre, en marge de la clôture du programme de suivi et d’évaluation du système de l’éducation nationale et de la formation professionnelle. Ce programme a été déployé du 7 au 17 novembre et a permis de mettre l’accent sur plusieurs contraintes dont souffre encore le secteur.

      Pour soutenir la stratégie du ministère de l’éducation nationale et de la formation professionnelle, l’UE a mobilisé un nombre d’experts européens afin d’améliorer les conditions d’accès des élèves à un enseignement qualitatif et égalitaire.

      Dans son dicours de bienvenue, Youssef Belqasmi, secrétaire général du ministère de l’éducation nationale et de la formation professionnelle, a félicité l’engagement des responsables du ministère à mener à bien et à faciliter la mission de suivi et d’évaluation déployée par les experts de l’Union européenne. Il a également mis l’accent sur l’importance du soutien qu’accorde l’UE au rétablissement du système éducatif au niveau du Royaume, en tant que partenaire fondamental. Notons que cette mission de suivi a été axée sur la définition du cadre stratégique de l’intervention de la tutelle à travers les mesures prises dans le cadre de sa vision stratégique. Elle a également permis le diagnostic et l’évaluation de toutes les composantes du système, notamment les modes et niveaux de l’enseignement, le référenciel du système éducatif, le volet institutionnel, la gestion financière et humaine, ainsi que le système de communication et les mécanismes de suivi et d’évaluation mis en place.

      Dans ce cadre, l’enseignement primaire a suscité un intérêt particulier, afin d’assurer un cadre éducatif qualitatif et égalitaire, surtout après son intégration dans le programme Masar à partir de la saison scolaire 2016-2017. Toutefois, Patrick Bouveau, le président de ladite mission, a énuméré un nombre de contraintes auxquelles fait encore face le système éducatif marocain. Ces difficultés concernent principalement les freins relevés au niveau des ressources humaines, sans oublier les efforts que déploie le ministère de tutelle, en se basant sur l’employabilité contractuelle comme mécanisme pour dépasser ces contraintes. Et aussi dans la même dynamique, féliciter le cadre référentiel des internats et restaurants scolaires en cours de construction.
      aujourd'hui ma
      المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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      • #4
        Au Maroc environ dix millions de personnes sont analphabètes, soit près du tiers de la population du pays, annonce l’Agence nationale de lutte contre l’analphabétisme (ANLCA) dans des communiqués à l’occasion des Journées internationales de l’alphabétisation.Les efforts consentis par le gouvernement marocain en partenariat avec des associations ne suffisent pas pour combattre ce fléau. Le taux élevé d’analphabétisme au royaume , place le Maroc au même rang que des pays traversant de graves crises politiques et économiques comme la Somalie, le Yemen ou la Mauritanie.
        Le bœuf est lent, mais la terre est patiente.

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        • #5
          dix millions de personnes sont analphabètes, soit près du tiers de la population du pays,
          beaucoup plus que ca, quand des centaine de milliers son motivé a minifester pour (sahara, roi,lemjarrad,,,,,,) pour un raybi et millefeuillefaut dire que la cituation est piiiiiiiiire
          المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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          • #6
            Maroc – Enseignement : j’accuse le roi Med VI

            Evénement :
            Suite à sa dixième session, tenue les 21 et 22 novembre à Rabat, l'assemblée générale du Conseil supérieur de l'éducation, de la formation et de la recherche scientifique (CSEFRS) vient d’approuvé le projet d'avis du Conseil relatif à «La loi-cadre pour la réforme du système de l'éducation…».

            Ceci s’est fait dans la perspective de transmettre, dans les prochains jours, l'avis du Conseil sur cette question au chef du gouvernement.
            Controverse: Déshonorer l'éducatif d'une nation est inadmissible

            Ma contestation :
            Au-delà d'amples délibérations qu’il a connu dans le sens d'introduire les orientations et objectifs fondamentaux pour la réforme du système éducatif, en harmonie avec les leviers du changement contenus dans la vision stratégique, en prenant compte de ses trois critères visant à édifier une école d’équité, de qualité et de valorisation…le vrai débat n’a pas été ausculté :
            Cette vision 2030 est abrutissante et déshonorante de l’éducatif sur le plans identitaire des marocains et relationnel universel tel celui de la francophonie.

            Dans ce sens le CSEFRS est en déficit de légitimité, car il a comploté contre tout le pays, peuple et roi, si l’on revient sur les discours initiateurs et instructifs en termes de choix et d’orientations …
            Il est coupable car il a bafoué la raison fondatrice du conseille sans respect ni au déontologique ni au Dahir instituant: donner la parole aux professionnels et aux experts du champ éducatif…
            Voilà donc après maintes communications avec ce CSEFRS entamées par la voie juridique, la presse nationale et celle internationale…ainsi que les rencontres officielles avec ceux du gouvernement ; rien n’avance.
            Il est privatisé à l’insu de l’institutionnel législatif, exécutif et juridique ! On dirait qu’il un émirat de son bureau exécutif. Chose inadmissible.
            Alors aujourd’hui que nous vivons une période déterminante du sort de cette vision 2030 qui engagera des marocains à œuvrer à sa réalisation… j’intente le gouvernement et ledit conseil de trahir la confiance des institutions!

            C’est ainsi que suite à mes lettre ouvertes dans ce sens et mon dernier défi à son équipe dont voici les cordonnées: je me permets de m’adresser au roi du Maroc Med VI en l’accusant de soutenir et d’honorer les malfrats les plus dégoûtants sur terre contre le bon sens coopératif et institutionnel du royaume qui implique le métier du roi et sa noble mission citoyenne, car je n’admets pas le déshonore éducatif de toute une nation.
            Boujemaa Kharraj
            المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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