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Condor: 200 à 300 millions de dollars d'exportation à l'horizon 2019

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  • Condor: 200 à 300 millions de dollars d'exportation à l'horizon 2019

    Abdelmalek Benhamadi, PDG de Condor : « On veut atteindre un chiffre d’affaires de 200 à 300 millions à l’export d’ici à 2019 »


    Abdelmalek Benhamadi, président du Conseil d’administration de Condor.ABDELMALEK BENHAMADI, PRÉSIDENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE CONDOR.
    Dans cet entretien, Abdelmalek Benhamadi, président du Conseil d’administration de Condor revient sur les ambitions de son groupe à l’étranger et les contraintes auxquelles sont confrontées les entreprises algériennes qui se tournent vers l’exportation.

    Vous participerez au Forum Africain d’Investissements et d’Affaires qui s’ouvre à Alger ce samedi 3 décembre. En tant qu’entrepreneur, qu’attendez-vous de cet événement ?

    Nous avons commencé les exportations vers les pays africains. Donc ce forum va nous aider à consolider nos relations avec nos clients actuels qui ont été invités .Cela va nous permettre de nouer des relations avec les différents acteurs dans les pays africains.

    D’ici cinq ans, Condor s’attend à ce que l’export constitue 50% de son chiffre d’affaires. Vous avez récemment ouvert un showroom à Nouakchott. Quelles seront les prochaines ouvertures en Afrique ?

    Nous avons prévu l’ouverture d’un show-room à Bamako (Mali) et un autre à Tunis pour cette année. Nous allons essayer de dupliquer le même business model suivi en Algérie qui a donné des résultats.

    Condor semble privilégier les marchés africains (avec l’ouverture directe de Showroom) à l’Europe où vous êtes présent à travers les distributeurs. Pourquoi cette démarche ? Est-ce un marché qui est plus intéressant ?

    L’ouverture de showroom se fait par nos clients. C’est une de nos conditions de franchise. Nous, on les aide au niveau formation, charte graphique et technique de vente. En Europe nous allons passer à l’ouverture de showroom dans un deuxième temps.

    Pour quand est prévue l’ouverture de showroom en Europe ?

    Nous n’avons pas encore de date. Le marché européen est différent, il y a des charges et des coûts importants donc si on ouvre il faut que ce soit très bien étudié. Donc pour l’instant, nous avons commencé via un distributeur (la société française Evodial, NDLR). Par ailleurs, nous sommes en contact avec deux ou trois distributeurs mais notre deuxième distributeur n’a pas encore été sélectionné.

    TSA





    Est-ce que vous avez un objectif chiffré pour les exportations ?

    On envisage un chiffre d’affaires de 200 à 300 millions de dollars d’ici 2019 pour ensuite atteindre 500 millions de dollars à l’export en 2022.

    La Banque d’Algérie a introduit de nouvelles mesures pour les exportations hors hydrocarbures telles que l’allongement du délai de rapatriement des devises en le portant de 180 à 360 jours et la possibilité d’avoir recours à l’assurance-crédit. Qu’en pensez-vous ? Est-ce un délai satisfaisant ?

    C’est un délai très satisfaisant mais le problème qui reste posé c’est que la loi ne reconnaît pas « l’incident de paiement ». La responsabilité pénale demeure en vigueur en cas de défaut de paiement.

    Quel est votre avis sur la mise en place d’un marché à terme de la devise, prévu pour le premier semestre 2017 ?

    Le marché à terme est un outil moderne de travail qui va nous permettre de bien planifier nos coûts et prix de revient ; surtout pour les opérateurs tournés vers l’exportation. Ce mécanisme est indispensable pour minimiser le risque de change.

    Concernant la loi de Finances 2017. Est-ce que les taxes et l’augmentation de la TVA pourraient impacter votre chiffre d’affaires et ralentir votre développement ?

    L’élasticité de la demande aux prix de vente est importante sur certains de nos produits. Un ménage qui souhaite acquérir un ou deux téléviseurs ne le fera pas si la variation du prix est importante. Surtout pour les produits où le taux d’intégration n’est pas important, les taxes auront un effet direct sur le prix étant donné que la réduction du coût est en dehors du contrôle du fabricant. Ceci dit il y a un défi à relever par la réduction des coûts : l’augmentation du taux d’intégration, la négociation des prix d’achat de nos intrants et bien sur la réduction de la marge bénéficiaire pour garder nos parts de marché.

    Quelles sont les difficultés que rencontrent encore les entreprises algériennes dans le processus d’exportation ?

    Le processus d’exportation est complexe et difficile. Il faut commencer par la formation des cadres et le recrutement de cadres qui ont une expérience à l’export. Le point noir reste l’impossibilité d’ouvrir des bureaux de liaison ou représentation. Les difficultés de la prise en charge des frais d’approche, notamment marketing et frais de déplacement, l’adaptation des produits commercialisés en Algérie aux exigences des différents marchés ciblés. Tout cela nécessite l’assouplissement des contraintes de change.

    Est-ce que les produits algériens sont compétitifs à l’international. Sachant que les coûts de production peuvent parfois être élevés ?

