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Quand la presse publique boycotte Haddad et le FCE

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  • Quand la presse publique boycotte Haddad et le FCE

    Il y a encore quelques jours, le Forum africain d’investissements et d’affaires, ouvert hier sous le « haut patronage » du président Bouteflika, était présenté par les médias publics comme l’événement de l’année. Face aux ambitions africaines du Maroc, l’Algérie a décidé de sortir l’artillerie lourde en allant sur un terrain qu’elle avait jusque-là abandonné au vision de l’Ouest : l’investissement.

    Mais l’incident du départ du Premier ministre et des membres du gouvernement pour des raisons de protocole semble avoir tout gâché. Hier, au journal de 20 heures de l’ENTV, l’événement a été relégué au second plan, après un sujet de plus de 8 minutes sur Ben Bella.

    Le Forum africain d’investissements et d’affaires n’a eu droit qu’à une petite minute d’antenne dont une partie a été consacrée au passage du discours de Sellal évoquant le rôle de Bouteflika en Afrique. Rien sur le discours de Haddad ni sur les grandes ambitions du Forum et encore moins sur le FCE et les chefs d’entreprises, censés être en première ligne.

    Même tonalité dans la presse écrite. El Moudjahid consacre certes sa Une à l’événement. Mais c’est uniquement pour parler du discours de Sellal. Dans un éditorial, le journal souligne : « Le Forum africain de l’investissement et des affaires, qui se tient à Alger depuis hier, a pour ambition de consolider la position diplomatique de notre pays par une présence économique sur le continent ». Peut-être un rappel en direction de Haddad qui a grillé la politesse au numéro 1 de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra, en prenant la parole avant lui, provoquant le départ du Premier ministre. TSA

  • #2
    Avec ce comportement ils veulent faire des affaires.
    Les patrons africains ne vont pas faire des affaires avec l'Hydre.

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    • #3
      On dirait qu'il y a des lignes de crédit en jeu.. et que le privé tente de se positionner en premier

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      • #4
        L’intérêt national n'a jamais été leur priorité, ce n'est pas un service publique mais un service clanique.

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        • #5
          Quand la presse publique boycotte Haddad et le FCE
          par manque d'incompétences dans des médias économique et l'inconscience de L’intérêt national sur l'enjeux majeur de maître les premier pas dans l'investissement hors hydrocarbure
          dz(0000/1111)dz

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          • #6
            Le salon de la chèvre

            Et dire qu'il y a des gens du FCE qui parlent d'IDE africains en Algérie, d'autres qui veulent exporter ce qui manque déjà en Algérie.

            La presse s'est tout simplement rendue compte que toute cette histoire ne tient pas debout.

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            • #7
              Face aux ambitions africaines du Maroc, l’Algérie a décidé de sortir l’artillerie lourde en allant sur un terrain qu’elle avait jusque-là abandonné au vision de l’Ouest : l’investissement.

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              • #8
                Voicé une ptite vidio pour tout c'qui n'ont jamais icouti parlé noter présidon du FCE !!!



                Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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                • #9
                  Je réitère ce que j'ai dit hier, dans je ne sais plus quel topic : une calamité dans l'univers de l'élocution !
                  Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

                  Commentaire


                  • #10
                    Face aux ambitions africaines du Maroc, l’Algérie a décidé de sortir l’artillerie lourde en allant sur un terrain qu’elle avait jusque-là abandonné au vision de l’Ouest : l’investissement.


                    Heureusement que le Maroc est là pour stimuler quelques ambitions chez le voisin de l'Est même si l'approche est ridiculement brouillonne et irrémédiablement vouée à l’échec.
                    L’Afrique, une ambition trop grande pour l’Algérie

                    dimanche 4 décembre 2016 | Par Samir Allam(TSA)

                    Le Forum africain de l’investissement et des affaires s’est ouvert samedi 3 décembre à Alger. Co-organisé par le gouvernement et le Forum des chefs d’entreprises (FCE), l’événement est déjà un échec. L’incident qui a poussé Abdelmalek Sellal à quitter la salle en compagnie de plusieurs ministres au moment où Ali Haddad prenait la parole pour vanter les atouts de l’Algérie a donné une ultime raison à ceux qui doutent de la capacité de l’Algérie à concrétiser son ambition africaine.
                    Les Africains, présents hier à Alger ou absents, ont beaucoup de raisons de douter. D’abord, la politique africaine de l’Algérie n’a jamais été constante. En 2001, le président Bouteflika était parmi les initiateurs du très ambitieux Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (Nepad) aux côtés du Sud-Africain Thabo Mbeki, du Sénégalais Abdoulaye Wade et du Nigérian Olusegun Obasanjo. L’Algérie donnait alors l’impression d’avoir choisi de se tourner vers l’Afrique. Le pays possède une légitimité certaine dans le continent et sa situation géographique faisait de lui un relais naturel avec l’Europe.
                    Mais rapidement, Alger commençait à envoyer des signaux contradictoires à ses partenaires africaines. En 2008, il décide de leur tourner le dos en adhérent à l’Union pour la Méditerranée un projet complexe initié par Nicolas Sarkozy. Une démarche vécue par les partenaires algériens du Nepad, au mieux comme un manque de cohérence, au pire comme une trahison. L’Algérie donnait en effet l’impression de tourner le dos à l’Afrique pour regarder vers le Nord de la Méditerranée.
                    À ces incohérences est venue s’ajouter, dès 2009, les tensions internes liées au troisième mandat de Bouteflika, puis la maladie du Président, qui ont paralysé notre diplomatie. Pourtant, l’Algérie avait des atouts considérables entre les mains : une aisance financière sans précédent grâce au pétrole, un rôle de partenaire dans la lutte contre le terrorisme reconnu par la communauté internationale… Mais elle n’a jamais su ou voulu les utiliser. Pendant que le Maroc multipliait les investissements ciblés en Afrique (télécoms, banques, agroalimentaire…), l’Algérie gaspillait son argent dans des projets inutiles ou mal préparés.
                    Aujourd’hui, l’Algérie tente de se tourner une nouvelle fois vers l’Afrique, sans aucune stratégie claire. Et en plus de la confiance rompue, le pays n’a plus les mêmes atouts qu’avant. On le voit bien : de l’aveu même d’Ali Haddad, le pays ne sait pas organiser une conférence internationale chez lui. Comment peut-il prétendre aller à la conquête de marchés africains convoités par des géants comme la Chine et l’Europe ?

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                    • #11
                      Je réitère ce que j'ai dit hier, dans je ne sais plus quel topic : une calamité dans l'univers de l'élocution !
                      Et pire dans sa vision des choses..

                      Il dégrade la femme algérienne mais aussi les algériens en général qui selon lui sont incapables de construire une SIMPLE maison familiale sans l'apport des chinois

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                      • #12
                        Il vaut donc mieux parler de l'univers de l'électrocution
                        Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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