    À l’export il n’y a pas de taxes. Ce sont les frais de logistique qui sont chers ainsi que les frais portuaires, le transport terrestre et maritime et le magasinage. Tout cela pèse beaucoup sur le prix de revient du produit. Mais on peut être compétitif sur les produits où le taux d’intégration dépasse les 60%. Le dinar est faible donc on est compétitif.

  • #2
    Ah ils ont changés de datent ? 300 millions c'était pour 2016 !!!

    Je pense qu'il se sont dit écrit 2019 sur l'article ça fait plus crédible !

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    • #3
      pas grave juste un petit changement de 3 ans..et en 2019 on ajoute encore 5 ans

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      • #4
        Je sais pas je me dis qu'un PDG qui annonce un tel truc comme ca doit être un minimum sérieux et pourtant !

        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...ghlight=Condor

        Et tu verras que ce genre d'annonce et de volte-face n’émues aucun de nos experts.

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        • #5
          Allah ysame7

          L'erreur est humaine
          "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
          Johann Wolfgang von Goethe

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          • #6
            Ça fait beaucoup de millions sur plusieurs années, c'est loin d'être une simple erreur !

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            • #7
              même en 2019 ils n'arriveront pas à ce chiffre.

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              • #8
                Disons ce que n'est pas ça le vrai problème, perso comme beaucoup de marocain je préfère de loin acheter un produit algérien qu'un autre produit étranger si je trouve mon compte en termes de prix et de qualité. Le problème réside plus dans le manque de crédibilité et dans la propagande que véhicule ce genre déclarations qui bizarrement ne soulèvent aucune critique de nos amis sur FA

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                • #9
                  Les gars les gars ....... arrêtez s'il vous plait

                  Laissez ceux qui veulent positiver positiver ...

                  Vous leur pompez l'air comme pas possible .
                  " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                  • #10
                    Tu as raison je trouve qu'on abuse !

                    Parce qu'en vrai Condor a bien exporté 300 millions $ mais à la dernière minute ils ont fait machine arrière ils ont tous réimporté, pour le réexporté en 2019, je ne vois pas d'autres explication soit c'est ça soit le mec de Condor n'est qu'un menteur !
                    Dernière modification par iridium, 04 décembre 2016, 23h39.

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                    • #11
                      Tipo le 1er modèle qui sortira de l'usine FIAT Algérie

                      Le projet de l’usine FIAT en Algérie est en marche et la TIPO serait le première modèle retenu pour sortir de cette future structure algérienne.

                      Le projet de l’usine FIAT suit sont cours, les négociations avancent à grand pas et plutôt est à la finalisation des derniers détails, notamment définir les modèles concernés par cette future structure qui sortira du sol dans les mois à venir.

                      Selon nos sources, généralement bien informées, FIAT aurait opté dans un premier temps pour la toute nouvelle TIPO, lancée en avant-première mondiale en Turquie sous l’appellation Agea. Il s’agit d’une berline tricorps compacte de 4,5m de long, 1,78m de large, 1,48m de hauteur, son empattement est de 2,6 m et sont coffre peut avaler 510 litres. Conçue et dessinée en Italie, et développée en Turquie, cette TIPO a pour but de devenir la nouvelle World Car de la marque italienne. En terme de design elle est loin des codes des voitures à bas-coût et est même séduisante.

                      Le choix de ce type de véhicule n’est pas fortuit puisqu’il constitue depuis quelques années l’un des segments les plus porteurs du marché algérien. Avec 93 937 unités il représentait en 2014 pas moins de 27,70% des ventes globales, la Dacia New Logan avec ces 24 469 ventes trustait la première place des ventes tous modèles confondus.

                      Une TIPO qui va disposer sous peu d’un version hatchback, cette dernière a été surprise en pleins tests à plusieurs reprises. Elle aura comme tâche d’aller se frotter au segment des compactes, même en Europe. La production de la version hatchback pourrait également être concernée et être produite par l’usine algérienne, et cela dans une deuxième phase pour étoffer la gamme.

                      La Fiat TIPO devrait figurer dans la liste des futurs modèles Made In Bladi, aux côtés des Renault Symbol, Dacia Sandero et des futures Peugeot, le Lion semble accélérer la cadence au vu de la multiplication des annonces.

                      Cette usine va permettre à FIAT de se relancer dans le marché algérien. En 2014, la marque turinoise n’apparaissait même pas dans le Top 20 des marques, alors que l’histoire de l’automobile algérienne est inéluctablement liée à cette marque qui a fait les beaux jours des familles dans les années 1970 et 1980.

                      Auto Algérie

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                      • #12
                        5,4,3,2,1......avant l'arrivée des makhzanis enragés

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                        • #13
                          Meskine sami. ..... en être réduit à créer un hors sujet dans son propre topic Pour éviter l'humiliation .....

                          Quel triste sort
                          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                          • #14
                            on est passé de condor a tipo made in bladi.

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                            • #15
                              Ça a pas râté 2 marrokis enragés ont accourus

                              Concernant Condor il a un partenariat en Europe, un showroom en Mauritanie et 2 prévus au Mali et en Tunisie avant d'autres en Afrique donc ses objectifs à l'export ce n'est qu'une question de temps inchallah

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